L’Homme qui aimait les chiens est un roman de Leonardo Padura oscillant entre tragédie et polar. On y suit la piste de Trotski et de son assassin Ramón Mercader, alias Jacques Mornard, de la Révolution russe à la guerre d’Espagne, jusqu’à leur rencontre dramatique à Mexico. La composition de Fernando Fiszbein, qui « fait musique de tout », mêle aux instruments de l’orchestre le son de menus objets, de voix parlées, d’enregistrements. Le livret d’Agnès Jaoui met l’accent sur la petite histoire mêlée à la grande, ces destins croisés de différentes nationalités, ces langages multiples comme support idéal à un opéra contemporain qui pourrait tous nous toucher. La mise en scène de Jacques Osinski crée un univers singulier, qui résonne de manière intime et universelle et surtout, au présent.
L’Homme qui aimait les chiens est un roman de Leonardo Padura oscillant entre tragédie et polar. On y suit la piste de Trotski et de son assassin Ramón Mercader, alias Jacques Mornard, de la Révolution russe à la guerre d’Espagne, jusqu’à leur rencontre dramatique à Mexico. La composition de Fernando Fiszbein, qui « fait musique de tout », mêle aux instruments de l’orchestre le son de menus objets, de voix parlées, d’enregistrements. Le livret d’Agnès Jaoui met l’accent sur la petite histoire mêlée à la grande, ces destins croisés de différentes nationalités, ces langages multiples comme support idéal à un opéra contemporain qui pourrait tous nous toucher. La mise en scène de Jacques Osinski crée un univers singulier, qui résonne de manière intime et universelle et surtout, au présent.