Miroirs de Cocteau,
Musique de Glass.
Perles fatales, chandeliers enchantés, cheval volant, et miroirs trompeurs… De La Belle et la Bête, chef-d’œuvre de Jean Cocteau, dédié “aux grandes personnes qui n’ont pas perdu leur enfance”, Philip Glass a tiré sa propre fantasmagorie : un ciné-opéra, où, alors que le film est projeté, la bande-son originelle est remplacée par sa composition jouée et chantée en direct. De quoi offrir à l’histoire éternelle une magie nouvelle, qui a permis à ce spectacle singulier d’être joué plus de 90 fois depuis sa création en 1994.