'Le Journal d'un disparu' de Janáček
Le Journal d'un disparu est un chef d'œuvre intime caché au sein de l'œuvre du plus grand compositeur tchèque, Leoš Janáček. Récit lyrique de l’amour interdit d'un jeune paysan et d'une gitane, il conte leur méditation face au destin, leur départ mélancolique et transgressif. Le ténor Petr Nekoranec, lauréat des prix Francesco Viñas et Placido Domingo, et la mezzo-alto Camille Merckx, acclamée dans les plus grandes salles d’opéra, sont les interprètes de cette œuvre rare.
Programme :
1.
Chansons populaires composées ou arrangées par Leoš Janáček (1854-1928) (extraites de Poésies populaires moraves en chanson) et Bohuslav Martinů (1890-1959) (Chansons sur une page)
Janáček, Památka (Souvenir)
Martinů, Opuštěny milý (L’amant abandonné), Touha (Désir), Vysoká veža (Chanson de la plus haute tour), Smutný milý (L’amant triste), Rosička (Petite rosée), Otrevření slovečkem (Ouvrir avec un mot), Naděje (Espoir).
Janáček, Obrázek milého (Portrait de mon amant), Stálost (Constance), Lavečka (Le banc).
Martinů, Zvědavé dievča (La jeune fille curieuse)
2.
Janáček, V mlách (Dans les brumes, 1912), quatre pièces pour piano.
3.
Janáček, Zápisník zmizelého (Journal d’un disparu, 1917), pour ténor, Alto et trois voix féminines ; à représenter dans la pénombre.
Le Journal d'un disparu est un chef d'œuvre intime caché au sein de l'œuvre du plus grand compositeur tchèque, Leoš Janáček. Récit lyrique de l’amour interdit d'un jeune paysan et d'une gitane, il conte leur méditation face au destin, leur départ mélancolique et transgressif. Le ténor Petr Nekoranec, lauréat des prix Francesco Viñas et Placido Domingo, et la mezzo-alto Camille Merckx, acclamée dans les plus grandes salles d’opéra, sont les interprètes de cette œuvre rare.
Programme : 1.
Chansons populaires composées ou arrangées par Leoš Janáček (1854-1928) (extraites de Poésies populaires moraves en chanson) et Bohuslav Martinů (1890-1959) (Chansons sur une page) Janáček, Památka (Souvenir) Martinů, Opuštěny milý (L’amant abandonné), Touha (Désir), Vysoká veža (Chanson de la plus haute tour), Smutný milý (L’amant triste), Rosička (Petite rosée), Otrevření slovečkem (Ouvrir avec un mot), Naděje (Espoir). Janáček, Obrázek milého (Portrait de mon amant), Stálost (Constance), Lavečka (Le banc). Martinů, Zvědavé dievča (La jeune fille curieuse)
2.
Janáček, V mlách (Dans les brumes, 1912), quatre pièces pour piano.
3.
Janáček, Zápisník zmizelého (Journal d’un disparu, 1917), pour ténor, Alto et trois voix féminines ; à représenter dans la pénombre.