Athénée Théâtre Louis-Jouvet

Spectacles passés

  • Alain Planès, Alphonse Cemin


    piano Alain Planès, Alphonse Cemin

    Un concert sans voix chantée mais certainement pas sans poésie. Le pianiste Alain Planès, érudit magnifique à la carrière foisonnante fait l’honneur à Alphonse Cemin d’une soirée à deux pianos autour de l’un de ses compositeurs fétiches : Claude Debussy.

    ٭ Le concert est reporté au 7 juin 2021. Vous possédez un billet pour ce concert ?
    Manifestez-vous auprès de la billetterie pour reporter votre venue sur la nouvelle date ou effectuer une demande de remboursement, avoir ou don.
    Plus d'informations sur cette page.

    production : Le Balcon 
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

  • Au coeur de l'océan


    texte et mise en scène Halory Goerger
    musique Frédéric Blondy, Arthur Lavandier
    direction musicale Maxime Pascal
    avec Le Balcon
    et Claire Bergerault, Audrey Chen, Isabelle Duthoit, Phil Minton, Alex Nowitz, Ute Wassermann
    projection sonore Florent Derex
    scénographie Myrtille Debièvre
    costumes Pascale Lavandier
    accessoires Marguerite Lantz
    Création Opéra de Lille hors les murs

    « Des poissons qui ont avalé une lampe de poche, des méduses aux filaments longs comme des autoroutes, des poulpes luminescents hermaphrodites… » Opéra en plongée, odyssée aquatique, Au cœur de l’océan est aussi une épopée à plusieurs. Halory Georger, auteur-metteur en scène ouvert aux sciences les plus loufoques, Arthur Lavandier et le Balcon, Frédéric Blondy et l’ONCEM s’associent pour cette expédition dans de troubles profondeurs, sonores et imaginaires. Et ils préviennent leurs spectateurs : « On ne revient pas intact des abysses. » 



    Cher public,

    En raison de la situation sanitaire, les représentations du spectacle Au coeur de l'océan sont malheuresement annulées. 

    Si vous êtes en possession de billet(s) pour ce spectacle, vous pouvez, en envoyant un mail à caisse@athenee-theatre.com :

    - Demander à conserver un avoir sur la saison 2020-2021, valable uniquement sur les spectacles de la saison en cours. Vous pourrez alors choisir, quand vous le souhaitez, d’assister à un autre spectacle de la saison (dans la limite des places disponibles et sans garantie d’un placement équivalent). Si toutefois vous n’avez pas utilisé votre avoir le 31 juillet 2021, vous pourrez alors en obtenir le remboursement.

    - Obtenir le remboursement de vos billets en joignant à votre mail un RIB ou en nous donnant votre accord pour recréditer votre carte bancaire si vous avez acheté vos billets sur notre site internet.

    - Soutenir la création artistique à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet, en abandonnant le montant de vos places, qui sera entièrement reversé aux artistes. Envoyez alors un message à caisse@athenee-theatre.com afin de nous communiquer votre consentement explicite.

    Si vous êtes en possession de billets achetés via des revendeurs (Fnac, TheatreOnline, etc.), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Pour toutes vos demandes, et en raison du volume important de demandes à traiter en cette période, nous vous remercions de privilégier les échanges par mail. Nous vous remercions par avance de votre compréhension pour les délais de traitement inhérents à cette situation exceptionnelle.

    La billetterie du théâtre est également joignable par téléphone (01 53 05 19 19) de 14h à 18h du mardi au vendredi.

    L’équipe de l'Athénée



    création Opéra de Lille hors les murs
    coproduction : Opéra de Lille, CNCM La Muse en Circuit, Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Le Balcon
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet


  • Dorothea Röschmann, Malcolm Martineau


    soprano Dorothea Röschmann
    piano Malcolm Martineau

    La soprano allemande Dorothea Röschmann, l’une des mozartienne les plus distinguées de ces dernières années est aujourd’hui applaudie à Milan, Berlin ou Londres dans le repertoire wagnérien. Elle vient chanter au théâtre de l’Athénée pour la premiere fois. Avec Malcolm Martineau au piano, ce programme de Lied promet d’être une soirée inoubliable.

    *Le Lundi musical du 11 janvier est reporté au 7 juin. Vous possédez un billet pour ce concert ?
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    production : Le Balcon 
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

  • Eurydice


    musique Dmitri Kourliandski
    sur un poème de Nastya Rodionova
    mise en scène Antoine Gindt
    Orphée Dominique Mercy
    Jeanne Crousaud Eurydice
    piano Bianca Chillemi
    collaboration à la mise en scène Elodie Brémaud
    scénographie Elise Capdenat
    lumières Daniel Levy
    costumes Fanny Brouste
    accessoires Pia de Compiègne
    maquillages et coiffures Sophie Burdiat

    Avec cet opéra pour voix seule, électronique et “piano simplifié à l’extrême”, Dmitri Kourliandski sur un poème en sept parties de Nastya Rodionova, et le metteur en scène Antoine Gindt proposent une variation contemporaine sur le mythe d’Eurydice. Un monde d’obscurité et d’hallucinations sonores, où flotte encore, incandescente, la mémoire d’Orphée… Rôle confié à un interprète de légende : Dominique Mercy, danseur emblématique de la compagnie Pina Bausch de 1974 à 2009.


    Les représentations sont annulées. Plus d'informations sur cette page



    production : T&M Nîmes/Occitanie
    coproduction : Scène de Recherche ENS Paris-Saclay, Théâtre de Nîmes, Teatri
    Reggio Emilia, Schwetzingen Festspiele… 
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien du Fonds de Création Lyrique

  • J'étais dans ma maison et j'attendais que la pluie vienne


    texte Jean-Luc Lagarce
    mise en scène François Berreur, Nathania Péricles
    la mère Paula Clermont Pean
    la plus vieille Florence Jean-Louis Dupuy
    l'aînée Pascale Julio
    la seconde Anyès Noel
    la plus jeune Jenny Cadet
    scénographie François Berreur
    création lumières Bernard Guyollot

    « Cinq femmes dans la maison, vers la fin de l’été, de la fin de l’après-midi au matin encore du lendemain, lorsque la fraîcheur sera revenue et que la nuit et ses démons se seront éloignés. C’est la dernière nuit, libérées enfin du fantôme du fils, du frère, du père, du mari, elles vont pouvoir vivre leurs vies » : c’est ainsi que se présente l’une des plus célèbres pièces de Jean-Luc Lagarce, traduite en plus de trente langues et plébiscitée par les théâtres du monde entier. « Si cette pièce est tant traduite c’est qu’elle a une dimension universelle mais aussi qu’elle parle, toujours, de la situation particulière du pays où elle est présentée », note François Berreur, qui propose ici un spectacle créé avec des actrices haïtiennes. Une version étonnante, forte d’une autre dimension, celle du « vertige de la langue depuis un pays lointain » et « d’un souffle étrange qui balaie les a priori de notre histoire française, ses campagnes et ses mœurs, ses références littéraires et théâtrales. »



    Cher public,

    En raison de la situation sanitaire, les représentations du spectacle J'étais dans ma maison et j'attendais que la pluie vienne sont malheuresement annulées. 

    Si vous êtes en possession de billet(s) pour ce spectacle, vous pouvez, en envoyant un mail à caisse@athenee-theatre.com :

    - Demander à conserver un avoir sur la saison 2020-2021, valable uniquement sur les spectacles de la saison en cours. Vous pourrez alors choisir, quand vous le souhaitez, d’assister à un autre spectacle de la saison (dans la limite des places disponibles et sans garantie d’un placement équivalent). Si toutefois vous n’avez pas utilisé votre avoir le 31 juillet 2021, vous pourrez alors en obtenir le remboursement.

    - Obtenir le remboursement de vos billets en joignant à votre mail un RIB ou en nous donnant votre accord pour recréditer votre carte bancaire si vous avez acheté vos billets sur notre site internet.

    - Soutenir la création artistique à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet, en abandonnant le montant de vos places, qui sera entièrement reversé aux artistes. Envoyez alors un message à caisse@athenee-theatre.com afin de nous communiquer votre consentement explicite.

    Si vous êtes en possession de billets achetés via des revendeurs (Fnac, TheatreOnline, etc.), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

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    La billetterie du théâtre est également joignable par téléphone (01 53 05 19 19) de 14h à 18h du mardi au vendredi.

    L’équipe de l'Athénée



    production : Comédie de Caen - CDN de Normandie
    coproduction : Association 4 Chemins, Cie Les Intempestifs, Cie Nous Théâtre
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de l’Institut Français - Paris, l’Institut français en Haïti, le Ministère de la Culture et de la Communication (DRAC Bourgogne - Franche-Comté), La Région Bourgogne - Franche-Comté, la Ville de Besançon | diffusion : EPOC productions

  • Julia Kleiter, Julius Drake


    soprano Julia Kleiter
    piano Julius Drake

    Deux grands noms du Lied seront pour la premiere fois réunis à Paris et c’est à l’Athénée ! Julius Drake, pianiste apprécié des plus grandes voix a répondu présent à l’appel de Julia Kleiter, soprano aussi à l’aise à l’opéra qu’en concert. Une soirée de haut vol qui fera entendre notamment les joyaux d’un des plus grands compositeurs de Lied : Hugo Wolf.




    Cher
    public,
     
    En raison de la crise sanitaire, nous sommes au regret de vous annoncer que le Lundi musical du 1er mars avec Julia Kleiter et Julius Drake est malheureusement annulé.
     
    Si vous avez une réservation pour ce spectacle, vous pouvez, en envoyant un mail à caisse@athenee-theatre.com :
     
    - Demander à conserver un avoir sur la saison 2020-2021, valable uniquement sur les spectacles de la saison en cours. Vous pourrez alors choisir, quand vous le souhaitez, d’assister à un autre spectacle de la saison (dans la limite des places disponibles et sans garantie d’un placement équivalent) en contactant la billetterie. Si toutefois vous n’avez pas utilisé votre avoir le 31 juillet 2021, vous pourrez alors en obtenir le remboursement.
     
    - Obtenir le remboursement de votre billet en joignant à votre mail un RIB ou en nous donnant votre accord pour recréditer votre carte bancaire si vous avez acheté vos billets sur notre site internet.
     
    - Soutenir la création artistique à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet, en abandonnant le montant de vos places, qui sera entièrement reversé aux artistes. Envoyez alors un message à caisse@athenee-theatre.com afin de nous communiquer votre décision explicite.
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    En raison du volume important de demandes à traiter, nous vous recommandons de privilégier les échanges par mail. Nous vous remercions par avance de votre compréhension pour les délais de traitement de vos demandes.
     
    La billetterie du théâtre est joignable prioritairement par mail (caisse@athenee-theatre.com) et notre service d’accueil par téléphone est ouvert de 14h à 18h du mardi au vendredi et joignable au 01 53 05 19 19.
     
    En en espérant vous retrouver au théâtre dès que les conditions le permettront,
     
    L’équipe de l'Athénée


    production : Le Balcon 
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

  • Karine Deshayes et ses complices


    mezzo-soprano Karine Deshayes
    soprano Marie-Laure Garnier
    ténor Kaëlig Boché
    violoncelliste Raphaël Jouan
    piano Alphonse Cemin

    Cher public, 

    En raison de la crise sanitaire, nous sommes au regret de vous annoncer que le concert « Karine Deshayes et ses complices », prévu le lundi 22 février, est malheureusement annulé.

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    En raison du volume important de demandes à traiter, nous vous recommandons de privilégier les échanges par mail. Nous vous remercions par avance de votre compréhension pour les délais de traitement de vos demandes.

    La billetterie du théâtre est joignable prioritairement par mail (caisse@athenee-theatre.com) et notre service d’accueil par téléphone est ouvert de 14h à 18h du mardi au vendredi et joignable au 01 53 05 19 19.

    En en espérant vous retrouver au théâtre dès que les conditions le permettront,

    L’équipe de l'Athénée






    Karine Deshayes et Alphonse Cemin, aux côtés de jeunes talents remarqués - Marie-Laure Garnier, Kaëlig Boché, Raphaël Jouan -, célèbrent les 150 ans de la disparition d’Alexandre Dumas. L’illustre écrivain sera mis en lumière par les compositeurs de son époque : Liszt, Berlioz, Franck, Reber, Monpou…

    En raison de la crise sanitaire, ce concert initialement prévu le 7 décembre a été reporté au lundi 22 février 2021.



    *production : Jeunes Talents
    avec le soutien de Groupama Paris Val de Loire et la contribution de la Société des Amis d’Alexandre Dumas

  • Le Diable à Paris


    textes Robert de Flers, Francis de Croisset et Albert Willemetz
    musique Marcel Lattès
    direction musicale Dylan Corlay
    mise en scène, restauration et révision du livret original Édouard Signolet
    avec les girls Mélodie Avezard, Laëtitia Gawiec, Géraldine Deschenaux, Sophie Girardon, Camille Nicolas, June van der Esch
    les boys Bart Aerts, Eric Jetner, Stoyan Zmarzlik, Fabian Miroux
    et l'Orchestre des Frivolités Parisiennes
    Marguerite Marion Tassou
    Marthe Grivot Sarah Laulan
    Paola de Valpurgis Julie Mossay
    André Mathieu Dubroca
    le Diable Denis Mignien
    Fouladou Paul-Alexandre Dubois
    la narratrice Céline Groussard
    collaboratrice artistique Isabelle Monier-Esquis
    scénographie Emilie Roy
    costumes Colombe Loriot Prévost
    maquillage et coiffure Fanny Jakubowicz, Corinne Blot
    création lumière Tristan Mouget
    chorégraphie Caroline Roëlands
    restitution de l'orchestration originale et chef de chant Jean-Yves Aizic
    conseiller artistique Christophe Mirambeau

    Le pire, quand on veut jouer à Faust, est peut-être de voir surgir un diable d’opérette… D’un Pays Basque de carte postale aux frasques de la vie parisienne, cet opéra-comique de 1927, porté par la manière élégante du compositeur Marcel Lattès et les lyrics malicieux d’Albert Willemetz, retrouve la scène grâce l’orchestre des Frivolités parisiennes. Mis en scène par Édouard Signolet, on y voit le diable se tirer lui-même par la queue. Quant à l’humanité, « elle obtient ce qu’elle désire sans même être damnée pour l’éternité… »


    Cher public,

    En raison de la fermeture des salles de spectacle, les représentations prévues pour Le Diable à Paris du 19 décembre 2020 au samedi 9 janvier 2021 inclus sont malheureusement annulées.

    Si vous êtes en possession de billet(s) pour ces spectacles, vous pouvez, en envoyant un mail à caisse@athenee-theatre.com :

    - Reporter votre venue sur une représentation d’un autre spectacle de la saison (dans la limite des places disponibles et sans garantie d’un placement équivalent) en indiquant le spectacle et la date à laquelle vous souhaitez y assister.

    - Demander à conserver un avoir sur la saison 2020-2021, valable uniquement sur les spectacles de la saison en cours. Vous pourrez alors choisir, quand vous le souhaitez, d’assister à un autre spectacle de la saison (dans la limite des places disponibles et sans garantie d’un placement équivalent). Si toutefois vous n’avez pas utilisé votre avoir le 31 juillet 2020, vous pourrez alors en obtenir le remboursement.

    - Obtenir le remboursement de votre billet en joignant à votre mail un RIB ou en nous donnant votre accord pour recréditer votre carte bancaire si vous avez acheté vos billets sur notre site internet

    - Soutenir la création artistique à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet, en abandonnant le montant de vos places, qui sera entièrement reversé à la compagnie. Envoyez alors un message à caisse@athenee-theatre.com afin de nous communiquer votre consentement explicite.

    Si vous êtes en possession de billets achetés via des revendeurs (Fnac, TheatreOnline, etc.), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Merci pour votre soutien,

    L’équipe de l'Athénée



    production : Les Frivolités Parisiennes
    coproduction : l’Atelier lyrique de Tourcoing et le Théâtre Impérial de Compiègne
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de l’Adami, de la Spedidam, de la Mairie de Paris, de la Région Ile-de-France, du Centre National de la Musique, du Mécénat musical de la Société Générale, du Mécénat de la Caisse des dépôts et de la Fondation Singer-Polignac


  • Léa Trommenschlager, Alphonse Cemin


    soprano Léa Trommenschlager
    piano Alphonse Cemin

    La soprano Léa Trommenschlager, inoubliable Ariane à Naxos, retrouve Alphonse Cemin dans une œuvre d’une beauté folle d’Olivier Messiaen : Harawi. Douze chants d’amour et de mort, s’inspirant de la poésie quechua, des rythmes et mythes péruviens prolongeant l’éternelle histoire de Tristan et Yseult.


    Le concert est malheuresement annulé. Plus d'informations sur cette page

    production : Le Balcon 
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung





  • Marc Mauillon, Anne Le Bozec


    baryton Marc Mauillon
    pianiste Anne le Bozec

    Gabriel Fauré occupe une place centrale dans la musique française du tournant du siècle et son talent immense mais secret a trouvé tout au long de sa vie une expression idéale dans ses mélodies. Anne Le Bozec et Marc Mauillon nous livrent un portrait rare de cette figure adorée des musiciens dans un écrin suffisamment intime pour y trouver l’infini.

    Le Lundi musical du 12 avril est malheureusement annulé.
    Plus d'informations sur cette page.

    production : Le Balcon 
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

  • Mr. Shi and his Lover


    musique Njo Kong Kie
    texte Wong Teng Chi
    direction musicale Njo Kong Kie
    mise en scène Tam Chi Chun
    avec Jordan Cheng, Tan Chee Shen
    musiciens Yukie Lai, Njo Kong Kie
    lumières Kwok Kee Gabriel Fung

    Les représentations sont malheuresement annulées. Plus d'informations sur cette page.




    L’histoire, rocambolesque, défraya en son temps la chronique : un jeune comptable de l’ambassade de France en Chine s’éprend d’un artiste de l’opéra de Pékin… qui lui avoue bientôt qu’il est une femme. Vingt ans plus tard, le couple se retrouve accusé d’espionnage par la France. Le jeune employé d’ambassade a trahi son pays par amour… Mais il a, semble-t-il, toujours ignoré une chose : sa compagne était vraiment un homme… Adaptée à l’écran par David Cronenberg sous le titre M. Butterfly, cette ténébreuse affaire inspire désormais la création d’un opéra de chambre, Mr. Shi and his Lover, conçu par des artistes de Macao et de Toronto. Comment ces deux amants-là se sont-ils connus, aimés et trompés ? Puisque dans l’opéra chinois, les hommes tiennent des rôles de femme, Mr. Shi a-t-il poussé son art dans ses retranchements les plus intimes ? C’est ce qu’ausculte ce drame en forme de face à face, dont la musique hybride avec facétie des références asiatiques et occidentales, combinant influences classiques, œuvres phare de l’opéra de Pékin et pop des années 1960. Au détour de l’étrangeté du fait divers, le spectacle, couvert de récompenses par la critique canadienne, propose une réflexion sur les illusions conjuguées de l’amour et de l’opéra. 

    * Les bonnes nouvelles traversent les frontières : le spectacle Mr. Shi and his Lover n’a pas pu être joué la saison dernière, mais il se laissera enfin découvrir cette année.

    production : Music Picnic, Macau Experimental Theatre
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

  • Portrait Lagarce


    textes Jean-Luc Lagarce
    adaptation et mise en scène François Berreur
    avec Laurent Poitrenaux, Marcial Di Fonzo Bo
    d'après son Journal
    création son et vidéo David Bichindaritz
    création lumières Bernard Guyollot
    assistant à la mise en scène Lélio Plotton

    23 cahiers, soit près de 1000 pages : entre 1977 et 1995, Jean-Luc Lagarce a tenu l’écriture de son journal, élaborée dans des cahiers d’écoliers comme une œuvre à part entière, qui, en confidence, raconte une existence par le menu détail des faits quotidiens, par le recueil patient des bonnes et des mauvaises pensées, des humeurs, mais aussi des lectures, des rencontres, et se déploie en brefs récits : les amours, les amis, les emmerdes, mais aussi une description en filigrane de l’histoire du théâtre contemporain et de ce qu’on devait appeler « les années Sida »… Construit autour d’entrées de ce Journal attentivement agencées par François Berreur, cette ébauche de portrait donne à Jean-Luc Lagarce un nouveau visage et une nouvelle voix : c’est porté par l’énergie de Laurent Poitrenaux que l’auteur réapparaît, transformé comme pour être encore plus fidèle à lui-même.



    Cher public,

    En raison de la situation sanitaire, les représentations du spectacle Portrait Lagarce sont malheuresement annulées.

    Si vous êtes en possession de billet(s) pour ce spectacle, vous pouvez, en envoyant un mail à caisse@athenee-theatre.com :

    - Demander à conserver un avoir sur la saison 2020-2021, valable uniquement sur les spectacles de la saison en cours. Vous pourrez alors choisir, quand vous le souhaitez, d’assister à un autre spectacle de la saison (dans la limite des places disponibles et sans garantie d’un placement équivalent). Si toutefois vous n’avez pas utilisé votre avoir le 31 juillet 2021, vous pourrez alors en obtenir le remboursement.

    - Obtenir le remboursement de vos billets en joignant à votre mail un RIB ou en nous donnant votre accord pour recréditer votre carte bancaire si vous avez acheté vos billets sur notre site internet.

    - Soutenir la création artistique à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet, en abandonnant le montant de vos places, qui sera entièrement reversé aux artistes. Envoyez alors un message à caisse@athenee-theatre.com afin de nous communiquer votre consentement explicite.

    Si vous êtes en possession de billets achetés via des revendeurs (Fnac, TheatreOnline, etc.), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Pour toutes vos demandes, et en raison du volume important de demandes à traiter en cette période, nous vous remercions de privilégier les échanges par mail. Nous vous remercions par avance de votre compréhension pour les délais de traitement inhérents à cette situation exceptionnelle.

    La billetterie du théâtre est également joignable par téléphone (01 53 05 19 19) de 14h à 18h du mardi au vendredi.

    L’équipe de l'Athénée

    coproduction : Théâtre Ouvert, Compagnie Les Intempestifs
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet


  • Récital Miaskovsky & Beethoven - Lydia Jardon, piano




    Récital Lydia Jardon

    Beethoven : Sonates n°23 opus 57 (Appassionata) et n°31 opus 110
    Miaskovsky : Sonates n°2 opus 13 et n°4 opus 27

    Passion et distance face au texte, fougue et contrôle dans l’expression. Telle est l’alchimie paradoxale qui distingue le jeu virtuose de Lydia Jardon.

    La pianiste propose à son habitude un programme des plus denses : sa personnalité éruptive trouvera matière idéale au corps-à-corps pianistique qu’elle aime instaurer en récital. A l’affiche, Beethoven, et Miaskovsky. Du premier, Lydia Jardon interprétera les Sonates opus 57 (Appassionata) et opus 110, monuments du répertoire pianistique. Elles seront mises en regard des Sonates n°2 et n°4 de Nikolaï Miaskovsky : une musique puissamment expressive, dont la virtuosité diabolique est au service d’un dramatisme et d’une construction imparables ; ces pages envouteront les amateurs de piano romantique et post-romantique.
    Lydia Jardon vient d’enregistrer les Sonates n°2, 3 et 4 de Miaskovsky. Elle est la fondatrice et directrice de la maison de disque Ar Ré-Sé, dont la politique est d’exhumer des œuvres peu connues. Ar Ré-Sé publiera en janvier 2010 en première mondiale les Quatuors n°1, 5 et 13 de Miaskovsky, dont les partitions sont venues spécialement de Russie grâce à l’amical concours de Chant du Monde.

  • Rien ne se passe jamais comme prévu


    texte inspiré du conte L'oiseau de feu Kevin Keiss
    musique Sylvain Jacques
    mise en scène Lucie Berelowitsch
    le père Jean-Louis Coulloc'h
    la mère Alisa Estrina
    Jonas Jonathan Genet
    Macha Mathilde-Edith Mennetrier
    la fille-fôret Estelle Meyer
    Vladimir Nino Rocher
    le musicien Grégoire Léauté
    scénographie Hélène Jourdan
    costumes Pauline Kieffer
    création sonore Sylvain Jacques
    création lumières François Fauvel, Kelig Le Bars
    création vidéo Yann Philippe, Baptiste Klein
    assistant son Mikael Kandelman
    construction décor les ateliers de la comédie de Caen

    Revenant aux racines du conte russe, mais s’inspirant aussi de sources aussi différentes qu’Andersen, Maeterlinck ou Marguerite Duras, la metteure en scène Lucie Berelowitsch et l’auteur Kevin Keiss proposent une version contemporaine, aventureuse et bien sûr musicale de L’Oiseau de feu, où les thèmes de Stravinsky inspirent des chansons originales, pop-rock, qui s’entremêlent de chœurs issus de chants folkloriques russes.


    Les représentations sont malheuresement annulées. Plus d'informations sur cette page.



    production : Le Préau CDN de Normandie – Vire / les 3 sentiers  
    coproduction : Comédie de Caen, CDN de Normandie, Théâtre Paris-Villette dans le cadre de la résidence associée 2018 au grand-parquet, Théâtre de Choisy le Roi – Scène conventionnée pour la diversité linguistique, Théâtre des Salins – Scène nationale de Martigues 
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet 
    avec le soutien du Ministère de la Culture – DRAC Normandie, du département de la Manche, de la région Normandie et de la Chartreuse Centre national des écritures du spectacle avec la participation artistique du Studio d’Asnières-ESCA | Le projet bénéficie de l’aide au compagnonnage auteur du Ministère de la Culture.

  • Words and Music


    texte Samuel Beckett
    musique Pedro Garcia-Velasquez
    direction musicale Maxime Pascal
    mise en scène Jacques Osinski
    Words Johan Leysen
    Croak Jean-Claude Frissung
    Music Le Balcon
    création lumières Catherine Verheyde
    projection sonore Florent Derex
    création électronique Augustin Muller


    La musique aura-t-elle le dernier mot ? Les mots vont-ils réussir à couper le sifflet à la musique ? De cet affrontement millénaire, Samuel Beckett a tiré une pièce radiophonique et musicale, qu’on pourra retrouver sur une partition flambant neuve : le compositeur Pedro García Velasquez, membre fondateur du Balcon, en donne ici une version résolument XXIe siècle, et forcément un peu colombienne. Le metteur en scène Jacques Osinski retrouve quant à lui Beckett, qu’il a longtemps côtoyé aux côtés de Denis Lavant. Un face-à-face drolatique entre le texte et l’orchestre, qui est aussi “un portrait fascinant de l’artiste en train de créer.”



    Cher public,

    En raison de la situation sanitaire, les représentations du spectacle Words and Music sont malheuresement annulées. 

    Si vous êtes en possession de billet(s) pour ce spectacle, vous pouvez, en envoyant un mail à caisse@athenee-theatre.com :

    - Demander à conserver un avoir sur la saison 2020-2021, valable uniquement sur les spectacles de la saison en cours. Vous pourrez alors choisir, quand vous le souhaitez, d’assister à un autre spectacle de la saison (dans la limite des places disponibles et sans garantie d’un placement équivalent). Si toutefois vous n’avez pas utilisé votre avoir le 31 juillet 2021, vous pourrez alors en obtenir le remboursement.

    - Obtenir le remboursement de vos billets en joignant à votre mail un RIB ou en nous donnant votre accord pour recréditer votre carte bancaire si vous avez acheté vos billets sur notre site internet.

    - Soutenir la création artistique à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet, en abandonnant le montant de vos places, qui sera entièrement reversé aux artistes. Envoyez alors un message à caisse@athenee-theatre.com afin de nous communiquer votre consentement explicite.

    Si vous êtes en possession de billets achetés via des revendeurs (Fnac, TheatreOnline, etc.), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Pour toutes vos demandes, et en raison du volume important de demandes à traiter en cette période, nous vous remercions de privilégier les échanges par mail. Nous vous remercions par avance de votre compréhension pour les délais de traitement inhérents à cette situation exceptionnelle.

    La billetterie du théâtre est également joignable par téléphone (01 53 05 19 19) de 14h à 18h du mardi au vendredi.

    L’équipe de l'Athénée



    production : L’Aurore Boréale et Le Balcon
    coproduction : Scène de recherche ENS Paris-Saclay, Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet



































































































































































































































































  • Conservatoire National de Région de Lille




    La Réunion des amours et La Joie imprévue

    réalisation : Moni Grego

    par l'École d'Art Dramatique de Lille

     

    La Disputa et Gli attori in buona fede

    réalisation : Walter Pagliaro

    par la Bottega Teatrale Vittorio Gassman de Florence

    du 20 juin 89 au 23 juin 89





































  • Chants marins


    Alto Virginie Michaud
    Piano et direction musicale Benoît Urbain

    La Marine

    de Paul Fort et Georges Brassens

    avec : Francesca Solleville

     

    Ça n'a pas d'importance

    de Pierre Mac Orlan et Victor Marceau

    avec : Michel Raskine

     

    Comme a Ostende

    de Jean-Roger Caussimon et Léo Ferré

    avec : Francesca Solleville

     

    Les Marins d'eau douce

    de Armand Lanoux et M. Philippe Gérard

    avec : Francesca Solleville

     

    Le pont du nord

    de Pierre Mac Orlan et M. Philippe Gérard

    avec : Francesca Solleville

     

    Escale

    de Jean Marèze et Marguerite Monnot

    avec : Virginie Michaud

     

    Johnny Palmer

    de Ch. Weber et Cl. Pingault

    avec : Michel Raskine

     

    La femme du marin

    de Bernard Dimey et Jacques Debronckart

    avec : Francesca Solleville

     

    Tendres promesses

    de Pierre Mac Orlan et M. Philippe Gérard

    avec : Francesca Solleville

     

    La mauvaise prière

    de R. Chalupt et Louis Aubert

    avec : Francesca Solleville

     

    C'est charmant

    extrait de l'opérette Coup de Roulis

    avec : Virginie Michaud

    musique : Messager

     

    La chanson de Margaret

     de Pierre Mac Orlan et Victor Marceau

    avec : Marief Guittier

     

    Mes soeurs, n'aimez pas les marins

    de Jean Cocteau

    avec : Marief Guittier

     

    Matelots

    de Tristan Corbière et Lino Léonardi

    avec : Francesca Solleville

    du 1er nov. 92 au 22 nov. 92





























  • concert


    Violon Fabio Biondi
    Clavecin Rinaldo Alessandrini

    Jean-Marie Leclair, Sonate n°8 en sol majeur, Premier Livre

    Heinrich Ignaz Franz von Biber, Passacaglia pour violon solo

    Dario Castello, Sonata prima a soprano e basso

    Giuseppe Tartini, Sonate en sol mineur Didone Abbandonata

    Antonio Vivaldi, Sonate en ré mineur RV 12

    Johann Sebastian Bach, Sonate pour clavecin obligé et violon n°6, BWV 1019



    production : Radio France
    23 janv. 95












  • Les romans du théâtre


    Dirigée par Michèle Kokosowski

    Avec : Sid Ahmed Agoumi, Claire Amiand-Glory, Paula Ascensao, Michel Aumont, Pierre Banderet, Juliette Batlle, Philippe Beauchamp, Nathalie Bécue, Simon Bérard, Marucha Bo, Nathalie Boutefeu, Marcel Bozonnet, Pierre-Alain Chapuis, Charles Chemin, Manuela Ciavarella, Christiane Cohendy, Cécile Cora, Thomas Cousseau, Stéphane Dauch, Vanina Delannoy, Victor De Oliveira, Nicolas Delpeyrat, Marcial Di Fonzo Bo, Christophe Doubliez, Jean-Yves Dubois, France Ducateau, Marie-Eve Edelstein, Myriam Ferron, Christine Fersen, Hean Fürst, Jany Gastaldi, Yves-Noël Genod, Jean-Christophe Gérace, Christian Gonon, Mario Gonzales, Christophe Greilsammer, Solveg Halloin, Jesus Hidalgo, Magali Honorat, Alison Hornu, Isabelle Janier, Jérôme Kircher, Anne Klippstiehl, Nathalie Koustnetzoff, Franck Lacroix, Sandrine Lemetayer, Nicolas Liautard, Denis Loubaton, Françoise Macciochi, Alain Macé, Marcel et Mathias Maréchal, Pierre Martot, Laurent Millet, Sophie Mirhan, Redjep Mitrovitsa, Etienne Oumedjkane, Bruno Pesenti, Fabien Petit-dit-Dariel, Darius Peyamiras, Valérie Philippin, Agnès Pontier, Olivier Rabourdin, Magali Renoire, Gilles Ronsin, Bernard Saint-Omer, Richard Sammel, Brigitte Seth, Agnès Sourdillon, Nada Strancar, Philippe Suberbie, Jean-Marie Villégier, Jeanne Vitez, François Wastiaux et André Wilms

     

    du 20 oct. 95 au 5 nov. 95













  • Paris sous les Bourbons


    Direction Christophe Rousset
    Avec Les Talents Lyriques
    Violon Makoto Akatsu
    Flûte Jocelyn Daubigney
    Viole de gambe Kaori Uemura
    Soprano Delphine Collot
    Clavecin Christophe Rousset

    Jean-Baptiste Lully, La Nymphe de la Seine, extrait d'Alceste

    Marin Marais, Sonnerie de Sainte-Geneviève du Mont à Paris

    Pascal Colasse, La Nymphe de la Seine, extrait d'Astrée

    Johann Jacob Froberger, Tombeau faict à Paris sur la mort de Monsieur Blancheroche

    Georg Philipp Telemann, Sixième Quatuor en mi mineur des Nouveaux Quatuors Parisiens

    Jean-Baptiste Forqueray, Le Carillon de Passy

    François Couperin, Les Plaisirs de Saint-Germain-en-Laye

    Jean-Philippe Rameau, Premier Concert des Pièces de clavecin en concert

    Louis Lemaire, La Cascade de Saint-Cloud



    production : Radio France
    13 janv. 97




  • Mozart et Paris


    Soprano Delphine Collot
    Regard sur la mise en scène Nicolas Vaude
    Violon John Holloway
    Clavecin Olivier Baumont

    Les deux premiers voyages de Mozart à Paris

    Wolfgang Amadeus Mozart, Sonate en ré majeur pour clavecin et violon K.7

    Michel Corrette, Ah ! vous dirais-je Maman

    Christophe Moyreau, La Parisienne, pour clavecin

    Claude Balbastre, Trois pièces pour clavecin

    Johann Schobert, Sonate en ré mineur pour clavecin et violon opus 14 n°4

     

    Le troisième et dernier voyage de Mozart à Paris

    Jacques Duphly, Ah ! que vos charmes causent d'allarmes

    Claude Balbastre, Deux ariettes, arrangés pour soprano et clavecin

    Wolfgang Amadeus Mozart, Oiseaux, si tous les ans/Dans un bois solitaire

    Wolfgang Amadeus Mozart, Douze variations en do majeur sur Ah ! vous dirais-je Maman

    Wolfgang Amadeus Mozart, Sonate en mi mineur pour violon et clavecin K. 304



    production : Radio France
    24 févr. 97

  • Les Cris de Paris


    Direction Dominique Visse
    Avec Ensemble Clément Janequin de Paris
    Images Dominique Visse
    Ténor Bruno Boterf
    Baryton Vincent Bouchot, François Fauché
    Basse Renaud Delaigue
    Lyrics Eric Bellocq

    Claude Le Jeune, Une puce/Qu'elle eau, quel air/Qu'est devenu ce bel oeil/Tu ne l'entens pas/Le chant de l'alouette

    Nicolas Vallet, Prélude n°10 (luth)

    Anthoine de Bertrand, Ce ris plus doux/Dans le serain de sa jumelle flamme

    Jean-Baptiste Besard, Praeludium n°4 (luth)

    Anthoine de Bertrand, Marie qui voudroit vostre nom retourner

    Nicolas Vallet, Quand on arrestera la course coutumière

    Nicolas Vallet, Prélude n°14 (luth)

    Paschal de l'Estocart, Qu'est-ce du cours/Mondain si tu le sçais, di moy/Quand le jour, fils du soleil/La glace est luisante et belle/Morte est la mort

    Clément Janequin, Les cris de Paris/Qu'est ce d'amour/My lever par ung matin/L'amour, la mort et la vie/Or viens ça, viens

    Claudin de Sermisy, Au joly boys

    Adrian Le Roy, Pavane et gaillarde Sy je m'en vois éd. 1551

    Claudin de Sermisy, Je ne menge point de porc/La, la maistre Pierre/Dont viens cela/Dont viens cela (arr. Attaingnant) (luth)/Tant que vivray/Vien tost Attaingnant, Prélude n°4 (luth)

    Claudin Sermisy, Tu disoys que j'en mourroys

    Adrian Leroy, Bransles de Malte (luth)

    Clément Janequin, La Chasse



    production : Radio France
    3 mars 97






  • Ruggero Raimondi


    Avec Ruggero Raimondi
    Piano Anne-Marie Fontaine

    Jacques Ibert, Quatre Chansons de Don Quichotte : Chanson du départ/Chanson du Duc/Chanson de la Dulcinée/Chanson à la mort

    Henri Duparc, Extase/L'invitation au voyage/Le manoir de Rosemonde

    Gabriel Fauré, Après un rêve/Tristesse/Toujours

    Maurice Ravel, Don Quichotte à Dulcinée : Chanson romanesque/Chanson épique/Chanson à boire

    Wolfgang Amadeus Mozart, Extrait des Nozze di Figaro « Non piu andrai »

    Luigi Denza, Occhi di fata

    Augusto Rotoli, Mia sposa sara la mia bandiera

    Modest Petrovitch Moussorgsky, Extrait de Boris Godounov, La mort de Boris



    organisé par la Nouvelle Association Française des Sclérosés en Plaques
    21 avr. 97



































  • Soirée consacrée à l'Europe




    Forum Femmes Méditerranée

    lectures d'extraits de nouvelles

    chants avec : Fatouma Boismarie, Christiane Pajol, Nicole Yannis

     

    Check Point Charlie

    souvenirs du XXème siècle de Frédérique Wolf-Michaux

    alto : Anne Naudon, Frédérique Wolf-Michaux Nadine Estève

    accordéon et clarinette : Sylvain Gargalian

    piano : Stéphane Leach

    clarinette basse et percussions : Cédric Lecellier

    assistantes à la création : Dalila Khatir et Anne Naudon

    collaboration dramaturgique : Claude Ber

    composition et direction musicale : Stéphane Leach

     

    Lecture de textes consacrés à l'Europe

    avec : Christian Benedetti, François Marthouret, Jean-Pierre Moulin, Edith Perret, Maud Rayer, Bernadette Rollin

    et la participation d'Angélique Ionatos, chanteuse



    organisée par Les Ateliers de Mai
    10 mai 99





















  • Les Noces de Figaro


    Direction Jean-Luc Tingaud
    Avec Orchestre OstinatO
    Violoncelle Nicolas Delclaud
    Avec Cécile Bonnet, Olivier Heyte, Mathieu Lecroart, Laurence de la Morandière, Mylène Mornet

    de Wolfgang Amadeus Mozart d'après Beaumarchais

    nouvelle adaptation française d'Éric-Emmanuel Schmitt et Pierre Jourdan

     

    Ouverture n°1 : Duo Figaro/Suzanne (Douze, treize...Acte I)

    n°10 : Air de Figaro (Plus jamais tu n'iras...Acte I)

    n°11 : Air de la Comtesse (Pauvre Amour...Acte II)

    n°13 : Air de Suzanne (Venez, mettez-vous à genoux...Acte I)

    n°14 : Trio Comtesse/Suzanne/Comte (Suzanne, sortez vite...Acte II)

    n°17 : Duo du Comte et de Suzanne (Pourquoi m'as-tu, cruelle...Acte III)

    n°21 : Duo Suzanne/Comtesse (J'écoute...Dans le buisson d'aubépines...Acte III)

    n°23 : Marche

    n°24 : Cavatine de Barberine (Maladroite, tout m'échappe...Acte IV)

    n°27 : Final-à partir de la mesure 51- (Il est parti le drôle?)

    20 janv. 00































































  • Loïe Fuller : fantômes et artifices


    Avec les danseurs du CCN - Ballet de Lorraine
    Chorégraphie et mise en scène Bud Blumenthal
    Chorégraphie et conception "Phantom Limbic" Karole Armitage
    Chorégraphie "Le Sacre du Printemps" Marcia Barcellos

    Phantom Limbic

    Avec : Christophe Béranger, Simon Courchel, Grégory Deglane, Miroslaw Gordon, Alexis Gutierrez, Matthieu Pichon (Pierre-François Badoud)  

    Musique : Cédric Stevens

    Vidéo : Forêt bleue studio

    Lumières : Jean-Jacques Deneumoustier

    Costumes : Cathy Peraux 

     

    Melodien

    Avec : Ludivine Cornière et Larissa Boutenko (4 et 7 déc.) - Morgan de Quelen et Myrina Branthomme (5 déc.) - Morgan de Quelen et Valérie Ferrando (6 déc.)

    Musique : György Ligeti

    Costumes : Peter Speliopoulos

    Perruques : Danilo 

     

    L.F.O. - Low Frequency Oscillator

    Avec : Larissa Boutenko, Xavier Chasseur-Daniel, Dimitri Domojirov, Marie-Séverine Hurteloup, Gilles Kanert, Georgi Milev, Alister Noblet, Ifan Pierce, Ophélie Longuet, Ligia Saldanha, Florence Viennot (Nina Khokham)

    Scénographie, musique et images : Karl Biscuit 

    costumes et accessoires : Marcia Barcellos 

    Assistante chorégraphie : Nancy Rusek 

    Assistant composition musicale : Emmanuel Ramux 

    Assistant scénographie et lumières : Serge Maurin 

    Costumes : Nathalie Sanson, Faustine Berthet 



    Production : Centre Chorégraphique national - Ballet de Lorraine
    Co-réalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 4 déc. 02 au 7 déc. 02






































  • Le film de théâtre : du devoir de mémoire à l'oeuvre cinématographique


    Animées par Geneviève Joublin, Arnaud Laporte
    Arrangements Anne Quentin

    Les relations théâtre-audiovisuel

    Avec : Monique Barbaroux, Olivier Cottet-Puinel, Yvon Davis, Jérôme Deschamps, Christian Dulong de Rosnay, Xavier Gouyou-Beauchamps, Emmanuel Hoog, Fabien Jannelle, Don Kent, David Kessler, Gildas Le Roux, Franceline Lepany, Jean-Louis Martinelli, Jean-Baptiste Mathieu, Emmanuel Pierrat, Jean-Michel Ribes, Andy Sommer

     

    L'exploitation commerciale de l'oeuvre

    Avec : Claire Dornoy, Jean Douchet, Jacques Expert, Varda Lerin, Christian Longchamp, Isabelle Mestre, Pascal Peyrou, Jean-jacques Schpoliansky, Michel Strulovici, Bertrand Roger, Manuel Rougeron

     

    L'exploitation non commerciale de l'oeuvre

    Avec : Jacques Baillon, Danielle Chantereau, Pascal Charvet, Isabelle Gérard-Pigeaud, Joël Huthwohl, Jean-Claude Lallias, Serge Toubiana, Serge Tunon de Lara

     

    Intervention de Renaud Donnedieu de Vabres, Ministre de la Culture et de la Communication 



    organisé par l'Athénée Théâtre-Louis Jouvet et le Centre national du Théâtre
    31 janv. 05





  • Ordre moral-Ordre Pénal


    Animée par Lissa Lincoln
    Intervenants Marcela Iacub, Denis Salas

    Autour de Requiem pour une nonne de William Faulkner, adaptation d’Albert Camus

    Dans le cadre des rencontres "Théâtre et justice", organisées avec le Centre National du Théâtre

    L’héroïne de Faulkner et Camus se débat entre culpabilité et plaisir dans l’Amérique conservatrice du Sud. Ne lui ressemblons-nous pas, nous qui, trente ans après la révolution sexuelle, nous interrogeons sur nos libertés ? Quelle est la place de la culpabilité et de la justice dans l’œuvre de Camus ?

    avec Marcela Iacub, juriste, chargée de recherches au CNRS, auteur de L'Empire du ventre. Pour une autre histoire de la maternité, Fayard, 2004 et de Le crime était presque sexuel, Flammarion, 2003.

    et Denis Salas, magistrat, auteur deAlbert Camus, la juste révolte, Michalon, 2002 et de La Volonté de punir, Essai sur le populisme pénal, Hachette Littérature, 2005 

    débat animé par Lissa Lincoln, professeur de littérature comparée à l'American University of Paris 



    organisé avec le Centre national du Théâtre

    en partenariat avec le magazine Culture Droit 

    pour plus d'infos

    introduction de Denis Salas

    15 oct. 05






  • Nouvelles femmes, nouvelles mères, nouvelles familles : réflexion pour la construction de la société à venir


    Intervenantes Sylviane Agacinski, Sihem Habchi, Valérie Toranian
    Montreur d'images (vidéo) Nicolas Truong

    forum destiné au public scolaire de La Révolte et de Filumena Marturano

     

    En 2004, les jeunes spectateurs de L’École des femmes débattaient autour des relations filles/garçons.
    L’Athénée souhaite cette saison interroger le public adolescent sur son expérience de la famille, sa perception des bouleversements de la condition féminine et de la révolution du schéma familial, son avenir de mère ou de père…
    C’est à partir d’exemples de femmes puisés dans notre programmation, témoignant des différents aspects du rôle social assigné à la femme, qu’on proposera aux filles et aux garçons de parler de l’organisation de la société à venir.

    Ce forum de discussion sera donc un grand débat, animé par des intervenants extérieurs au monde du théâtre et de l’éducation : des personnalités aux points de vue exceptionnels (militants, journalistes et philosophes). 

    Avec Sylviane Agacinski, philosophe, EHESS

    Valérie Toranian, directrice de la rédaction du magazine Elle

    Sihem Habchi, Vice-présidente du mouvement Ni Putes, Ni Soumises

    et comme modérateur, Nicolas Truong, journaliste du Monde de l'éducation 

     



    organisé en partenariat avec Le Monde de l'éducation

     

    Ce forum reçoit le soutien de la délégation régionale des Droits de la femme et de la Parité et de la Ville de Paris. Il est organisé en partenariat avec les Rectorats des Académies de Paris, Créteil et Versailles.

     

    26 janv. 06



  • Le temps, un nouvel enjeu de droit pour les couples et la parenté


    Animé par Alain Vogelweith
    Intervenantes Irène Théry

    autour de La Révolte de Villiers de L’Isle-Adam et Filumena Marturano d’Eduardo De Filippo

    Pourquoi notre rapport au temps a-t-il changé ? Peut-on parler de temps masculin et de temps féminin ? Quels nouveaux risques sont apparus ? Quelles solutions inédites s’inventent dans la vie privée pour y faire face ? Comment le droit est sollicité et comment répond-il ? 
    A travers le prisme du temps, c'est un autre regard sur les mutations contemporaines du couple et de la famille et leurs enjeux juridiques qui peut être envisagé.
    Irène Théry

    avec Irène Théry, sociologue, Directrice d’études à l'EHESS, auteur de Recomposer une famille - Des rôles et des sentiments, Textuel, 2001, Le Démariage, Odile Jacob, 2001 et Couple, Filiation et Parenté aujourd'hui - Le droit face aux mutations de la famille et de la vie privée, Odile Jacob, 1998

    débat animé par Alain Vogelweith, vice-président chargé du tribunal pour enfants de Bobigny


    organisée avec le Centre national du Théâtre

     

    en partenariat avec le magazine Culture Droit 

    13 mars 06






  • Prisons pour mineurs : sanction ou prévention?


    Animé par Cécile Hamon
    Intervenants Jean-Louis Daumas, Christian Benedetti, Sophie Lecarpentier

    autour du Bagne de Jean Genet


    Si Jean Genet a sacralisé Le Bagne et les maisons de redressement, ils n’en restent pas moins des lieux de violence et de punition. Quels sont les dispositifs de peines pour les mineurs à l’heure actuelle, en France ? N’allons-nous pas vers un durcissement des peines pour enfants et un amoindrissement de la formation et de l’accompagnement de ceux-ci en milieu carcéral ? Quel est l’état des centres pour jeunes détenus ? 
    Nous questionnerons Jean-Louis Daumas à ce sujet. Il sera accompagné de deux metteurs en scène, Christian Benedetti et Sophie Lecarpentier, qui, après avoir travaillé dans des prisons européennes, souhaitent faire un état des lieux et ouvrir le débat sur la réalité de l’incarcération des enfants mineurs en Europe.

    avec Jean-Louis Daumas, ancien directeur du Centre des jeunes détenus de Fleury-Mérogis, Directeur régional de la Protection de la Jeunesse de Picardie, et chef de projet à la direction de la PJJ pour les établissements pénitentiaires pour mineurs, auteur de La Zonzon de Fleury, Éditions Calmann-Lévy, 1994. 
    Christian Benedetti, metteur en scène, directeur du Théâtre-Studio d’Alfortville.
    et Sophie Lecarpentier, metteur en scène, compagnie Eulalie

    débat animé par Cécile Hamon, directrice administrative du CNT, assesseur au Tribunal pour enfants de Paris



    organisé avec le Centre national du Théâtre

     

    en partenariat avec le magazine Culture Droit 

    15 mai 06


  • Claire-Marie Le Guay


    Piano Claire-Marie Leguay

    A l’occasion de la sortie de son nouvel album Haydn/Mozart : "De l’aurore au Zénith", Claire-Marie Le Guay donnera un concert unique. 
    Haydn – Mozart : un sublime jeu de miroir entre les compositeurs : nombreux sont les points communs de leur écriture, et pourtant, on ne peut les confondre. Haydn, si admirable d'imagination, si proche de nous par sa profonde humanité ; Mozart, éclatant et tragique, troublant par le mystère divin qui se dégage de sa musique.

    Programme du concert :
    HAYDN : Sonate en Mi bémol M. Hob XVI : 49
    MOZART : Sonates en Si bémol M. K 570 & en Ut m. K 457
    LISZT : Légendes de Saint-François d’Assise et de Saint François de Paule 

    Tarifs : de 32 à 9,50 €
    Tarifs préférentiels réservés aux abonnés de l’Athénée (uniquement sur certaines catégories et dans la limite des places disponibles).
    Réservations : 01 53 05 19 19 


    Universal Classic
    30 mai 06


























  • "Où en êtes-vous de vos engagements politiques ?"


    Animé par Anne Quentin
    Intervenants Rony Brauman, Jean-Pierre Le Goff
    Avec Khaled Al-Jaramani
    Intervenants Isabelle Sommier

    En 2004, 14 classes, soient 400 jeunes spectateurs de L’École des femmes débattaient à l’Athénée autour des relations filles/garçons et en 2006 les jeunes spectateurs de La Révolte et de Filumena Marturano autour des nouvelles formes familiales.
    L’Athénée Théâtre Louis-Jouvet et les Académies de Paris, Créteil et Versailles souhaitent cette saison interroger le public adolescent sur leurs engagements politiques, thème soulevé par 2 pièces au programme de notre théâtre cette saison.

     

    Pour la troisième année consécutive, l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet organise un Forum de discussion destiné aux lycéens sur un thème de société lié à notre programmation. Nous invitons vos élèves à y participer. Ainsi, l’Athénée poursuit sa mission de service public et son désir d’ouverture à un public jeune en offrant aux lycéens un espace de liberté, d’échanges et un élargissement de point de vue, d’un texte dramatique à un débat d’actualité, à un débat citoyen. Ces forums constituent un moment symbolique et fort de la programmation de l’Athénée.

     

    A partir de deux pièces programmées cette saison : Le Suicidé-comédie de Nicolaï Erdman et Les Justes d'Albert Camus, nous souhaiterions interroger nos jeunes spectateurs, vos élèves, sur l'état et les formes de leurs engagements politiques.

     

    Le Forum 2007 s'intitule "Où en êtes-vous de vos engagements politiques?".

    A la veille des élections présidentielles, cela semble le bon moment pour susciter le débat.



    organisé en partenariat avec les Rectorats des Académies de Paris, Créteil et Versailles avec le soutien de la Ville de Paris.

     

    Site externe

    3 avr. 07








  • Journée du patrimoine humain




    L’Athénée ouvre ses portes et invite le public à rencontrer tous ceux qui ont contribué à ces 25 années - artistes, techniciens, administratifs, agents d’accueil…A cette fête, que nous organisons lors des traditionnelles Journées du patrimoine, nous avons voulu lui donner le nom de Journée du patrimoine humain de l’Athénée.
    En effet, ce sont davantage les hommes et les femmes que nous voulons célébrer, plutôt que les murs plus que centenaires de ce Monument historique cher à nos coeurs. Depuis 25 ans, les plus grands noms du théâtre et de la musique s’y sont succédé. On pourra ce jour-là les rencontrer, les réentendre, les revoir… : visites du théâtre, buvettes dans le square, animations…

    Spectateurs : venez rencontrer tous ceux qui ont contribué à ces 25 années.
    Artistes, techniciens, administratifs, agents d’accueil : avis de recherche !
    Vous avez travaillé à l’Athénée, ces 25 dernières années. Vous souhaitez participer à cette fête. Inscrivez-vous

    10h à 20h
    16 sept. 07



  • Celea/Couturier/Humair "Tryptic"


    Avec Jean-Paul Celea, François Couturier, Daniel Humair

    Amis de longue date, Daniel Humair, Jean-Paul Celea et François Couturier ont enregistré pour la première fois ensemble. Ils viennent de sortir leur premier album studio en trio Tryptic sur le label BEE JAZZ/Abeille Musique Ces trois maîtres s’abandonnent à l’improvisation et réinterprètent des œuvres classiques de Gustav Mahler, Benjamin Britten, Beethoven ou bien encore John Surman.

    Jean-Paul Celea : contrebasse
    François Couturier : piano
    Daniel Humair : percussions

    20h
    1er oct. 07

  • l'ensemble A Venti


    Avec l'ensemble A Venti

    sur instruments anciens

    programme : L'Enlèvement au Sérail (transcription pour octuor à vent) de Mozart

    Passion, fougue, générosité… rien d’étonnant à ce que le nouvel ensemble A Venti ait choisi de consacrer son premier enregistrement à l’Enlèvement au Sérail, dans sa transcription pour octuor à vent attribuée à W.A Mozart.
    Les musiciens d’A Venti, tous membres des ensembles de musique ancienne les plus prestigieux, explorent le répertoire pour harmonie depuis près de quinze ans, avec une complicité et une exigence saluées par le public et les critiques à de nombreuses reprises (diapason d’or 2002 pour la Gran Partita avec l’ensemble Philidor).
    Ce nouvel élan, empreint de maturité et de fraîcheur, d’exubérance et de simplicité, sert là une partition éblouissante où les passages les plus virtuoses côtoient des instants d’une émouvante simplicité. Est-elle de la main de Mozart comme l’atteste une lettre de lui à son père ? L’a t-il seulement supervisée ? Peu importe car les 17 séquences qui ponctuent le déroulement de cette transcription sont d’une verve et d’une invention qui nous ravissent.
    Le plaisir évident que prennent les musiciens de l’ensemble A Venti à nous offrir une œuvre où la fantaisie côtoie la profondeur mozartienne nous invite d’ores et déjà à les suivre toujours plus avant.

    20h
    8 oct. 07



  • Franz Liszt / Pascal Amoyel




    Harmonies Poétiques et Religieuses

    Élu Révélation Soliste Instrumental en 2005 aux Victoires de la Musique, Pascal Amoyel s’affirme depuis plusieurs années comme une personnalité marquante du piano français.
    Avec son troisième disque soliste consacré à Franz Liszt, il nous convie à une fabuleuse expérience !
    Dans un tempo idéal, chaque pièce nous livre ses secrets. Pas un brin d’emphase, de mièvrerie, de théâtralité déplacée : tout le génie lisztien se révèle dans la conception orchestrale du clavier.

    20h
    5 nov. 07




  • Le théâtre à l'italienne revisité




    " L'édifice nous révèle le secret du monde ", disait Louis Jouvet. Le directeur de l'une des plus belles salles à l'italienne de Paris sait que c'est le lieu qui détermine le projet artistique. Les compagnies accueillies doivent prendre conscience de ses particularités et jouer avec ses contraintes sans s'en détourner : le cadre de scène, le décor de la salle, l'acoustique. On évoquera lors de cette rencontre la rénovation de l'Athénée en 1998, la mise en valeur de ce patrimoine et de son histoire, ainsi que les choix de programmation : place au texte, aux mots, à un théâtre de voix, qui, dans l'intimité de cet écrin,est ce que les artistes partagent le mieux avec le public.

    Rencontre avec Matthias Langhoff, metteur en scène, Denis Léger, directeur technique de l'Athénée, Patrice Martinet, directeur de l'Athénée, Patrick Sourd, journaliste et Chantal Thomas, scénographe, animée par Jean Pierre Léonardini.

    Bibliothèque nationale de France | site François-Mitterrand
    Petit auditorium, Hall Est | Quai François Mauriac, Paris 13e
    18h30 à 20h30
    12 déc. 07





  • concert du Klangforum Wien




    Dans le cadre du Festival Voix Etouffées 2008

    programme :
    Roman Haubenstock-Ramati (1919-1994) : Trio à cordes
    Jozef Koffler (1896-1943) : Trio à cordes (création française)
    Erich Itor Kahn (1905-1956) : Leichte Nachtmusik
    Amaury du Closel : NaHem (création mondiale)

    avec : Klangforum Wien

    Le Festival Voix Etouffées (troisième édition à Paris - Invalides, Sénat, Athénée - du 12 au 31 janvier 2008) a pour but de faire redécouvrir la musique des nombreux compositeurs qui furent victimes du régime nazi. Leur souvenir fut souvent emporté dans la tourmente des déportations ou de l’exil, malgré la qualité parfois extraordinaire de leurs œuvres.
    Pour convaincre le grand public, il fallait faire porter ces œuvres neuves par des interprètes incontournables, au rang desquels figure le prestigieux ensemble viennois Klangforum. Ce dernier – en formation de trio à cordes donnera à l’Athénée en première audition française des œuvres étonnantes d’invention du polonais Jozef Koffler, assassiné par la Gestapo en 1943, de son élève Roman Haubenstock-Ramati, et de l’allemand Erich Itor Kahn, trop injustement méconnu.
    Une œuvre commandée au compositeur Amaury du Closel, NaHem, inspirée par une prière juive se référant à la destruction de Jérusalem et sa reconstruction par Dieu, sera créée en première mondiale.
    Au-delà du devoir de mémoire dû à ces destins souvent tragiques, c’est tout un pan de l’histoire de la musique que ce concert permettra de découvrir, grâce à la qualité intrinsèque et universelle des œuvres présentées.

    21 janv. 08

  • Forum de discussion jeunes




    " Qui sont les Nègres aujourd’hui en France ? Quel regard

    portez-vous sur l’autre en 2008 : immigration, discrimination

    et métissages culturels ? "



    Comme depuis 4 saisons, l’Athénée organise en 2007/2008 son grand Forum de discussion jeunes (500 jeunes réunis à l’Athénée pour débattre et prendre la parole sur des problématiques sociales actuelles soulevées par des pièces au programme du Théâtre).

    Nous souhaitons cette année prendre appui pour ce forum sur les deux premiers spectacles de la saison, Les Nègres de Jean Genet, écrite en partie autour du colonialisme et Topdog/Underdog de Suzan-Lori Parks, sur la communauté noire aux USA, pour interroger les jeunes lycéens d’Ile-de-France sur leur vision de la société et des problèmes d’intégration, d’immigration et de racisme.

    Invités :
    Robert Castel, sociologue, directeur d’études à l'EHESS, auteur de La discrimination négative, citoyens ou indigènes, octobre 2007, Seuil
    Pap Ndiaye, historien à l'EHESS, auteur de La Condition noire, à paraître bientôt chez Calmann-Lévy
    Dominique Sopo, président de SOS Racisme
    débat animé par Anne Quentin, journaliste

    + d'infos

    inscriptions auprès de Soizic le Lasseur : soizic.lelasseur@athenee-theatre.com ou 01 53 05 19 10
    (envoyer une demande avec une présentation du projet de classe).
    31 janv. 08







  • Concert David Garcia




    Piano : David Garcia
    Contrebasse : Jeff Pautrat
    Batterie/Cajon : Sabrina Calvo
    Percussions : Michaël Olivier

     

    A l’occasion de la sortie de l’album du pianiste David Garcia, musicOvations présente à l’Athénée le premier volet de la trilogie, BROOKLYN’S LOVERS Vol 1. Cet album pose non pas un principe mais une invitation à l’errance géographique, historique et générique.
    David Garcia ne s’interdit rien, du moment que ça sonne juste et vrai, dès lors que la musique correspond à sa part la plus intime, et qu’elle lui semble pouvoir toucher les gens ou les entraîner dans son vertige.
    Sa musique mélange les genres et nous fait courir le monde, nous offrant des couleurs multiples, tantôt héritées de l’apprentissage classique, tantôt nourries par une curiosité insatiable, des nombreuses écoutes et pratiques de musiques diverses, latines notamment – arabo-andalouses, cubaines ou argentines -, populaires ou savantes. Il pratique un jazz épris de liberté.
    Le piano solo parle au cœur, le quartet davantage peut-être à la chair toute entière, mais tous les morceaux ont la même exigence : trouver ce que les mots ne peuvent dire. Sensibles, humains, ils paraissent du coup étrangement concrets ; tous parlent aux sens, à tous les sens.

     

    2oh3o

    26 mai 08

  • Soirée Label Lontano




    Le label Lontano vous invite à retrouver ses artistes en concert pour un début d'été en musique.Danielle Laval, Valentina Igoshina, Dmitri Makhtin, Jean-Marc Phillips Varjabédian, Liat Cohen, Sylvain Blassel, Alexandre Gasparov, Christophe et Tony Raymond y interpréteront des oeuvres de Bach, Chopin, Mendelssohn, Khatchaturian ...
    2 heures de plaisir musical suivies d’une rencontre avec les artistes.

     

    réserver

     

    19h30

    16 juin 08

  • Récital de piano Véronique Bonnecaze




    Bach, Chopin, Rachmaninov


    programme
    Chaconne : Bach/Busoni
    Prélude en si mineur : Bach/Siloti
    Moments musicaux n°3 et 4 : Rachmaninov
    Etudes-tableaux op. 39 n°1, 6, 9 : Rachmaninov
    durée 45 min
    Entracte
    Ballade n°3 : Chopin
    Sonate op. 58 en si mineur : Chopin
    durée 45 min

    production : Hautefages Musiques

    Une très grande technique.
    Le son est chaud, plein et coloré, jamais forcé, jamais heurté.
    L'interprétation est aristocratique et poétique, mais suffisamment forte, pour faire passer des grands moments de musique. En général on retrouve ce genre d'interprétation dans la grande tradition romantique chez les interprètes du passé comme Josef Lhevinne. Peu de pianistes aujourd'hui, ont cette sorte d'intelligence et de goût. Mademoiselle Bonnecaze l'a.
    Harold C. Schonberg

    Véronique Bonnecaze impressionne par la franchise de son jeu. Aucune afféterie, aucun maniérisme ne vient s'interposer entre la musique et l'auditeur. Non, autant que faire se peut étant donné leur difficulté, Véronique Bonnecaze prend les Etudes de Chopin au pied de la lettre et elle fait de la musique ! Dans son jeu sévère et qui rappelle celui de Wilhelm Backhaus, elle déploie une énergie alliée à une hauteur de vue impressionnantes, s'oubliant pour faire entendre la musique et rien qu'elle.
    Alain Lompech

    réserver

    20h

     

    23 juin 08








  • concert « Palummella » - Neapolis Ensemble




    chants & musiques traditionnels de Naples

     

    Le Neapolis Ensemble poursuit son travail d'exploration du répertoire traditionnel napolitain au travers du thème de la Résistance.

    La résistance à la disparition des langues, des traditions, des cultures, la résistance à la violence et aux abus d'une pensée unique... Cela peut paraître étonnant, mais ce sujet est déjà largement traité dans les chants qui trouvent leur origine entre le 17ème et le 19ème siècle.

    Comme le titre même du concert l'indique, Palummella, petit papillon, les interprètes reprennent un sujet très répandu dans leur tradition musicale, celui des sentiments (amour, paix, espoir, dépression, mal et joie de vivre) confiés à des "animaux volants" : oiseaux, papillons, abeilles...

    Il ne pouvait en être autrement quand on sait que le peuple napolitain, dit-on, vole beaucoup sur les ailes de la fantaisie ! Il existe de nombreux chants dont les interprètes principaux sont ces porteurs de liberté ; au 19ème siècle surtout, beaucoup de compositeurs, anonymes ou non, ont écrit des chants révolutionnaires et d'amour en demandant à une "palummella" de faire suivre le message.


     



    20h
    17 nov. 08

  • Récital Benjamin Alard, clavecin - Manuscrit Bauyin




    Un florilège des compositions de Louis Couperin, mêlées à celles des maîtres et amis, proches ou lointains.
    À Paris, un jour de 1652, une tenture s'écarte et nous révèle Couperin et Froberger échangeant avec animation autour d'un clavecin. Le célèbre « globetrotter » joue quelques pièces italiennes, improvise et cède le clavier au jeune organiste
    de Saint-Gervais...
    Benjamin Alard a obtenu le Premier Prix et Prix du public au Concours international de clavecin de Bruges en 2004.


     



    20h30
    24 nov. 08


  • « 10 ans du label Saphir Productions »




     

    A l'occasion de ses 10 ans, le label Saphir Productions organise toute une série de concerts avec les artistes du label !

    Depuis 1998, Saphir Productions, c'est 100 CD réalisés avec cœur et passion malgré la crise que traverse l'édition phonographique depuis toutes ces années.
    Particulièrement tournée vers la musique de chambre, il réside dans l'esprit de la maison Saphir un côté intimiste propre à elle-même clairement perceptible dans les œuvres qu'elle choisit de produire grâce à des musiciens de renom, tels Emile Naoumoff, Jean-Pierre Rampal, Marielle Nordman, Bruno Pasquier, Patrick Gallois ou encore Bruno Rigutto.

    Au fil du temps, l'équipe d'artistes s'est élargi : le trio Pasquier, Pennetier, Pidoux, Philippe Bernold, Alexandre Kniazev, Marie-Catherine Girod, le Quintette Moraguès, le Quatuor Parisii entre autres, ont signé de nouveaux albums tous disponibles en 2009.

    Dix ans après sa création, Saphir continue de croire en la musique enregistrée et reste passionnée par le genre classique en s'entourant des meilleurs interprètes d'aujourd'hui.

    Les concerts anniversaires se poursuivent en décembre à l'Archipel (www.larchipel.net)

     



    17h
    30 nov. 08








  • Le bel canto d'Elena Filonova




    MOZART Sonate n° 11 en la majeur "Alla Turca" K. 331
    BEETHOVEN Sonate n°17 en ré mineur op. 31 n° 2 "La Tempête"
    GRIEG Pièces Lyriques (sélection)

     

    Pianiste française d'origine russe, Elena Filonova déploie une sonorité superbe, une compréhension en profondeur des œuvres et une force de conviction irrésistible. Elle obtient, à dix ans, le Premier Prix du Concours national « Beethoven » des jeunes talents et joue alors sous la baguette de Kirill Kondrachine. À douze ans, elle débute son activité de concertiste sous la direction d'Evgueni Mravinsky. Emil Guilels la prend sous son aile à Moscou, où elle suit son enseignement ainsi que celui de Pavel Messner.

    « Tout chante et respire, raffiné, tendre, délicat sous les doigts d'Elena Filonova. » Diapason
    « Son jeu possède une remarquable clarté. C'est une pianiste élégante, à la ligne racée. » Classica-Répertoire


     



    20h
    15 déc. 08


  • Récital de piano Geoffroy Couteau




    Programme :

    Bach/Brahms : Chaconne
    Brahms : Intermezzi opus 117 n°1,2 et 3
    Brahms : Rhapsodie opus 79 n°1
    Chopin : Ballade n°1 opus 23
    Liszt : Méphisto-Valse

     

    Un pianiste de 29 ans « qui n'a pas froid aux jeux » selon le Monde de la Musique de septembre 2008 qui lui attribue 4 étoiles pour son enregistrement consacré aux Intermezzi de Brahms. « Du grand piano dans le sens le plus noble du terme. Et un grand musicien » lui répond Alain Lompech dans Diapason. Diplômé du CNSM de Paris, il remporte en 2005 le Premier Prix du 12e Concours International Brahms en Allemagne, et développe ses qualités d'interprètes auprès des plus grands : Nicholas Angelich, Dmitri Bashkirov, Michel Béroff, Marie-Françoise Bucquet, Christoph Eschenbach, Leon Fleisher, Christian Ivaldi et Denis Pascal.
    Découvrez le pianiste en vidéo sur www.geoffroycouteau.com

     



    20h
    19 déc. 08









  • e-récital Jonathan Bénichou




    Jonathan Bénichou donne ici le premier e-récital.

     

    Ce récital donne pour le prix d'une place la possibilité de télécharger gracieusement et en avant-première le premier album de Jonathan Bénichou chez Sisyphe consacré à Alexandre Scriabine (Sisyphe015).

     

    Jean-Sébastien Bach Partitas N° 2, 3 et 5

    Alexandre Scriabine plusieurs pièces

     

    Lauréat de nombreux concours internationaux et Premier Prix des conservatoires de Paris et Nice, Jonathan Bénichou possède déjà une personnalité artistique affirmée et reconnue par les plus grands tel Aldo Ciccolini qui lui prodigua ses conseils.

    Il se produit sur les plus grandes scènes internationales en soliste sous la direction de chefs d'orchestres réputés ainsi qu'en récital, au Carnegie Hall de New York, au Théâtre culturel de Sao Paolo au Brésil, en Pologne à la Philharmonie de Gdansk mais également dans divers ville d'Allemagne, Italie, Roumanie, Israël, Russie... En France Jonathan Benichou se produit à l'Opéra de Nice, à l'Arsenal de Metz, à l'Auditorium du Louvre, au Sénat, à la Salle Gaveau etc.

    Fort d'une grande curiosité musicale, du baroque à la musique contemporaine, Jonathan Bénichou trouve en Jean-Sébastien Bach et Alexandre Scriabine deux pierres angulaires de son répertoire.



    20h
    6 avr. 09



  • Récital Daniel Propper




    Grieg, Beethoven, Liszt

     

    Beethoven Sonate op. 10, n° 3
    Grieg Pièces Lyriques (extraits), Impressions op. 73
    Liszt Après une lecture du Dante

     

    A l'occasion de la parution de son intégrale des Pièces Lyriques d' Edvard Grieg, Daniel Propper se produit à Paris, à Londres et en Norvège, à la maison natale du compositeur. Interprète à la tête d'une discographie déjà fournie, le jeune pianiste suit une carrière internationale, participant à des festivals ou des événements prestigieux : festivals au Canada, en Chine (Piano aux Jacobins dans la "Cité Interdite"), aux Emirats Arabes Unis, en Suède (Festival du Palais Royal de Stockholm) et en France (Paris, Bordeaux, Nice, Aix-en-Provence, ...). Récemment, il fait ses débuts au Wigmore Hall de Londres avec les Variations Goldberg de Bach, puis est invité pour des concerts à Oxford, Vienne et Budapest.

     

    "Clearly a major Grieg interpreter" Jeremy Nicholas, Gramophone, Octobre 2008
    "Un bien beau Grieg, sans afféterie ni apprêt, de la musique pure, même quand elle porte le nom d'un elfe ou d'un sentiment" Lionel Esparza, France Musique, Juin 2008



    20h
    4 mai 09








  • Mirabassi-Renzi-Parker out of Track





    Un peu plus d'un an après la sortie de leur premier album Terra furiosa, largement accueilli par la presse et le public en France et à l'étranger, et une tournée d'une cinquantaine de dates un peu partout dans le monde, Giovanni Mirabassi, Gianluca Renzi et Leon Parker reviennent avec un nouveau CD. Avec Out of Track ils expérimentent plus avant l'alchimie musicale née de leur première rencontre, et créée autour du jeu inimitable du pianiste.
    Un trio qui met en musique le plaisir et la magie de jouer.

     



    20h
    16 juin 09

  • Mirabassi-Renzi-Parker Out of Track





    Un peu plus d'un an après la sortie de leur premier album Terra furiosa, largement accueilli par la presse et le public en France et à l'étranger, et une tournée d'une cinquantaine de dates un peu partout dans le monde, Giovanni Mirabassi, Gianluca Renzi et Leon Parker reviennent avec un nouveau CD. Avec Out of Track ils expérimentent plus avant l'alchimie musicale née de leur première rencontre, et créée autour du jeu inimitable du pianiste.
    Un trio qui met en musique le plaisir et la magie de jouer.

    20h
    16 juin 09

  • Récital Miaskovsky & Beethoven - Lydia Jardon, piano




    Récital Lydia Jardon


    Beethoven
    Sonates n°23 opus 57 (Appassionata) et n°31 opus 110
    Miaskovsky Sonates n°2 opus 13 et n°4 opus 27


    Passion et distance face au texte, fougue et contrôle dans l'expression. Telle est l'alchimie paradoxale qui distingue le jeu virtuose de Lydia Jardon.


    La pianiste propose à son habitude un programme des plus denses : sa personnalité éruptive trouvera matière idéale au corps-à-corps pianistique qu'elle aime instaurer en récital. A l'affiche, Beethoven, et Miaskovsky. Du premier, Lydia Jardon interprétera les Sonates opus 57 (Appassionata) et opus 110, monuments du répertoire pianistique.
    Elles seront mises en regard des Sonates n°2 et n°4 de Nikolaï Miaskovsky : une musique puissamment expressive, dont la virtuosité diabolique est au service d'un dramatisme et d'une construction imparables ; ces pages envouteront les amateurs de piano romantique et post-romantique.

    Lydia Jardon vient d'enregistrer les Sonates n°2, 3 et 4 de Miaskovsky. Elle est la fondatrice et directrice de la maison de disque Ar Ré-Sé, dont la politique est d'exhumer des œuvres peu connues. Ar Ré-Sé publiera en janvier 2010 en première mondiale les Quatuors n°1, 5 et 13 de Miaskovsky, dont les partitions sont venues spécialement de Russie grâce à l'amical concours de Chant du Monde.


    copyright photo : Alexandra de Léal



    20h
    28 sept. 09

  • Saison Blüthner : Concert inaugural




    La Saison Blüthner est le fruit de la rencontre entre la pianiste d'origine brésilienne Juliana Steinbach, les Pianos Blüthner et la Fondation Alfred Reinhold de Leipzig.

    Distinguée par la critique pour son charisme et l'intelligence de ses interprétations, la pianiste bénéficie d'une « carte blanche » pour la programmation de la Saison Blüthner.

    Pour le concert inaugural à l'Athénée Théâtre Louis-Jouvet, elle se produira en duo avec la prodigieuse violoniste japonaise Sayaka Shoji. Propulsée sur les plus grandes scènes internationales en remportant à 16 ans le prestigieux concours Paganini en 1999, la jeune artiste s'est vu confier le Stradivarius « Joachim » par la Nippon Music Foundation et a déjà enregistré cinq albums pour le label Deutsche Grammophon.

    Les deux musiciennes interprèteront trois sonates de Mozart, Schumann et Beethoven (Kreutzer).

    http://www.saisonbluthner.fr/
    http://www.sayaka-shoji.com/
    http://www.julianasteinbach.com/



    20h
    2 oct. 09


  • Festival Cristal Classic




    Lancement du Label Cristal Records Classic

    Lors de cette soirée inaugurale, le Festival Cristal Classic présente les artistes de ce nouveau label :
    - Le pianiste Didier Castell-Jacomin interprétera des Marzukas et Polonaises de Frédéric Chopin, extraites de son nouvel album Polonia.
    - Le Trio Fanal, composé de la chanteuse Françoise Atlan, du percussionniste Pascal Ducourtioux et du joueur de Oud Fayssal El Mazouar, proposera une découverte des textes du Roi Alphonse le Sage (XIIIème siècle), sur des rythmes et mélodies de la Méditerranée, extraits de leur dernier album Cantigas y otras canciones.
    - Enfin, le trompettiste Clément Saunier déclinera ses multiples talents en s’entourant de différents accompagnements (piano, quintette à cordes et Brass Band), avec des œuvres de Sparke, Marcello, Bach, extraites de son nouvel album éponyme Clément Saunier

    Cette soirée « évènement », servie par des musiciens de talent, sera présentée par Eve Ruggieri.

    www.cristalrecordsclassic.com

     



    20h
    12 oct. 09


  • Récital de piano Racha Arodaky




    Programme du récital : Œuvres de Haendel, Scarlatti, Rameau.

    Racha Arodaky commence le piano à l’âge de 8 ans. En 1992, elle est lauréate de la Fondation Yehudi Menuhin et, un an plus tard, elle se perfectionne auprès de Murray Perahia qui dira d’elle : Elle possède une musicalité très naturelle, sensible et capable de nombreuses couleurs, sa technique est excellente.
    Elle enregistre trois disques consacrés à Mendelssohn, Scriabine et Scarlatti qui ont tous reçu un accueil élogieux de la critique : Racée, nerveuse, sombre de traits, svelte de ligne, avec dans l'œil et la silhouette quelque chose qui semble prêt à la détente, à mordre peut-être. André Tubeuf
    Pour son 4e disque qui sort en octobre 2009, elle choisit de créer son propre label Air Note et d’enregistrer une sélection de Suites de Haendel. 

    Informations et extraits : http://www.rachaarodaky.fr/
    www.youtube.com/RachaArodaky

    Production : Les Pianissimes/ArtOvations



    20h
    16 nov. 09




  • Saison Blüthner : Récital de Piano - Juliana Steinbach




    La Saison Blüthner est le fruit de la rencontre entre la pianiste d'origine brésilienne Juliana Steinbach, les Pianos Blüthner et la Fondation Alfred Reinhold de Leipzig.

    Distinguée par la critique pour son charisme et l'intelligence de ses interprétations, la pianiste bénéficie d'une « carte blanche » pour la programmation de la Saison Blüthner. Pour le deuxième concert à l'Athénée Théâtre Louis-Jouvet, elle se produira en récital. Elle interprétera trois sonates majeures du répertoire pianistique : 
    Beethoven Sonate en ut majeur op. 53 Waldstein
    Bartok Sonate SZ. 80 
    Schubert/Liszt Der Doppelgänger
    Liszt Sonate en si mineur

    http://www.saisonbluthner.fr/
    http://www.julianasteinbach.com/

    20h
    14 déc. 09





  • Récital Nicolas Stavy, piano




    "Ce concert, à l’occasion de la parution de mon disque Brahms chez Hortus, me permet de mettre en regard le jeune Brahms, Schumann -son ainé qui fut tellement important dans sa construction artistique- et Liszt, dans une œuvre contemporaine et d’un univers sonore proche des Ballades de Brahms. Je résiste volontairement à Chopin qui nous emmènerait dans un monde trop éloigné.
    J’aurai le plaisir de retrouver le piano de concert Steingraeber, utilisé pour l’enregistrement, dont la richesse et la profondeur le rendent tellement approprié à ce répertoire."
    Nicolas Stavy

    Programme
    Œuvres de Brahms, Liszt et  Schumann

    http://www.nicolasstavy.com/
    http://www.editionshortus.com/



    20h
    15 mars 10

  • Saison Blüthner : Duo de Piano




    Saison Blüthner : Jonas Vitaud et Juliana Steinbach, piano

    La Saison Blüthner est le fruit de la rencontre entre la pianiste d'origine brésilienne Juliana Steinbach, les Pianos Blüthner et la Fondation Alfred Reinhold de Leipzig.

    Distinguée par la critique pour son charisme et l'intelligence de ses interprétations, la pianiste bénéficie d'une « carte blanche » pour la programmation de la Saison Blüthner.

    Pour le troisième concert de la série, elle jouera en duo avec un autre lauréat du Prix Blüthner de la Fondation Alfred Reinhold, le talentueux pianiste français Jonas Vitaud, vainqueur en 2006 du concours international de musique de chambre de Lyon. Les deux musiciens présenteront un programme en hommage aux Ballets Russes fondés par Diaghilev il y a tout juste un siècle.

    Programme
    Debussy Prélude à l’Après-midi d’un Faune
    Stravinsky Feu d’artifice
    Debussy Feux d’artifice
    Stravinsky L'Oiseau de Feu 
    Ravel Ma Mère l’Oye
    Stravinsky Le Sacre du Printemps

    www.saisonbluthner.fr
    www.julianasteinbach.com



    20h
    22 mars 10

  • Récital Philippe Cassard




    En 1892, Brahms envisage de mettre un terme à ses activités de compositeur avec les vingt pièces pour piano qui constituent les op. 116 à 119. Berceuses de ma douleur ainsi qualifie-t-il les trois Intermezzi op. 117. De même l'op.118 est-il empreint de ce ton de rêverie et de mélancolie hérité du Schubert de 1828, qu'il affectionnait. Seuls la Ballade et quelques passages isolés dans les autres pièces retrouvent, à l'instar des Rhapsodies op. 79 n°2 et 119 n°4 ces puissants accents de contes fantastiques chers au jeune Brahms des années 1850.
    C'est durant cette décennie qu'il rencontre Robert Schumann : nul doute que la Fantaisie op. 17 de ce dernier, chef d'oeuvre incandescent, ait pu inspirer Brahms pour exprimer la passion la plus irrépressible comme la plus infinie tendresse ! Il en était d'ailleurs un fervent interprète.
    Schoenberg sut, ainsi que Webern (qui disait avoir écrit ses Variations op. 27 en pensant aux Intermezzi...), situer Brahms à la croisée des Anciens et des Modernes. Le lyrisme poignant et les éclats fulgurants des trois Pièces op. 11, atonales, sont à cet egard le plus bel hommage que Schoenberg devait rendre au compositeur du Requiem Allemand.

    Programme
    Brahms
    3 Intermezzi op. 117 (Andante moderato - Andante non troppo e con molta espressione - Andante con moto)
    Schumann Fantaisie op. 17 (Durchaus phantastisch und leidenschaftlich vorzutragen - Mässig, durchaus energisch - Langsam getragen)
    Brahms 6 Klavierstücke op. 118 (Intermezzo, Allegro non assai, ma molto appassionato - Intermezzo, Andante teneramente - Ballade, Allegro energico - Intermezzo, Allegretto, un poco agitato - Romanze, Andante - Intermezzo, Andante, largo e mesto)
    Webern Variations op. 27
    Brahms 4 Klavierstücke op. 119 (Intermezzo, Adagio - Intermezzo, Andantino un poco agitato - Intermezzo, Grazioso e giocoso - Rhapsodie, Allegro risoluto)

    Ce concert est lié à la sortie d’un CD Brahms chez Universal.
    Universal et B2P Management sont co-producteurs du récital.
    http://www.philippecassard.com/



    20h
    30 mars 10






  • Saison Blüthner : Musique de Chambre




    Saison Blüthner : Quatuor Kuss et Juliana Steinbach

    La Saison Blüthner est le fruit de la rencontre entre la pianiste d'origine brésilienne Juliana Steinbach, les Pianos Blüthner et la Fondation Alfred Reinhold de Leipzig.

    Distinguée par la critique pour son charisme et l'intelligence de ses interprétations, la pianiste bénéficie d'une « carte blanche » pour la programmation de la Saison Blüthner.

    Pour le concert de clôture de la série, elle se produira avec le Quatuor à cordes Kuss de Berlin qui se produit régulièrement dans les séries les plus prestigieuses - de la Philharmonie de Berlin au Carnegie Hall de New York en passant par le Concertgebouw d’Amsterdam, le Festival de Salzbourg ou le Théâtre de la Ville à Paris.

    Programme
    Beethoven 32 Variations pour piano en ut mineur WoO.80
    Beethoven Quatuor à cordes en fa majeur n°16 op. 135
    Schumann Quintette pour piano et cordes en mi bémol majeur op. 44

    www.saisonbluthner.fr
    www.julianasteinbach.com



    20h
    31 mai 10

  • Concert Ensemble Calliopée




    Debussy, Ravel, Durosoir 

    L’Ensemble Calliopée vous convie à une soirée de musique de chambre française aux combinaisons instrumentales variées.
    Au côté de deux œuvres majeures de Debussy et Ravel, et d’une œuvre originale et faunesque du jeune compositeur Thierry Pécou, ce concert propose de découvrir l’œuvre inédite et l’histoire émouvante de Lucien Durosoir. Violoniste virtuose, il traverse la guerre de 14-18 en puisant dans la pratique de la musique une force salvatrice dont découlera une œuvre lumineuse empreinte d’une riche palette de couleurs.
    Pour témoigner de cette histoire exceptionnelle, son propre fils, Luc Durosoir, s’appuiera sur la projection de lettres, de photographies, de manuscrits et d’affiches de concerts de l’époque.

    Programme
    Claude Debussy/Arnold Schoenberg
    Prélude à l’après-midi d’un faune pour flûte, hautbois, clarinette, accordéon, harpe et quintette à cordes
    Lucien Durosoir Quintette pour piano et cordes
    Thierry Pécou Nilu pour flûte, hautbois, clarinette, accordéon, harpe, piano et quintette à cordes
    Maurice Ravel Introduction et allegro pour harpe, flûte, clarinette et quatuor à cordes
    Lucien Durosoir Jouvence pour violon principal et quatuor à cordes, contrebasse, harpe, flûte et cor

    Karine Lethiec
    alto et direction artistique

    Concert à l’occasion de la sortie du disque Lucien Durosoir/Jouvence (Alpha/Harmonia Mundi)
    Soirée en partenariat avec la Banque Populaire Rives de Paris

    20h
    7 juin 10


  • Duo Ophélie Gaillard et Edna Stern




    Chopin/Schumann 

    Ce concert à l’Athénée est l’occasion pour le label Aparté de présenter deux artistes parmi les plus talentueuses interprètes de leur génération : Ophélie Gaillard et Edna Stern. Leur enregistrement paru début 2010 et distribué par Harmonia Mundi, rend un hommage original à Chopin dont on fête cette année le bicentenaire de la naissance, en proposant l’essentiel de son œuvre pour violoncelle et piano.

    Cet opus, labellisé pour l’année Chopin en France par le ministère de la Culture et de la Communication, a reçu les plus vifs éloges de la presse et a été plébiscité par le public.  
    " Intelligence d'une pensée musicale que sous-tend une maîtrise ultime du clavier. Poésie d'un archet qui regarde vers l'absolu et l'inédit. " T.H, Figaroscope, février 2010
    " Ce savoureux alliage de timbres sert alors de catalyse à une interprétation sensible et mystérieuse, qui n'estompe pas pour autant les tensions et les cambrures ponctuant cette partition crépusculaire. " Jérôme Bastianelli, Diapason, avril 2010

    Programme
    Schumann
    Fantasiestücke op. 73
    Chopin Nocturne op. 37 n°2, Nocturne op. 72 (transcris pour violoncelle et piano), Introduction et Polonaise brillante op. 3
    entracte
    Chopin
    Nocturne op. 37 n°1, Sonate op. 65



    20h
    28 juin 10

  • The Meeting of the Waters




    Stéphanie Moraly (violon) & Romain David (piano)

    Ces deux jeunes artistes vous proposent un récital autour de The Meeting of the Waters, le grand chef-d’œuvre pour violon et piano d’Olivier Greif.
    On comprendra ma musique au siècle prochain”, disait le compositeur, disparu il y a 10 ans. Le moment est venu de se laisser emporter par cette musique passionnée, expressive, fiévreuse, et toujours bouleversante.

    Dans un engagement total pour la musique de Greif, Stéphanie Moraly et Romain David sont les premiers à avoir enregistré l’intégrale de son œuvre pour violon et piano (label Triton). Leur récital sera l’occasion d’un événement exceptionnel : la création mondiale de la Première Sonate de Greif, encore jamais exécutée en public à ce jour.

    Interprétation magistrale B. Dermoncourt, Classica, mai 2010
    Stéphanie Moraly et Romain David : de Franck à Greif en éblouissante osmose.” J.-D. Burtin, La République du Centre, mars 2010

    César Franck
     Sonate en la majeur, FWV 8
    Olivier Greif Sonate n° 1, op. 15 première mondiale
    Darius Milhaud Saudades do Brasil, op. 67
    Dimitri Chostakovitch Préludes, op. 34
    Olivier Greif Sonate n° 3 The Meeting of the Waters, op. 70

    Concert présenté par la musicologue Brigitte François-Sappey.

    http://themeetingofthewaters.net
    http://stephaniemoraly.com
    http://www.youtube.com/watch?v=mbTPf-AaWpk



    20h
    13 sept. 10



  • Récital de piano David Bismuth




    David Bismuth a commencé ses études de piano à Nice avec Catherine Collard. Premier Prix du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, il a travaillé avec Brigitte Engerer, Monique Deschaussées, et Maria João Pires. Il a consacré ses premiers enregistrements à César Franck, Gabriel Fauré, Paul Dukas, Claude Debussy et à des transcriptions de Bach. Son jeu lumineux et profond fait l'unanimité de la critique : "La volupté de l'intelligence" (Gilles Macassar, Télérama) "Un poète du clavier" (Alain Cochard, A Nous) "Un jeu lumineux" (Jean Roy, Monde de la Musique).

    Ce récital est donné dans le cadre de la saison des Pianissimes à l'occasion de la sortie de son nouveau CD consacré à Saint-Saëns et Rachmaninov. Il sera suivi d'un cocktail-dédicace dans le foyer du théâtre.

    Bach/Kempff Choral en fa mineur
    Franck Prélude, Fugue et Variation
    Rachmaninoff Deux Préludes, Variations Corelli, Moments Musicaux
    Saint-Saëns Deux Etudes, Allegro appassionato
    Bach/Busoni Adagio en la mineur

    Informations : www.davidbismuth.com
    Production : Les Pianissimes/AmeSon

    20h
    11 oct. 10





  • Saison Blüthner : Juliana Steinbach




    Les récitals de piano de la nouvelle saison déclineront l'Art nouveau en quatre thèmes : Tableaux, Musique française, Ainsi la nuit et Au fil de l'eau.
    Les artistes Juliana Steinbach, Romain Descharmes, Jonas Vitaud et Eliane Reyes donneront leur vision d'une époque foisonnante de compositeurs de génie dans un monde en pleine mutation, avec notamment Claude Debussy, Gabriel Fauré, Maurice Ravel, Théodore Dubois, Gabriel Dupont ou encore Emmanuel Chabrier.

    « Son talent, sa musicalité, sa capacité de travail et d'initiative sont réellement exceptionnels. » Maria João Pires

    Juliana Steinbach
    présentera le triptyque de Ravel, Gaspard de la nuit, œuvre virtuose. Les Etudes de Scriabine, compositions rapides et précises, seront mises en lumière. Au long des Tableaux d'une Exposition de Moussorgski, elle nous invitera à la rêverie.

    Maurice Ravel Gaspard de la Nuit
    Alexandre Scriabine Trois Etudes Opus 42 n°5, Opus 2 n°1, Opus 8 n°12.
    Modeste Moussorgski Tableaux d'une Exposition

    www.saisonbluthner.fr I saisonsmusicales@bluthner.fr
    crédit photo: Balazs Borocz

    20h
    22 nov. 10



  • Récital Pietro De Maria, piano




    Après son exceptionnelle intégrale des œuvres de Chopin pour piano en six concerts au Festival Piano en Valois, Pietro De Maria vient à Paris dans un récital Chopin 1er prix du concours Géza Anda, il est aujourd'hui reconnu en Europe comme un des interprètes les plus remarquables de Chopin.

    « … une version de rêve des Études de Chopin… une rectitude de pensée qui est le signe des grands chopiniens. » (Diapason)

    Frédéric Chopin Ballade no. 1 en sol mineur op. 23, 12 Études op. 10, Ballade no. 4 en fa mineur op. 52, 12 Études op. 25

    www.pietrodemaria.com

    20h
    29 nov. 10





  • Saison Blüthner : Romain Descharmes




    " C'est époustouflant, sans esbroufe, ciselé, bondissant, rugissant. Romain Descharmes mérite un triomphe…" (Ouest-France)


    Romain Descharmes interprétera Les Valses nobles de Ravel, qui explorent la richesse des harmonies, Les Pièces pittoresques de Chabrier, variées et colorées, ainsi que Les Etudes de Debussy, œuvre savante, donneront un sentiment de liberté.


    Maurice Ravel Valses nobles et sentimentales
    Emmanuel Chabrier Sous bois, tourbillon, idylle, improvisation, scherzo valse extraits des Pièces pittoresques
    Claude Debussy 4 études, pour les quartes, les sixtes, les sonorités opposées et les octaves
    Théodore Dubois Sonate en la mineur

    plus d'informations : www.saisonbluthner.fr
    crédit photo : Jérémy Charbaut

    20h
    17 janv. 11






  • Saison Blüthner : Jonas Vitaud




    Talentueux pianiste, vainqueur en 2006 du concours international de musique de chambre de Lyon. Jonas Vitaud présentera la nuit sous tous ces aspects. La première partie soulignera les valeurs "positives" de la nuit : fêtes, danses, sensualité, parfums. Tandis que la seconde partie se concentrera sur ses valeurs "négatives" : nuit synonyme de mort, expériences démoniaques, mysticisme, matière musicale qui se désintègre... Un dénominateur commun, la nuit est toujours associée au monde irrationnel, ce qui permet aux compositeurs de se libérer des formes convenues, classiques, et d´inventer un monde nouveau.

    Gabriel Fauré Nocturne n°1
    Isaac Albéniz El Albaicin, extrait du 3ème cahier d'Iberia
    Claude Debussy Soirée dans Grenade, extrait des Estampes, Clair de lune, extrait de la Suite bergamasque
    Maurice Ravel Ondine, extrait de Gaspard de la nuit
    Liszt / Wagner Isoldes Liebestod
    Franz Liszt La Notte, extrait des Odes funèbres
    Alexandre Scriabine Nocturne pour la main gauche
    Béla Bartok Musique nocturnes, extrait de En plein air
    Gabriel Fauré Nocturne n°13

    plus d'informations : www.saisonbluthner.fr
    crédit photo : Balazs Borocz

    20h
    21 mars 11


  • Frédéric Vaysse-Knitter joue Szymanowski




    " Ce jeune pianiste m’a beaucoup impressionné par son intelligence musicale, sa sensibilité, et sa maîtrise instrumentale. "  Sir John Eliot Gardiner

    Pianiste français d'origine polonaise, Frédéric Vaysse-Knitter est un musicien au parcours éclectique, doté d'un large répertoire, et formé dans la grande tradition des écoles de piano française, polonaise et allemande.
    Ses interprétations, particulièrement réfléchies et originales, proposent une vision novatrice des œuvres.

    Après la sortie de son disque sur les œuvres de jeunesse de Karol Szymanowski, Frédéric Vaysse-Knitter nous interprétera un programme autour des œuvres de Szymanowski, Liszt et Chopin.

    Szymanowski Etude Op. 4 n°3
    Chopin Etude Op. 25 n°7, Variations Op. 12
    Szymanowski Préludes Op 1 n° 1-4-5, Variations Op 3, Préludes Op. 1 n°6 
    Liszt Sonata Quasi Fantasia : Après une lecture du Dante, Extrait des " Années de Pèlerinages en Italie 2ème Cahier "
    Szymanowski Fantaisie Op. 14

    plus d’informations : http://www.fredericvaysseknitter.com
    crédit photo : Jean-Baptiste Millot.

    16h
    27 mars 11



  • Ingrid Fuzjko Hemming - récital de piano




    " There is no secret to her appeal : Fuzjko is not just playing the piano ; She is using the music to make love, seeming to enter a romantic reverie to find and unfold the music’s beauties and intentions. " (Gramophone)

    Ingrid Fuzjko Hemming, pianiste au style extraordinaire et reconnaissable, joue Schubert, Bach, Chopin and Liszt. Son oeuvre de prédilection, La Campanella, a su toucher les coeurs de spectateurs du monde entier.  

    Schubert Impromptu Ges-dur, Op. 90-3,  Moments Musicaux, Op. 94-4 
    Chopin Nocturne No.20 cis-moll, Op. Posth.
    Le Vent d’hiver Étude a-moll, Op. 25-11
    Chanson de l’adieu Étude E-dur, Op. 10-3
    Funeral March Piano Sonata No.2 b-moll, Op. 35
    Bach 1st Partita B-dur, BWV. 825, Jesus bleibet meine Freude
    Liszt Un Sospiro S.144-3, Theme and Variations S.141-6, La Campanella S.141-3

    plus d'informations : www.samonpromotion.com/fuzjko/fr/



    20h
    11 avr. 11



  • Saison Blüthner : Eliane Reyes




    « Un merveilleux talent pour la musique » Martha Argerich

    Avec Eliane Reyes les compositeurs français seront à l'honneur avec notamment Debussy et sa légère et fougueuse Isle Joyeuse, et Nicolas Bacri avec la 2ème sonate, œuvre d'une grande exigence technique et musicale.

    Maurice Ravel Menuet sur le nom de Haydn
    Claude Debussy Cloches à travers les feuilles, Et la lune descend sur le temple qui fut, Poissons d'or
    Nicolas Bacri 2ème sonate Opus 105
    Isaac Albeniz En la playa
    Franz Liszt / Franz Schubert Auf dem wasser zu singen
    Franz Liszt Jeux d'eau à la Villa d'Este
    Maurice Ravel Jeux d'eau
    Claude Debussy L'isle joyeuse

    plus d'informations : www.saisonbluthner.fr
    crédit photo : Eric Manas

    20h
    9 mai 11





  • récital "Pianissimes" Moulin / Crossley-Mercer




    La saison parisienne 2011/2012 des Pianissimes s’ouvre par un concert entièrement consacré à Franz Liszt, dont on célèbre cette année le 200e anniversaire.
    Ce concert accompagnera la sortie du premier CD d’un pianiste de 33 ans, Olivier Moulin (label AmeSon). 1er prix du CNSM de Lyon, il est aussi diplômé du Conservatoire de Salzbourg. Il joue sur les plus grandes scènes (La Roque d’Anthéron, Gaveau, Louvre…).
    Il sera accompagné par un baryton franco-irlandais de 29 ans, Edwin Crossley-Mercer, qui a étudié au Conservatoire de Clermont-Ferrand, au Centre de musique baroque de Versailles et à la Hochschule de Berlin. Il est remarqué autant pour son charisme sur les scènes d’opéra (Don Juan à Berlin, Papageno à Francfort, Gugliermo à Aix-en-Provence…) que pour son timbre et sa diction dans la mélodie. Prix de chant de l'Adami, prix de duo Rainier III de Monaco, prix Vibrarte. Diapason de septembre 2011 le classe parmi les 30 voix qui assurent la relève du chant français.

    Le concert est sans entracte et se poursuit par un cocktail ouvert à tous permettant au public d'échanger et de rencontrer les artistes de façon informelle.

    De Liszt à Hugo
    - Impromptu, S191 ; Funérailles, S173/7 ; En rêve - Nocturne, S207 ; Totentanz, "danse macabre", S525/R188
    - Trois mélodies sur des sonnets de François Pétrarque : n°47, 104 et 123
    - Trois mélodies sur des poèmes de Victor Hugo : Oh quand je dors, S282 ; S'il est un charmant gazon, S284 ; La Tombe et la Rose, S285

    production : Les Pianissimes / AmeSon
    www.lespianissimes.com



    20h
    10 oct. 11





  • Christopher Falzone - Récital piano




    Christopher Falzone commence l'étude du piano à l'âge de quatre ans, compose à six ans, et à huit ans, il interprète le Concerto de Grieg avec l'Orchestre Symphonique des Jeunes Walt Disney à Los Angeles, un concert retransmis par la télévision nationale.
    Au Curtis Institute de Philadelphie, il travaille avec Leon Fleisher et Claude Franck avant de se lancer dans un impressionnant marathon de concours internationaux. Prix Gilmore en 2004, le Prix Enesco en Roumanie en 2007 et Premier Prix au concours Martha Argerich “Les Virtuoses du Futur” en Suisse en 2009. Christopher Falzone remporte brillamment en mars 2010 le Premier Prix Blanche Selva ainsi que le Prix Dimitri Chostakovitch lors du Concours international de Piano d’Orléans. Christopher Falzone a joué sous la direction de Michael Tilson Thomas, Leonard Slatkin, et Leon Fleischer. Il se produit régulièrement aux Etats-Unis et en Europe dans les plus grandes salles et est invité comme soliste par de nombreux orchestres reconnus tels que le New Japan Philharmonic, ou l’Orchestre symphonique de Pittsburgh. Dans le cadre du concert de prestige du Concours International de Piano d’Orléans, en janvier 2011, il a assuré la création mondiale, au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris, de …Del color a la materia… de Martin Matalon, et a enregistré au Théâtre d'Orléans un disque consacré aux œuvres de Georges Enesco et à la Sonate de Yevgeniy Sharlat pour le label Sisyphe distribué par Abeille Musique. 

    programme :
    Corigliano
    , Fantasie sur un Ostinato
    Scarlatti-Christopher Falzone, Transcription et improvisation sur la Sonate K. 141 en ré mineur
    Enesco, Sonate op. 24, No° 3 en ré Majeur : Vivace con brio, Andantino et Allegro con spirito
    entracte
    Jolivet, Deuxième Sonate : Allegro, Largo et Finale
    Sharlat, Lulu-Rhapsody
    Stravinsky, Trois mouvements de Petrouchka : Danse russe, Chez Pétrouchka et La Semaine grasse

    Orléans Concours International http://www.oci-piano.com/html/
    Abeille Musique http://www.abeillemusique.com/

    20h
    14 nov. 11


  • Tristan et Yseult




    Tristan et Yseult par l’Ensemble Carpe Diem
    avec Lambert Wilson récitant et Christine Schweitzer soprano

    Dans le cadre de la sortie de son nouvel album Tristan et Yseult de Richard Wagner l’Ensemble Carpe Diem et Indésens records organisent un concert événement.
    Ramenée à ses moments les plus intenses, l’œuvre se déroule sur une heure dans une concision qui maintient en haleine et élude les interruptions habituelles des entr’actes. La transcription ne maintient que la voix chantée d’Yseult, en allemand, dans la prosodie wagnérienne d’origine. Le rôle de Tristan est pris mélodiquement en charge par l’un des instruments et son texte transmis en mélodrame, en français, par le récitant.

    Version pour une soprano, un récitant et dix instrumentistes : violon, alto, violoncelle, contrebasse, harpe, flûte, hautbois, cor, trompette et percussions.

    transcription et direction musicale : Jean-Pierre Arnaud
    adaptation du livret de Richard Wagner : Vincent Figuri

    I/Passion naissante
    Le Prélude du Premier Acte s’ouvre sur le thème du désir irrésistible, c’est la passion douloureuse, l’oppression du jour. Des effluves du philtre d’amour traversent ce fleuve de sensualité, faisant perdre les repères d’espace et de temps et basculer du jour vers la nuit.

    II/Passion libérée      
    L’opéra s’enfonce dans la nuit, refuge des amants. Le philtre a envoûté Tristan et Iseult qui quittent lentement la réalité du monde pour celle du rêve.

    III/Passion partagée
    Les amants ont atteint dans la mort "l’oubli", du Prélude du troisième Acte, jusqu’à la Mort d’Yseult.

    www.ensemblecarpediem.com

    www.indesens.fr



    16h
    11 déc. 11


  • les bonnes


    texte Jean Genet
    mise en scène Jacques Vincey
    avec Hélène Alexandridis, Marilù Marini, Myrto Procopiou
    collaboration artistique Paillette
    scénographie Pierre-André WEITZ
    lumières Bertrand Killy
    musique et son Alexandre Meyer, Frédéric Minière
    assistant à la mise en scène et chant Vanasay Khamphommala
    assistante aux costumes Nathalie Bègue
    avec la participation de Vanasay Khamphommala

    production : Compagnie Sirènes | coproduction : Le Granit–scène nationale de Belfort, Scène nationale d'Albi, Théâtre du Beauvaisis, Gallia-Théâtre–scène conventionnée de Saintes, Espace Jacques-Prévert–Théâtre d'Aulnay-sous-Bois, Centre des Bords de Marne–scène publique conventionnée du Perreux-sur-Marne, La Coursive–scène nationale La Rochelle, Scène nationale d'Aubusson, Théâtre des 13 vents–CDN de Montpellier | avec le soutien de la DRAC Île-de-France–ministère de la Culture et de la Communication et l'aide à la création du conseil général du Val-de-Marne | coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Jacques Vincey est artiste associé pour trois ans (2011-2013) au Théâtre du Nord-Théâtre national Lille-Tourcoing région Nord Pas-de-Calais (direction Stuart Seide), et en résidence au Centre des Bords de Marne-scène publique conventionnée du Perreux-sur-Marne.
    du 13 janv. 12 au 4 févr. 12






  • giovanni mirabassi




    solo + trio + guests

    Dix ans après le succès d'Avanti, Giovanni Mirabassi continue de brandir le flambeau de l'engagement, du militantisme, et nous rappelle son amour inconditionnel pour la chanson et la poésie, à travers son dernier opus, Adelante!, enregistré à Cuba. Il confirme ici son immense talent de pianiste dans l'exercice royal du solo.

    Pour ce concert exceptionnel à l'Athénée, Giovanni Mirabassi revisite les chants intemporels de la contestation et articule la soirée en trois temps : piano solo d'abord, puis trio, accompagné de sa flamboyante rythmique (Gianluca Renzi à la contrebasse et Lukmil Perez à la batterie). Giovanni Mirabassi convie enfin quelques amis sur la scène du théâtre afin de célébrer ce répertoire dédié à la révolution.



    20h
    2 avr. 12

  • David Kadouch - piano




    David Kadouch a été nommé "Révélation Jeune Talent" des Victoires de la Musique 2010 et "Young Artist of the Year" aux Classical Music Awards 2011. Invité par Piano aux Jacobins à Toulouse mais aussi lors de la tournée en Chine en juin 2010, David Kadouch a remporté un immense succès lors des concerts à Beijing, Shanghai et à Changchun.

    Après une formation au CNSM de Paris auprès de Jacques Rouvier, il rejoint l’Ecole Reina Sofia de Madrid, où il poursuit sa formation et se perfectionne auprès de Dmitri Bashkirov. Mais également auprès de grands maîtres tels que Murray Perahia, Maurizio Pollini, Maria-Joao Pires, Daniel Barenboim. A 13 ans, remarqué par ltzhak Perlman, il joue sous sa direction au Metropolitan Hall de New York. A 14 ans il se produit au conservatoire Tchaïkovski de Moscou, puis en 2008 au Carnegie Hall de New York, avec Itzhak Perlman dans le quintette de Schumann. Chaque saison Piano aux Jacobins inscrit un récital parisien dans sa programmation avec le concours de la Fondation BNP-Paribas.

    programme :  
    Medtner Sonata-Reminiscence en la mineur
    Debussy 2 Préludes
    Les fées sont d'exquises danseuses
    Ce qu'a vu le vent d'ouest
    Taneyev Prélude et Fugue op.29
    entracte
    Moussorgsky Les Tableaux d'une exposition



    20h
    16 avr. 12


  • tous à l'opéra !




    La Réunion des Opéras de France (ROF) et les opéras d’Europe ouvrent leurs portes gratuitement à tous les publics.
    L'Athénée participe pour la première fois à cette manifestation et vous convie à un récital de Julie Fuchs, marraine de l'événement.
    Julie Fuchs a reçu cette année la victoire de la musique classique - catégorie révélation lyrique de l'année.

    samedi 12 mai
    : répétition publique à 16h et concert gratuit à 20h I entrée libre dans la mesure des places disponibles

    avec Julie Fuchs, soprano et Julien Behr, ténor I Mathieu Lamboley, piano I ensemble Le Balcon

    Rossini
    : Le Comte Ory - Comtesse Adèle “En proie à la tristesse... Céleste providence”
    Tchaïkovski : Eugène Onéguine - Lenski “Kuda, kuda"
    Mozart : Così fan tutte - duo Ferrando/Fiordiligi “Fra gli amplessi"
    Puccini : La Bohème - Musetta "Quando m’en vo'"
    Mozart : Don Giovanni - Don Ottavio "Il mio tesoro"
    Bellini : Sonnambula - Sonnambula "Ah non credea mirarti”, “Ah non giunge"

    piano seul : Lizst, variations sur le thème de Rigoletto de Verdi

    Lehar : Le Pays du sourire - Sou-Chong "Je t'ai donné mon cœur"
    Meyerbeer : Le Pardon de Ploërmel - Dinorah "Ombre légère"
    Offenbach : Orphée aux enfers - Eurydice/Orphée "Duo du concerto"
    Bernstein : West side story - Maria/Tony "Tonight"

    en savoir plus sur Tous à l'opéra



    16h / 20h
    12 mai 12




  • Vous avez dit classique ? Philippe Berrod & Laurence Malherbe




    À l’occasion de la sortie de leurs nouveaux albums, le label Cristal Records Classique donne carte blanche à Laurence Malherbe et Philippe Berrod. Ces "agents-doubles" d’exception, pour reprendre le mot de Pierre Bouteiller, oscillent entre musique classique et incartades contemporaines. Ce concert inédit, fidèle à l’esprit du label, aura lieu à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet, le 24 septembre prochain.

    Philippe Berrod présentera son triptyque autour de la clarinette, dont le deuxième volet intitulé Clarinet Classica sort à l’automne 2012. La soprano Laurence Malherbe présente avec le Quatuor Kadenza et le bassiste Laurent David son travail autour de l’œuvre de Schubert. Son album Schubert Trangression sera disponible dès le 10 septembre. 


    programme

    > 1ère partie : Le Triptyque de Philippe Berrod
    - Clarinet & Electro
    Flamands noirs, trio de cor de basset et bande sonore
    - Clarinet Latino
    Zapping Quartet, clarinette, marimba, percussions et contrebasse
    - Clarinet Classica
    Clarinette & Quatuor à cordes (membres de l’Orchestre de Paris)
    Duo de clarinettes

    > 2ème partie, Schubert Transgression
    Laurence Malherbe avec le quatuor à cordes Quatuor Kadenza et Laurent David
    Schubert, Lieder



    20h
    24 sept. 12



  • Orchestre de Chambre Nouvelle Europe




    programme

    Piotr Ilitch Tchaïkovski (1840-1893) 
    Pezzo Capriccioso pour violoncelle et cordes op. 62
    Dimitri Maslennikov, violoncelle

    - Piotr Ilitch Tchaïkovski
    Sérénade pour cordes en Ut majeur, Op.48 

    - Dimitri Chostakovitch (1906-1975) 
    Symphonie de chambre en ut mineur, op. 110A (Orchestration Rudolph Barchaï) 

    - Evgueni Galperine (1975- ) 
    Par coeur
    Bastien de Beaufond, trompette 


    Trois siècles, trois compositeurs, trois moments dans l’histoire de la Russie.
    Romantique et généreuse, la Russie blanche du XIXe siècle – celle de Tchaïkovski. Tragique et souffrante, la Russie rouge du XXe siècle – celle de Chostakovitch. Enfin la Russie contemporaine, engagée dans une histoire nouvelle dont on ne peut encore deviner le chemin – celle de Galperine.
    Un programme ancré dans ma culture musicale slave, un choix qui renvoie aussi aux passions et influences que m’ont transmises ceux, professeurs et amis, que j’ai côtoyés au fil de mes années moscovites. Nicolas Krauze

    ORCHESTRE DE CHAMBRE NOUVELLE EUROPE
    direction, Nicolas Krauze
    solistes, Dimitri Maslennikov, Bastien de Beaufond et Sergei Nakariakov

    20h
    1er oct. 12


  • récital Pianissimes Guillaume Coppola




    "Il chante en parfait belcantiste, il a un son, un sens de la couleur et des lignes, des fulgurances poétiques qui sont déjà bien plus que des promesses" écrit Alain Lompech à l'occasion de la sortie de son CD Liszt (Diapason d'Or novembre 2009).
    Olivier Bellamy l’a sélectionné parmi les 10 stars de demain en janvier 2011 dans Classica, soulignant "son engagement passionné et son cantabile frémissant".

    Ancien élève de Bruno Rigutto, Nicholas Angelich, Christian Ivaldi et Marie-Françoise Bucquet, Guillaume Coppola a aussi suivi les masterclasses de Jean-Claude Pennetier, Dominique Merlet, Dmitri Bashkirov et Léon Fleisher. A 33 ans, il donne déjà de nombreux concerts en France (Cortot, Folles journées, Roque d'Anthéron, Festival Chopin, Festival des Serres d’Auteuil, Festival de Sceaux...) et à l'étranger (Pays-Bas, Suisse, Italie, Allemagne, Finlande, Pologne, Roumanie, Chine...). Comme tous les concerts Pianissimes, celui-ci sera sans entracte et sera suivi d'un cocktail ouvert à tous permettant au public d'échanger et de rencontrer l'artiste de façon informelle, à l’occasion de la sortie de son nouveau CD consacré à Granados (label Eloquentia).

    programme

    - Claude
    Debussy
    La Puerta del vino, Bruyères, Brouillards, La Terrasse des audiences du clair de lune, Feux d'artifice (extraits des Préludes)

    - Frédéric Chopin
    Polonaise op.26 n°1, Impromptu n°2 op.36, Fantaisie-Impromptu

    - Enrique Granados
    Danzas españolas n° 1, 2, 5, 12, Allegro de Concierto

    informations complémentaires :
    www.guillaumecoppola.com
    www.lespianissimes.com
    www.eloquentia.fr



    20h
    22 oct. 12



  • Les suites de Bach par François Rabbath




    La contrebasse s’émancipe avec François Rabbath.

    "Mais Rabbath est bien un phénomène : et il ne serait pas risqué d’avancer que très peu sinon aucun bassiste avant lui ou depuis n’ait hissé l’état de l’art à une telle apogée de sophistication technique – et aucun avec autant d’élégance et de charme." (Financial Times – Dominic Gill)

    À l’âge d’or de la chanson française, il a accompagné les plus grands : de Piaf à Aznavour, de Brel à Barbara en passant par Oum Khalsoum et Michel Legrand. Interprète et compositeur éclectique, il a créé sa méthode d’apprentissage de la contrebasse, véritable référence aux États-Unis. Sous son influence, la contrebasse s’émancipe pour devenir un instrument soliste à part entière, au même titre que le violoncelle. L’interprétation des Suites de Bach était la grande ambition de François Rabbath.

    programme
    François Rabbath contrebasse
    Sylvain Rabbath piano

    - Œuvres de François Rabbath : Poucha-Dass, Retba, Équation, Le Cri de Venise (avec Frank Proto), Chasse à courre
    - Bach : 1ère Suite : Sarabande, Menuet I & II, Gigue
    - 9 Variations sur le thème : 24ème Caprice de Paganini (Frank Proto, François Rabbath)
    - Night and Day : Cole Porter
    - Samir : François Rabbath
    - Bach : 5ème Suite

    durée 1h30



    20h
    26 nov. 12

  • 1001 Notes à l'Athénée




    1001 Notes en Limousin invite Juliette Hurel, Natacha Kudritskaya et la nouvelle génération de musiciens.

    1001 Notes multiplie les actions pour soutenir les jeunes artistes. En 2009, 1001 Notes lance la collection 1001 Notes, avec le projet du Maître et l’Élève. Fort du succès de ce dernier, 1001 Notes décide de confirmer son soutien aux jeunes artistes et d’enregistrer le premier disque de la pianiste Natacha Kudritskaya consacré à Rameau. Soirée réservée aux partenaires et aux adhérents 1001 Notes.

    programme

    - Raphaël Mata (guitare) (première partie)

    - Juliette Hurel (flûte), Joséphine Olech (flûte), Sélim Mazari (piano)
    Doppler Duettino hongrois, fantaisie pastorale hongroise
    Dohnanyi Aria
    Bartok Suite paysanne hongroise
    Doppler andante et rondo

    - Natacha Kudritkaya (piano)
    Suites de Rameau


    concert uniquement sur invitation, plus d'informations ici



    20h
    3 déc. 12


  • Cordes sensibles




    Quatuor Talich

    programme

    Jan Talich violon
    Roman Patocka violon
    Vladimír Bukac alto
    Petr Prause violoncelle

    Claude Debussy (1862-1918) Quatuor à cordes en sol mineur, op. 10
    Maurice Ravel (1875-1937) Quatuor à cordes en fa majeur
    Antonin Dvorák (1841-1904) Quatuor à cordes n°12 en fa majeur "Américain", op. 96, B 179

    Debussy, Ravel, treize ans d'écart : on pourrait croire deux frères que la vie sépare... Ils appartenaient à la même famille musicale, capables d'affronter les audaces de l'avant-garde sans jamais perdre le fil des émotions : une véritable complicité les unissait.

    Les Talich, dans leur tout récent enregistrement de ces œuvres pour La Dolce Volta, apportent un éclairage nouveau à ces deux œuvres parvenant à prolonger la tradition de cette musique, tout en y mêlant leur personnalité, celle d’une des plus prestigieuses formations d’Europe de l’est.

    Avec Dvorák, les Talich offrent des interprétations pétries de culture. Synthèse des tempéraments viennois et tchèques, la douceur des archets, les frémissements de leur chant appartiennent à leur sensibilité unique. Une expérience "typée" qu’il faut connaître.

    informations complémentaires :
    www.quatuortalich.com
    www.ladolcevolta.com


    durée 1h45



    20h
    10 déc. 12

  • Tale of Voices fête Noël




    L'histoire de Tale Of Voices est un conte de Noël.
    KJ, Wesley, Manu Vince, Skeud, Leo, Kevon et Fey B se rencontrent très jeunes et partagent la même passion. Le gospel réunit ce septet a capella dont la rythmique est cette percussion vocale que l'on appelle human beat box.

    Leurs références ? Take 6 bien sûr, mais également Bobby Mc Ferrin et le groupe américain a capella Committed.
    La révélation pour le milieu musical se fait lorsque Tale Of Voices participe à l'émission de France 2 Sing Off 100% Vocal. Le groupe fait forte impression dès le premier prime time, chante avec Michel Jonasz et remporte la finale grâce aux votes du public.
    Après le succès de l'émission, ils enregistrent leur premier album chez Columbia (Sony), suivi d'un second album sur un format plus inhabituel : des chansons de Noël.

    Ce concert vous permettra de redécouvrir les standards de Noël : Petit papa Noël, Douce nuit et Mon beau sapin, ainsi que d'autres nombreuses chansons intemporelles.



    20h
    13 déc. 12



  • Ingrid Fujiko Hemming - récital de piano




    "Le secret de son charme ? Fujiko ne fait pas que jouer du piano ; à travers sa musique, elle aime et nous entraîne dans une rêverie romantique dans le but de découvrir et de révéler les beautés et les intentions de la musique." (Gramophone)

    Ingrid Fujiko Hemming, pianiste au style extraordinaire et distinctif, joue Rachmaninoff, Mussorgski, Chopin et Liszt. Sa pièce de prédilection, La Campanella, a su toucher le cœur de spectateurs du monde entier.

    programme

    Rachmaninoff Morceaux de fantaisie Op.3 No.2 Prélude, 13 Préludes Op.32 No. 5
    Mussorgski Les Tableaux d'une exposition
    Chopin 12 Études, Op. 25, Fantaisie-Impromptu Op.66
    Liszt Un Sospiro S.144-3, La Campanella S.141-3

    durée 1h50 avec entracte

    20h
    4 févr. 13




  • Pedro Soler & Philippe Mouratoglou - Albéniz et le flamenco




    Rumores de la caleta (guitare flamenca et guitare classique)

    Né de la rencontre entre Philippe Mouratoglou et Pedro Soler, le spectacle Rumores de la Caleta est un dialogue entre deux maîtres de la guitare - classique pour l’un, flamenca pour l’autre – aux parcours très différents.
    Rumores de la Caleta
    est l’extrait le plus connu de Recuerdos de Viaje op. 71 (1887) d’Isaac Albéniz, inspiré par la musique populaire espagnole et notamment  le flamenco. Certaines de ses suites semblent avoir été composées pour et à la guitare alors qu’Albéniz composait au piano dans le plus grand respect des formes originales (sevillanas, malaguenas, bulerias…). Ce sont paradoxalement les transcriptions pour la guitare par Francisco Tarrega qui l’ont rendu célèbre. Philippe Mouratoglou a fait à son tour une transcription rigoureuse d’Albéniz.
    Rigueur et talent caractérisent l’approche et le jeu de ces deux guitaristes. Leurs cultures et leurs styles se révèlent formidablement complémentaires.

    programme

    -
    Rumores de la Caleta (Albéniz) et Fandango (flamenco)
    - Cordoba (Albéniz) et Soleares (flamenco)
    - Sevilla (Albéniz) et Sevillanas (flamenco)
    - Zapateado, solo Pedro Soler
    - Leyanda (Albéniz) et Granaïna (flamenco)
    - Percussion study n°1 (Arthur Kampela) , solo Philippe Mouratoglou
    - Malagueña (Albéniz) et Malagueña + Buleria (flamenco)
    - Cuba (Albéniz) et Guajira (flamenco)
    - Tango (Albéniz) et Garrotin (flamenco)

    durée 1h30 sans entracte



    20h
    25 mars 13








  • 1001 Notes à l'Athénée : Octuorissimo & Romances oubliées




    Suite au succès de 2012, 1001 Notes pose de nouveau ses valises à l’Athénée. Fidèle à sa vocation d’accompagnement des jeunes artistes, 1001 Notes invite de jeunes interprètes de grand talent à se produire à l'Athénée. Ils fouleront la scène en duo, quatuor et octuor, mis en lumière par le Quatuor Debussy et le pianiste Ferenc Vizi.

    Le violoniste Virgil Boutellis, originaire de Limoges, propose deux monuments de la musique classique française : La Danse Macabre de Saint-Saëns, et La Méditation de Thaïs de Massenet.

    La violoncelliste dijonnaise Hermine Horiot présente son projet Romance oubliée, construit autour du morceau éponyme de Liszt. Ce programme rassemble des œuvres romantiques de Chopin, Tchaïkovsky et Dvorak qui la suivent depuis ses débuts, tout comme le pianiste de renom qui l’accompagne sur scène, Ferenc Vizi.

    Après plus de vingt ans de carrière et de grands succès (transcriptions du Requiem de Mozart, tournées internationales, Victoires de la Musique…), le Quatuor Debussy transmet son expérience au jeune quatuor féminin basque Arranoa avec le projet Octuorissimo. Sur scène, c’est un véritable spectacle : à quatre, à huit, assis ou debout, les musiciens laissent éclater leur fougue lors d’un voyage musical à travers Moscou, New York et Buenos Aires.

    durée 2h avec entracte



    20h
    2 déc. 13


  • Piers Faccini




    Se jouer des frontières musicales est un art à part entière pour Piers Faccini, qui puise depuis toujours son inspiration à la lisière des cultures et des langues.
    Le singer-songwriter italo-britannique – et français d'adoption – fait partie de ceux qui, d'emblée, ont trouvé leur voix et n'en ont pas dévié.

    Œuvre d'une impressionnante maturité, Leave No Trace avait posé en 2004 les fondations d'une écriture rétive à tout maniérisme, mais capable de concilier dans un même élan les traditions les plus éparses.

    Sur son cinquième album Between Dogs and Wolves – chanté en français et en italien le temps de deux titres – c'est à l’exploration d'une géographie plus secrète qu'il se livre. Et pour y parvenir, il a du se plier à une exigence ignorée de la plupart de ses contemporains

    durée 1h30 sans entracte

    http://www.piersfaccini.com/

    20h
    9 déc. 13


  • Rover




    Pour couronner une tournée de plus de 200 concerts, Rover donnera le 16 décembre 2013 une dernière représentation à l'Athénée. Une date exceptionnelle en solo où l’artiste proposera des interprétations uniques de ses titres. Cet événement fait écho à la sortie le 2 décembre prochain d’un coffret incluant son premier album, enrichi de 10 versions réorchestrées avec un ensemble de cordes emmené par Gaspar Claus, et par l'artiste lui-même.


    Rover, de son vrai nom Timothée Régnier a vécu son adolescence à New-York et séjourné quelques années à Beyrouth où il s’est frayé bien vite un chemin remarqué au sein de la scène locale, tout en développant son propre matériau. Stature imposante, voix aérienne, instrumentation élégante, il y a chez Rover quelque chose de singulier, comme un croisement inédit entre Interpol et les Beach Boys.

    https://www.facebook.com/musicrover

    20h
    16 déc. 13





  • prix talents W9




    Skip The Use, Hollysiz, The Shin Sekaï, Casseurs Flowters, Cats On Trees, Elephanz, Griefjoy, Helena Noguerra, Cascadeur et Féfé en live le même soir sur une seule scène ? C’est possible grâce à la cérémonie du Prix Talents W9 !

    Le Prix Talents W9 est né à l’initiative de la chaîne W9 et de la société H.O.M.E, qui conçoit et produit pour les marques et les medias des programmes évènementiels. Ce prix inédit récompense un artiste de musiques actuelles pour l’ensemble de ses talents : qualité de l’album, prestation scénique, univers visuel… Grâce à la puissance médiatique de W9 et des partenaires du prix, le lauréat ainsi que les dix nominés bénéficieront d’une exposition médiatique inédite sur les chaînes du groupe M6 et les médias partenaires afin de les aider à confirmer les espoirs placés en eux. Les 10 finalistes ont été sélectionnés parmi les candidatures par un jury composé d’artistes, de personnalités et de professionnels de la musique et des médias…

    Le lauréat sera ensuite désigné par le jury présidé par Vincent Delerm, aidé du public présent, à l’issue des prestations scéniques des 10 finalistes lors d’une cérémonie exceptionnelle organisée à Paris le 1er février 2014 à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet. Cette cérémonie, filmée, fera l’objet de programmes diffusés sur M6 et W9.

    www.prixtalentsw9.com

    20h
    1er févr. 14


  • pedro soler & philippe mouratoglou : albeniz et le flamenco




    Après s’être produit avec succès au Théâtre de l’Athénée il y a un an avec ce même spectacle, Philippe Mouratoglou et Pedro Soler reviennent pour 8 représentations exceptionnelles, et un album à paraître le 11 mars sous le label Vision Fugitive.

    Né de la rencontre entre Philippe Mouratoglou et Pedro Soler, le spectacle « Rumores de la Caleta » est un dialogue entre deux maîtres de la guitare - classique pour l’un, flamenca pour l’autre – aux parcours très différents. Rigueur et talent caractérisent l’approche et le jeu de ces deux guitaristes. Leurs cultures et leurs styles se révèlent formidablement complémentaires.

    Une communion sur scène où le bonheur est communicatif !

    du 6 mars 14 au 15 mars 14


  • vanessa wagner




    Depuis le commencement d'une riche carrière lancée par la "Révélation soliste instrumentale" des Victoires de la Musique en 1999, le parcours de Vanessa Wagner manifeste un stimulant éclectisme. De Schubert à Dusapin, de Rameau à Ravel l'interprète se confronte avec enthousiasme à tous les visages de son art

    20h
    10 mars 14


  • gustav holst : the sun rising through the mist




    A l’occasion de la sortie de son nouveau disque, l’ensemble professionnel Calliope – Voix de femmes, dirigé par Régine Théodoresco, propose un concert dédié au compositeur anglais Gustav Holst (1874-1934), célèbre dans le monde pour sa suite symphonique « Les Planètes ».

    Régine Théodoresco a choisi de faire découvrir les œuvres de maturité de Gustav Holst, restées dans l’anonymat jusque dans les dernières décennies du XXème siècle.

    Dans ses différentes pièces, raffinées et lumineuses, saisissantes par leur brièveté même, Gustav Holst, si on sait l’écouter, nous parle de lui : de sa culture anglaise aux mélodies pures mais caractéristiques, de ses racines familiales avec le choix des instruments accompagnant les voix (harpe et piano), de sa rencontre avec l’hindouisme, de l’homme modeste et du créateur singulier. Tout est dit dans le titre même d’un des numéros des Seven Part-Songs, Sorrow and Joy : Gustav Holst nous livre une musique de contraste et de synthèse, de virtuosité et de simplicité, de modernité et de tradition.

    « Une musique pour se sentir lumineux », comme dit Régine Théodoresco.



    20h
    29 avr. 14

  • dvorak-suk quintettes de bohême




    Syntonia est un ensemble unique.

    Il est actuellement le seul quintette avec piano constitué dans le paysage musical. Le programme Quintettes de Bohême nous plonge dans les tourments romantiques de l'âme tchèque, entre passion, empreintes folkloriques et modernité.

    L'association inédite du célèbre quintette de Dvorak et de celui de Suk, chef-d'œuvre méconnu, constitue le programme du dernier album de Syntonia



    20h00
    5 mai 14


  • happy birthday ! - mnozil brass




    Happy Birthday!

    Il est prudent de réserver vos places, car le concert va se jouer à guichet fermé ! L'ensemble de cuivres autrichien Mnozil Brass, aujourd'hui sans doute le plus célèbre au monde, n'en finit pas d'attirer les foules…

    Que de chemin parcouru depuis leur création, dans le café de Josef Mnozil à Vienne, et leurs premiers cachets sur les scènes improvisées ! Véritables « Monty Python de la musique », ils se sont déjà produits en France à plusieurs reprises, soirées qui restent à jamais gravées dans les annales des festivals et la mémoire des spectateurs.

    Une première depuis longtemps pour Paris, qui les accueillera en mai 2014 au Théâtre de l’Athénée pour fêter, avec l'humour incomparable qui les caractérise, leur 20e anniversaire : "Happy Birthday"!



    20h
    30 mai 14


  • "tango hoy" par le mosalini teruggi cuarteto / concert au profit de l'UNICEF




    En la présence de Patrick Poivre d'Arvor, ambassadeur de l'Unicef sous le haut patronage de l'ambassade d'Argentine.

    Juanjo Mosalini et Leonardo Teruggi, respectivement au bandonéon et à la contrebasse, sont héritiers de la grande tradition du tango, dans la lignée d’un Astor Piazzolla et des profondes évolutions esthétiques qu’il a apporté au genre, en le faisant reconnaître tant des amateurs de musiques populaires que de musiques savantes.

    Musiciens, mais aussi arrangeurs et compositeurs, les deux Franco-Argentins font partie de cette nouvelle génération dynamique qui porte avec une exigence musicale réelle le renouveau du tango. En synergie avec le pianiste Romain Descharmes et le violoniste Sébastien Surel, ils proposent un tango vivant, où les échos du passé deviennent la matière sonore d’un présent réinventé.



    20h00
    19 juin 14

  • "tango hoy" par le mosalini teruggi cuarteto / concert au profit de l'UNICEF




    En la présence de Patrick Poivre d'Arvor, ambassadeur de l'Unicef sous le haut patronage de l'ambassade d'Argentine.

    Juanjo Mosalini et Leonardo Teruggi, respectivement au bandonéon et à la contrebasse, sont héritiers de la grande tradition du tango, dans la lignée d’un Astor Piazzolla et des profondes évolutions esthétiques qu’il a apporté au genre, en le faisant reconnaître tant des amateurs de musiques populaires que de musiques savantes.

    Musiciens, mais aussi arrangeurs et compositeurs, les deux Franco-Argentins font partie de cette nouvelle génération dynamique qui porte avec une exigence musicale réelle le renouveau du tango. En synergie avec le pianiste Romain Descharmes et le violoniste Sébastien Surel, ils proposent un tango vivant, où les échos du passé deviennent la matière sonore d’un présent réinventé.



    20h00
    19 juin 14

  • la traviata




    Quelques places disponibles à visibilité réduite, réservations auprès de la billetterie du théâtre : 01 53 09 19 19.

    Les Voix Concertantes vous proposent une des plus belles pages de l’opéra italien sous une forme légère et dynamique, servie par une jeune troupe d’artistes talentueux.

    Laissez-vous envahir par l’émotion de cette sublime histoire d’amour, que le génie de Verdi porte pour l’éternité.


    Violetta Valéry : Manon Bautian

    Alfredo Germont : Pierre Antoine Chaumien

    Giorgio Germont : Yann Toussaint

    Orchestre Les Voix Concertantes

    Dirigé par: Sesto Quatrini

    durée : 1h50


     



    20h00
    18 sept. 14




  • sur le fil




    Conte, sans texte, pour lumière, guitares, son, objets animés

    Tout part d'un personnage perché sur un fil, suivant lentement, attentivement et élégamment sa course jusqu'à un horizon qui n'est pas un point, mais un continent. Alors le spectacle commence, nous plongeant au cœur d'une nature douce et révoltée, rassurante et violente. La vie apparaît, dansante, émerveillée. Deux êtres malicieux se croisent et s'amusent, laissant place au monde de la nuit, ses mystères, ses lueurs imperceptibles. La mort ; le silence ; la vie, gaie et insouciante. Le temps poursuit-il sa course effrénée vers un avant inconnu ? ou nous relie-t-il à des moments hors du temps, îlots précieux à savourer ? L'étourdissante abondance est-elle préférable à la page blanche ?


    À la guitare, pièces de Barrios, Britten, Brouwer, Mouratoglou, Sor, Villa-Lobos.


    Patrice Besombes. lumière. scénographie

    Philippe Mouratoglou : guitares classique, folk, et baryton

    Claire Thiébault : son, création sonore

    José Pedrosa : objets animés

    Hélène Thiébault : auteur, direction artistique

    voir le teaser I écouter un extrait



    20h00
    du 23 oct. 14 au 24 oct. 14

  • concours international de harpe lily laskine




    Le concours de harpe Lily Laskine, qui s'inscrit parmi les concours de la Ville de Paris, porte le nom de la grande artiste française (1893-1988) qui a largement contribué à la promotion internationale de son instrument. C'est en son hommage que le concours, qui compte aujourd'hui parmi les trois grandes compétitions internationales dédiées à la harpe, a été créé en 1993.

    Pour sa huitième édition, le concours Lily Laskine se déroule à Paris du 20 au 27 octobre 2014. L'Athénée Théâtre Louis-Jouvet accueille l'épreuve finale ainsi que le concert des lauréats, les 26 et 27 octobre. Les lauréats du concours junior, une rareté dans le vaste univers des compétitions musicales, se produiront également sur la scène de l'Athénée.

    Les finalistes interpréteront le Concertino pour harpe et orchestre de chambre d'Ernö Dohnanyi, et le Concerto RV 93 d'Antonio Vivaldi, en compagnie de l'orchestre Lamoureux dirigé par Hélène Bouchez. Des oeuvres pour harpe seule, notamment deux œuvres nouvelles commandées spécialement pour le concours, complètent ce programme.

    14h30
    20h00
    du 26 oct. 14 au 27 oct. 14

  • Concert Pianissimes - Anna Fedorova




    "Une douce modestie alliée à une expressivité sauvage avec une attention toute particulière portée à la sonorité." Les critiques sont unanimes pour saluer cette pianiste ukrainienne de 25 ans. Après des études à Kiev (Ukraine), Imola (Italie) et Londres, elle a remporté 14 prix dans des compétitions internationales de piano - dont le 1er prix au concours Rubinstein (Pologne 2009) - qui lui permettent de se produire sur les plus grandes scènes du monde : Concertgebouw d'Amsterdam, Tonhalle de Zurich, Philharmonie de Varsovie, Carnegie Hall de New York, Bunka Kaikan de Tokyo, Festival de Verbier, International Piano Festival de Trieste, Orpheum Music Festival à Zurich, Annecy Classic Festival... En 2014, elle choisit la France et le label DiscAnnecy, en partenariat avec les Festivals d'Annecy et d'Auvers sur Oise, pour publier son premier CD consacré à Brahms, Chopin et Liszt.

    programme :
    Scarlatti Sonates K 20 et K 213
    Brahms Intermezzi op. 118
    Liszt Sonnet de Pétrarque, 6e Rhapsodie hongroise
    Chopin 3e Sonate

    en savoir plus www.annafedorova.com I www.lespianissimes.com



    20h
    28 oct. 14

  • winston mcanuff & fixi




    Pour couronner une tournée de plus de 150 concerts, Winston McAnuff & Fixi donneront le 03 novembre 2014 prochain une dernière représentation exceptionnelle à l'Athénée.

    Quand Fixi et son groupe Java avaient appelé en 2007 le chanteur jamaïcain Winston McAnuff, ils voulaient le son du reggae classique. Les deux hommes n'imaginaient pas le chemin qu'ils parcourraient ensemble : retrouver les racines gospel et soul d'un fils de pasteur jamaïcain, coaliser toutes les influences du monde entier dans lesquelles grandit un musicien parisien curieux et gourmand. Avec les chansons de l'album A New Day, Winston McAnuff et Fixi voyagent entre Amérique et Réunion, Afrique et Antilles, modernité urbaine et spirit rural…

    20h00
    3 nov. 14

  • winston mcanuff & fixi




    Pour couronner une tournée de plus de 150 concerts, Winston McAnuff & Fixi donneront le 03 novembre 2014 prochain une dernière représentation exceptionnelle à l'Athénée.

    Quand Fixi et son groupe Java avaient appelé en 2007 le chanteur jamaïcain Winston McAnuff, ils voulaient le son du reggae classique. Les deux hommes n'imaginaient pas le chemin qu'ils parcourraient ensemble : retrouver les racines gospel et soul d'un fils de pasteur jamaïcain, coaliser toutes les influences du monde entier dans lesquelles grandit un musicien parisien curieux et gourmand. Avec les chansons de l'album A New Day, Winston McAnuff et Fixi voyagent entre Amérique et Réunion, Afrique et Antilles, modernité urbaine et spirit rural…

    20h00
    3 nov. 14



  • 3ème édition 1001 Notes à l’Athénée




    Hermine Horiot & Ferenc Vizi (projet Envol 2014) – David Ianni – Vanessa Wagner & Thibault Lebrun (projet Maître et l'Élève 2015)

    Pour la troisième année consécutive à l’Athénée, 1001 Notes, fidèle à sa vocation d’accompagnement des jeunes talents, présente, ses projets de soutien aux jeunes artistes, Envol & Maître et l’Elève.

    Trois formations musicales, pour vivre une soirée sous le signe de la jeunesse, de l’ouverture musicale, et du talent avec comme invitée d’honneur cette année, la pianiste Vanessa Wagner. La soirée débutera avec la violoncelliste Hermine Horiot et Ferenc Vizi dont le CD Romance oubliée sera commercialisé dans quelque jours. Vanessa Wagner mettra en lumière le jeune pianiste Thibault Lebrun, leur disque À l’Aube, sera enregistré en février 2015, enfin le pianiste/compositeur luxembourgeois David Ianni proposera en création ses Valses.

    programme :
    Hermine Horiot (violoncelle) & Ferenc Vizi (piano) - Liszt, Dvorak, Schumann : durée 30 mn
    David Ianni (piano) Valses de David Ianni : durée 25 mn
    Thibault Lebrun & Vanessa Wagner : durée 25 mn

    www.1001notes.com

     



    20h
    8 déc. 14















  • Symphonie fantastique


    musique Hector Berlioz
    libre adaptation pour orchestre de chambre Arthur Lavandier
    direction musicale Maxime Pascal
    projection sonore Florent Derex
    avec Le Balcon
    feat Académie de musique de rue Tonton à faim


    week-end de réouverture :


    > samedi 24 septembre : soirée de réouverture du théâtre

    À l'issue du concert de la Symphonie fantastique, en deuxième partie de soirée, Le Balcon investit tout le théâtre le temps d'une "fantastic party" : concerts en continu, performances, surprises seront au rendez-vous (programme détaillé à venir).

    tarif spécial orchestre 10€ : exceptionnellement, les sièges de l'orchestre n'ayant pas encore été remis en place, des places debout en fosse seront vendues. Pour l'occasion tarif spécial de 10€ en vente le jour même 1h avant le concert (paiement en espèces ou par chèque uniquement).


    > dimanche 25 septembre : "un goûter fantastique" sera offert aux enfants à l'issue du concert, un moment convivial à partager entre petits et grands, quizz musical, ballons et sucettes seront de la partie.

    Les familles peuvent d'ores et déjà réserver des places d'orchestre pour le dimanche 25, uniquement par téléphone, et dans la limite des places disponibles : 10€ pour les adultes, 5€ pour les enfants de moins de 12 ans.


    > lancement du disque Symphonie fantastique par le label Le Balcon
    Vente du CD et dédicaces sur place à l'issue des représentations. plus d'infos



    "Ah ! quel talent je vais avoir demain."
    Hector Berlioz

    Ah !, les enthousiasmes…  L’Athénée à peine rouvert, les sièges de l’orchestre même pas encore remis en place, les musiciens du Balcon sont déjà résolus à investir la place pour ouvrir la saison en fanfare. Au programme, une version fougueuse, frondeuse, fondue, d’un monument de la musique française : la Symphonie fantastique. En quelques mois fiévreux de l’année 1830, Berlioz l’avait composée pour conquérir le cœur d’une femme ; en 2016, Arthur Lavandier la décompose pour conquérir celui des spectateurs.
    "Il s’agit d’une interprétation libre ou d’une recréation plutôt que d’un arrangement, mais la terminologie ne changera pas ce qui tient l’entière opération: se placer dans un esprit résolument berliozien", promet le jeune compositeur. Des transes du musicien poète – et amoureux de surcroît ! – voici donc une version nouvelle et moderne "à la fois transcription, réorchestration, arrangement, qui raconte simplement l’orchestre du XXIe siècle". Fantastique projet pour fantastique matériau : un voyage halluciné où rêveries, danses courtoises et idylle champêtre débouchent sur une marche au supplice pour mieux culminer dans un grotesque et ricanant sabbat… Bon retour dans nos murs… qui sont prêts à trembler !



    commande du Festival Berlioz en 2013
    production : Le Balcon I avec le soutien de la fondation Orange, la fondation Singer Polignac, le festival Berlioz, Schoeps, Areitec, le Conservatoire national supérieur d'art dramatique, le ministère de la Culture et de la Communication, Sennheiser, DAD et le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    24 sept. 16

  • Le Bac 68


    comédie française, écrite, mise en scène et jouée par Philippe Caubère
    lumières Claire Charliot
    son Mathieu Faedda
    styliste Christine Lombard
    après avoir été improvisée devant Jean-Pierre Tailhade et Clémence Massart

    S'il est une phrase que les parents et les époques n'ont pas peur de rabâcher, c'est bien : "Passe ton bac d’abord"…  
    Mais pour Ferdinand Faure, promis à de basses études et même voué par sa mère aux bigoudis et aux rouflaquettes, c'est en mai 1968 que tombent en même temps le bachot… et quelques pavés.

    Épisode crucial de L'Homme qui danse à découvrir enfin in extenso, Le Bac 68 est aussi le moyen de pénétrer dans l'univers de Caubère avec un spectacle un peu plus bref que les autres, mais pas pour autant moindre. Car en revenant sur "les événements historiques qui ont bouleversé la société occidentale", il revendique une liberté qu'on aurait tort de croire acquise.

    "Les choses n'ont plus jamais été après ce qu'elles étaient avant, n'en déplaise aux méchantes langues et mauvais esprits qui ne sont pas les derniers pourtant à profiter encore des progrès, de société en particulier, qui en sont issus, écrit Philippe Caubère. En ces temps de révisionnisme général, il me semble que rappeler ceci, sous une forme comique, et populaire qui plus est, tient presque du devoir civique et républicain... !"



    production : La Comédie Nouvelle I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 4 oct. 16 à 19h00 au 19 nov. 16 à 20h00


  • La Danse du diable


    histoire comique et fantastique écrite, mise en scène et jouée par Philippe Caubère
    après avoir été improvisée devant Jean-Pierre Tailhade, Clémence Massart
    lumières Claire Charliot
    son Mathieu Faedda
    styliste Christine Lombard

    À ceux qui l'ont vue déjà, on n'aura pas besoin de faire l'article.

    Il suffira de leur rappeler Claudine et Madame Colomer, et Isabelle dans la colline avec ses pataugas, et Mauriac croisant Johnny dans une chambre de Provence, et les gonzes en Malaguti filant vers l'Estaque, pour que tout le reste leur revienne, et avec le plaisir des histoires qu'on ne se lasse pas d'entendre raconter.
    Aux autres, on dira que le marathon de Philippe Caubère – et ça n'est pas sa moindre magie – est plus qu'un spectacle, un moment de vie partagé, une histoire vécue ensemble quelques heures.

    Quand on demandait il y a peu à Philippe Caubère pourquoi et comment il passait sa vie à rejouer sa vie, il rectifiait : "Ce n'est pas ma vie que je rejoue, c'est ma jeunesse." Pour cette raison peut-être, La Danse du Diable n'a, du temps, pas subi les outrages. Ou bien c'est que diable y est pour quelque chose.



    production : La Comédie Nouvelle I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 11 oct. 16 à 19h00 au 20 nov. 16 à 16h00

  • L'Île du rêve


    avec Enguerrand de Hys, Marion Tassou, Éléonore Pancrazi, Ronan Debois, Safir Behloul, l'Ensemble vocal Dionysos
    opéra de Reynaldo Hahn
    livret André Alexandre, Georges Hartmann
    d'après Pierre Loti
    direction musicale Julien Masmondet
    mise en scène Olivier Dhénin
    avec l' Orchestre du Festival Musiques au pays de Pierre Loti
    dramaturgie, scénographie et costumes Olivier Dhénin
    lumières Anne Terrasse
    collaboration artistique à la scénographie Amélie Lauret
    conseillère artistique pour le costume, confection des bijoux Hélène Vergnes
    chorégraphie Nina Pavlista
    accessoires Livia Jouan
    assistantes à la mise en scène Suzanne Daurat, Haïet Ben Akremi
    orchestration Thibault Perrine
    chef de chant et chef de choeur Thomas Palmer
    préparation vocale du choeur Pierre Kuzor
    assistant au décor et régie artistique Thibaut Lunet
    assistante aux costumes et broderie Lou Bonnaudet

    — Et tes plaisirs, dans cette île fleurie, sont-ils nombreux ?
    — Le bain... la rêverie... Le bain, surtout.

    C’est au pied de la cascade de Fatahua, "dans un bassin d’eau vive entre des roches sombres tapissées de fougères et de rosiers du Bengale fleuris à profusion" que se baignent la belle Mahénu et ses compagnes et que commence l’histoire… 

    Une histoire exotique et sensuelle, celle des amours de l’écrivain voyageur Pierre Loti, telles que les imagine à 17 ans Reynaldo Hahn. Pas moins exotique que son modèle, le tout jeune compositeur est né à Caracas d’une mère vénézuélienne et d’un père juif allemand, et, fréquentant les plus chic salons, il est devenu aussi parisien qu’on peut l’être.
    Coup d’essai magistral, cette “idylle polynésienne en trois actes” vaudra à l’élève de Massenet les compliments émus de son maître : “Votre île du rêve, je veux y retourner ! Y retourner vite ! Oh ! C’est beau ! C’est vrai !”

    C’est un voyage vers des terres lointaines qui s’offre ici : celles du Pacifique mais aussi celles d’une œuvre et d’un répertoire passablement méconnus. Tout ensemble nouvel Éden et paradis perdu, cette île aujourd’hui redécouverte est riche de mélodies précieuses et ciselées, d’harmonies délicates, et on y sentira, sous les effluves des fleurs de Bora-Bora,  l’élégance particulière de la musique française à l’aube du XXe siècle. “Le frisson d'admiration qu’il propage au loin et qui nous fait trembler, nous courbe tous l’un après l’autre, dans une silencieuse et solennelle ondulation des blés sous le vent”, écrivait de Reynaldo Hahn son ami intime Marcel Proust, qui le qualifiait aussi – tout simplement – “d’instrument de musique de génie”.


    Reynaldo Hahn (1874 – 1947)
    Ciboulette – Malvina - Nuit d'amour bergamasque – Le Dieu bleu – Le Marchand de Venise

     



    production : Musiques au Pays de Pierre Loti, Winterreise Compagnie Théâtre I coréalisation : Théâtre de la Coupe d'Or – scène conventionnée de Rochefort, Athénée Théâtre Louis-Jouvet | avec le soutien de Pierre Bergé et l'accompagnement du Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Nouvelle-Aquitaine I avec le mécénat d'entreprise Société Frisquet et l'agence Okó | avec l'aimable autorisation des éditions Musicales Alphonse Leduc

    du 6 déc. 16 au 11 déc. 16

  • Les Chevaliers de la Table ronde


    opéra bouffe de Hervé
    paroles Henri Chivot, Alfred Duru
    direction musicale Christophe Grapperon
    mise en scène Pierre-André WEITZ
    avec La Compagnie Les Brigands, Damien Bigourdan, Antoine Philippot, Arnaud Marzorati, Manuel Nuñez Camelino, Ingrid Perruche, Lara Neumann, Chantal Santon Jeffery, Clémentine Bourgoin, Samy Camps, David Ghilardi, Théophile ALEXANDRE , Jérémie Delvert, Pierre Lebon
    transcription Thibault Perrine
    costumes et scénographie Pierre-André WEITZ
    assistants aux costumes et à la scénographie Pierre Lebon, Mathieu Crescence
    assistante à la mise en scène Victoria Duhamel
    travail corporel Iris Florentiny, Yacnoy Abreu Alfonso
    lumières Bertrand Killy
    chef de chant Nicolas Ducloux

    spectacle à partir de 12 ans

    une production du Palazzetto Bru Zane

    Amoureux du Moyen Âge, médiévistes de tous crins, réjouissez-vous : la lumière va enfin être faite sur les Chevaliers de la Table ronde… et avec elle quelques étincelles. Vous apprendrez qu'aux côtés de Lancelot et Mélusine se trouvaient le valeureux Médor et la troublante Totoche, ainsi que tout ce qu'il faut pour faire un monde : des flambeaux en plaqué, une couronne de zinc, des rimes en "ique-nique-nique-nique", des factures, des divorces, des développages et des développations et puis un phoque et même Richard Wagner…

    Éminents spécialistes de la période, les Brigands retrouvent ici les plaisirs de Geneviève de Brabant, de Croquefer et du Temps des Croisades, la beauté des châteaux humides, la galanterie des chevaliers et les mélodies des ménestrels. Henry Chivot et Alfred Duru (auteurs pour Offenbach de L'Île de Tulipatan) mettent cette fois leur fantaisie au service d'Hervé, "le compositeur toqué", rival d'Offenbach en dinguerie et en grâce.

    "La musique d'Hervé est fine, légère, pleine d'esprit. Les mélodies sont simples et efficaces, l'harmonie naturelle, l'orchestration limpide... écrit Thibault Perrine, auteur de cette nouvelle orchestration. Mais c'est surtout de son rythme que provient cette énergie débordante qui la caractérise : rythme des accompagnements, pour la plupart issus de la danse ; rythme de la ligne vocale, tout au service d’un texte plein de fantaisie et de vivacité : rythme de la forme, enfin, si important dans ce genre très particulier qu'est l'opérette."


    Louis-Auguste-Florimond Ronger dit Hervé, (1825-1892)
    Don Quichotte et Sancho Pança * Chilpéric * Vlan dans l'œil * Le Petit Faust * Le Cabinet Piperlin



    production déléguée : Palazzetto Bru Zane – Centre de musique romantique française I production exécutive : Compagnie Les Brigands I coproduction : Opéra de Reims | Le Centre des Bords de Marne – Le Perreux I La Coursive – Scène nationale La Rochelle I avec l’aide de la SPEDIDAM, de l’ADAMI I en partenariat avec Angers-Nantes Opéra I avec l’aide au projet de la DRAC Île-de-France I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    du 16 déc. 16 au 7 janv. 17

  • Oh-la-la oui oui


    swing lyrique
    avec deux chanteurs et trio jazz
    avec Emmanuelle Goizé, Gilles Bugeaud
    contrebasse Laurent Delaveau
    guitare Gilles Parodi
    violon Laurent Zeller
    mise en scène Stéphan Druet
    chorégraphies Sebastiàn Galeota
    lumières Anne Coudret

    J'ai fait ça en douce
    Et j'ai connu sur le gazon 
    La grande secousse 
    Et le fameux petit frisson

    C’est au sein de la compagnie les Brigands que les spectateurs ont découvert les chanteurs Emmanuelle Goizé et Gilles Bugeaud et leur complice, le metteur en scène Stéphan Druet. Fine équipe qui se retrouve aujourd’hui associée à un trio de jazz manouche pour servir un répertoire jubilatoire : celui de la chanson de l’Entre-Deux-Guerre. Bref répit entre deux carnages, la période débridée a vu naître le swing, la gloire de Mistinguett, Maurice Chevalier, Joséphine Baker et l’apogée  de Django Reinhardt…

    Extraits de comédies musicales ou d’opérettes, pépites puisées dans les revues, trésors et classiques composent ici "un tour de chant tour à tour sentimental, coquin, insouciant, électrique, mélancolique et bucolique, à l’époque de ces folles années durant lesquelles Paris dansa sur un volcan." Loin cependant de toute nostalgie, le quintette donne une lecture actuelle de chansons “au style sans détour, sans censure, jamais banal, jamais grossier, qui continuent de nous étonner par leur humour”.

    De quoi anticiper une soirée de plaisirs et de marrants badinages. Aura-t-on deux amours couchés dans le foin dans un beau débit de lait ? Oh-la-la, oui oui !



    production déléguée : Quand on est trois I avec le soutien de l'Adami et de la Spedidam I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 20 déc. 16 au 7 janv. 17

  • Elvira (Elvire Jouvet 40)


    texte Brigitte Jaques-Wajeman
    tiré de Molière et la Comédie classique de Louis Jouvet
    mise en scène Toni Servillo
    avec Toni Servillo, Petra Valentini, Francesco Marino, Davide Cirri
    traduction Giuseppe Montesano
    costumes Ortensia De Francesco
    lumières Pasquale Mari
    son Daghi Rondanini
    assistante à la mise en scène Costanza Boccardi
    surtitrage Emanuela Pace

    spectacle programmé dans le cadre du festival italien : spectacles associés Dolore sotto chiave et Danza macabra

    spectacle en italien surtitré en français


    Retrouver cette année Elvire Jouvet 40, c’est se placer au croisement de plusieurs belles histoires de théâtre ; c’est aussi convoquer des fantômes, pourrait-on dire aussi, pour autant qu’on se rappelle que ceux-ci peuvent être de charmants invités. Le fantôme de Louis Jouvet, tout d’abord, qui est à l’Athénée sur ses terres. Les fantômes d’une époque, ensuite, celle de la Seconde Guerre mondiale, de la "drôle de guerre" aux débuts de l’Occupation, qui traversent comme des ombres ce texte qui semble pourtant ne parler que de théâtre, de Molière, de l’interprétation de l’acteur… 

    Jouvet eut la prescience de faire prendre en sténographie les cours qu’il donnait au Conservatoire, dont il fut sans conteste l’un des plus illustres professeurs, et il aura fallu une intuition égale à la sienne, celle de Brigitte Jaques-Wajeman, pour transformer ce matériau en texte de théâtre… avec le succès qu’on sait. On retrouvera donc ici de beaux souvenirs : l’accueil triomphal du spectacle à l’Athénée – sans doute son habitat naturel – près de 90 représentations entre 1986 et 1987, pour pas loin de 20 000 spectateurs !

    C’est un autre monument du théâtre qui redonne aujourd’hui voix à ce texte : Toni Servillo, figure magistrale de la scène et du cinéma italiens, incarne ici Jouvet. Metteur en scène et interprète de Tartuffe et du Misanthrope, il est ici chez lui. “Je reviens en terrain familier, chez Molière, avec une œuvre qui examine de façon spécifique la phénoménologie de la création artistique, un sujet sur lequel Jouvet s’interroge de façon obsessionnelle, explique-t-il. Cette obsession est également la mienne, à ceci près que je suis à quelques crans en dessous du génie de Jouvet.”




    production : Piccolo Teatro di Milano - Teatro d'Europa /Teatri Uniti I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet I L'activité internationale du Piccolo Teatro di Milano - Teatro d'Europa est soutenue par Eni.

    du 12 janv. 17 au 21 janv. 17

  • Dolore sotto chiave / Pericolosamente


    textes Eduardo De Filippo, Luigi Pirandello
    mise en scène Francesco Saponaro
    avec Tony Laudadio, Luciano Saltarelli, Giampiero Schiano
    scénographie et costumes Lino Fiorito
    lumières Cesare Accetta
    son Daghi Rondanini

    spectacle programmé dans le cadre du festival italien : spectacles associés Elvira (avec Toni Servillo) et Danza macabra (dernière mise en scène de Luca Ronconi)


    spectacle en italien surtitré en français


    C’est rare pour un écrivain : les Italiens ne l’appellent que par son prénom – Eduardo –, illustrant bien le rapport affectueux autant que personnel qu’ils entretiennent avec l’auteur de Filumena Marturano.

    Dramaturge prolifique, mais aussi comédien, bateleur, poète, meneur de troupe, De Filippo – comme on dit de ce côté-ci des Alpes –, raconte des histoires de tous les jours, petits trafics et galères d’argent, affaires de cœurs et embrouilles de famille. Écrites en dialecte napolitain, souvent un acte, ses pièces ont su raconter la vie comme elle vient et va, décrire un monde avec tant de justesse que le public le considère encore aujourd’hui comme un copain, un cousin, un familier.

    De la famille et de ses avanies, il est encore question dans les deux courtes pièces ici réunies et mises en scène par Francesco Saponaro, Douleur sous clé et Dangereusement. Que sont ces douleurs qu’on retient captives… mais qui continuent de distiller leur lent et patient poison ? Ces secrets que l’on cache une vie durant ? Ces haines anciennes, cuites et recuites sous le soleil de Naples, et rien moins que gratinées ? Précédées d’un prologue du Sicilien Pirandello, voici deux sombres histoires racontées avec la verve ensoleillée du théâtre napolitain : humour noir, rire jaune, émotions multicolores… 


    Eduardo De Filippo (1900 – 1984)
    Samedi, dimanche et lundi * La Grande Magie * Sik-Sik * Filumena Marturano * L’Art de la comédie

     



    production : Teatri Uniti - Napoli Teatro Festival Italia en collaboration avec l'Università della Calabria
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    du 13 janv. 17 au 21 janv. 17

  • Histoires naturelles


    récital
    baryton Stéphane Degout
    piano Cédric Tiberghien

    Renouant avec la prodigieuse série de récitals organisée par Pierre Bergé, les lundis musicaux font leur retour pour leur deuxième année à l’Athénée. Des chanteurs encore prometteurs ou déjà très admirés explorent
    le répertoire de la mélodie. Rien que l’intimité et la poésie de la musique de chambre. C’est déjà beaucoup.


    PROGRAMME

    Histoires naturelles
    Francis Poulenc / poèmes de Guillaume Apollinaire
    Maurice Ravel Histoires naturelles
    Maurice Ravel Chansons madécasses avec Alexis Descharmes violoncelle et Matteo Cesari flûte

    concert enregistré par B Records pour la collection théâtre de l'Athénée Live

    voir l'ensemble de la programmation des Lundis musicaux



    production : Le Balcon I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    23 janv. 17

  • Danza macabra


    texte August Strindberg
    avec Adriana Asti, Giorgio Ferrara, Giovanni Crippa
    mise en scène Luca Ronconi
    traduction et adaptation Roberto Alonge
    scénographie Marco Rossi
    costumes Maurizio Galante
    lumières A. J. Weissbard
    son Hubert Westkemper
    surtitres Prescott Studio Firenze

    spectacle en italien surtitré en français


    “Le pari était de faire interpréter l’enfer domestique d’un couple qui se déteste et vit affreusement mal ensemble par un couple qui vit merveilleusement bien ensemble”,
    s’amusait, en 2014, Luca Ronconi.

    Deux couples… Voici les uns : Alice, actrice ratée, et le Capitaine, artilleur à la retraite, héros de Strindberg qui, au bout de vingt-cinq ans de mariage, se détestent chaque jour dans le double isolement d’une île et de la tour d’une forteresse, où s’épanouissent les fleurs malades de leur catastrophe conjugale.

    Et, plus heureux, les autres : la grande comédienne italienne Adriana Asti – vue au cinéma chez Pasolini ou Buñuel, au théâtre sous la direction de Visconti, Strehler ou Pinter –, et son compagnon, le metteur en scène Giorgio Ferrara, unis depuis plus de quarante ans, à la ville comme à la scène. “Faire l’acteur n’est pas mon métier principal, mais à chaque fois que j’ai accepté, c’était pour jouer le mari ou l’amant d’Adriana”, reconnaît ainsi Ferrara.

    Jeu de massacre et jeu de miroirs, scène de ménage et ménage en scène, cette version italienne aborde Strindberg par son versant méridional. Dans ce qui devait être l’une de ses dernières mises en scène, Ronconi laisse éclater l’humour cruel de cette tragédie du couple, rappelant la joie féroce et tourbillonnante au cœur même de la lutte.

    Les mots sont parfois comme les couples fatidiques, il suffit de les associer pour que l’un finisse par annihiler l’autre… Mais la mort elle-même ne saurait faire oublier la danse.

    August Strindberg (1849-1912)
    Mademoiselle Julie * Père * Le Pélican * Le Songe * La Sonate des spectres



    production : Teatro Metastasio di Prato, Spoleto57 Festival dei 2Mondi con la collaborazione di Mittelfest 2014 I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    du 26 janv. 17 au 29 janv. 17

  • Je suis un homme ridicule


    opéra de Sébastien Gaxie
    livret et mise en scène Volodia Serre
    d'après la nouvelle de Fédor Dostoïevski
    direction musicale Pierre Roullier
    avec 2e2m, Musicatreize, Lionel Gonzalez, Lionel Peintre
    scénographie Marc Lainé, Stephan Zimmerli
    lumières Kevin Briard
    vidéo Benoit Simon, Stéphane Lavoix
    costumes Hanna Sjödin
    son Étienne Graindorge

    spectacle en français


    Prenez une nouvelle de Dostoïevski, métaphysique et mouvementée, confiez-la aux énergies bouillonnantes d'un metteur en scène, d'un compositeur et d'un ensemble : vous verrez apparaître un spectacle électro-onirique, où le lyrisme du texte rejoint celui de l’opéra.


    La dernière fois que l’on avait vu Volodia Serre à l’Athénée, c’était dans les affres tchékhoviennes des Trois Sœurs, qu’il mettait en scène et interprétait… aux côtés de ses trois sœurs. Le voici aujourd’hui confronté à un autre monument de la littérature russe – Dostoïevski, pas moins !– et entouré du compositeur Sébastien Gaxie et de l’ensemble 2E2M.

    Œuvre fulgurante et tardive, Le Rêve d’un homme ridicule déploie les obsessions récurrentes de l’écrivain : doubles et hallucinations, nihilisme et rêves de grâce. Unissant le lyrisme du texte à celui de la musique et de la voix, cette version opératique, électronique ouvre sur des espaces infinis, où s’accomplissent les voyages interstellaires de Dostoïevski.

    Sommes-nous devant un homme qui rêve qu’il rêve ? Est-il mort, revenu parmi les hommes pour prêcher ? Sommes-nous les témoins ou les acteurs de son délire ? 

    “L’homme a choisi le théâtre. Il vient donc parler directement et sans détour aux spectateurs. Il a lui-même réuni les moyens scéniques qui doivent permettre de rendre son rêve visible.” Quel est ce songe, comment l’interpréter ? Gardons-nous de juger trop vite :  les hommes peuvent être ridicules, mais il n’en va pas autant de leurs rêves.



    production : 2e2m-Ensemble à rayonnement national et international I coproduction : Musicatreize, Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine I avec le soutien d'Arcadi Île-de-France, du FCL-Fonds de création lyrique, l'aide à la création du Conseil départemental du Val-de-Marne, l'aide de l'Adami, de l'ARCAL, de La Muse en Circuit et du GMEM-Centres nationaux de création musicale, de la Ferme du Buisson-Scène nationale de Marne-la-Vallée, des Laboratoires d'Aubervilliers et du Conservatoire de musique de Gennevilliers I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    du 25 févr. 17 au 4 mars 17

  • La Petite Renarde rusée


    opéra et livret Leos Janacek
    d'après Rudolf Tesnohlidek
    mise en scène Louise Moaty
    direction musicale Laurent Cuniot
    avec TM+, Noriko Urata, Caroline Meng, Laurent Bourdeaux, Philippe Cantor, Sylvia Vadimova, Françoise Masset, Paul Gaugler, Sophie-Nouchka Wemel, Joanna Malewski, le jeune chœur de Paris
    collaboration et conseil vidéo Benoît Labourdette
    collaboration scénographie et costumes Adeline Caron, Marie Hervé, Julia Brochier, Louise Bentkowski
    lumières création collective
    maquillage Elisa Provin
    collaboration à la mise en scène Florence Beillacou
    chef de chant Nicolas Jortie
    conseil musical et linguistique Irène Kudela
    conseil marionettes Claire Rabant

    À bas l'ancien régime ! Créons un monde nouveau où vous connaîtrez à égalité plaisir et bonheur.

    Quelle sauvage, cette renarde ! Assez pour se rêver en gitane, pour fustiger la bête soumission des poules, pour faire la nique au blaireau. Assez libre pour suivre qui elle veut et pour rompre avec les dents les entraves qu’on voudrait imposer à son plaisir…

    Opéra hédoniste, féministe, sans autre morale que celle de la nature, l’opéra de Janacek libère un tourbillon de couleurs, celles des campagnes moraves bruissant de mille microscopiques existences, celles des scintillements du désir, celles de l’orchestre enfin, vastes et opulentes.

    D’abord protagoniste d’un roman, la Petite Renarde rusée devint ensuite l’héroïne d’une bande dessinée dans le quotidien tchèque Lidové Noviny – ou Janacek avait déjà trouvé l’inspiration de son Journal d’un disparu. Revenant aux origines graphiques de l’opéra,

    Louise Moaty  met en scène la fable à travers le tournage et le montage en direct d'un film composite, mêlant chanteurs, vidéo, dessin et théâtre d’objet. Ainsi les spectateurs pourront suivre l’action sur le plateau et sur l’écran, et parcourir un paysage aux esthétiques changeantes : “Nous rêvons des paysages magnifiques d’un Schiele, d’un Klimt pour mettre en forme ce véritable hymne à la nature et au cycle des saisons, dont les changements rythment la vie de la Petite Renarde à travers des pages orchestrales somptueuses et rayonnantes”, écrit la metteur en scène. Un projet “jetant des ponts entre théâtre et cinéma, pour défier toute finitude, en écho à la renaissance éternelle des petites renardes.”

    spectacle en tchèque surtitré en français


    http://www.renarde.arcal-lyrique.fr



    une production de l'Arcal
    production : Arcal, compagnie nationale de théâtre lyrique et musical I coproduction : TM+ ensemble orchestral de musique d’aujourd’hui, Maison de la Musique de Nanterre, Fondation Orange, Théâtre de Saint-Quentin en Yvelines–Scène nationale, Les 2 Scènes–Scène nationale de Besançon, Théâtre d’Etampes I avec le soutien d’Arcadi Île-de-France I avec la participation du DICRéAM I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    du 15 mars 17 au 19 mars 17

  • Pierrot lunaire


    théâtre lyrique avec marionnettes
    d’après l'œuvre d' Arnold Schönberg
    sur 21 poèmes d' Albert Giraud
    précédé de Quatorze manières de décrire la pluie d' Hanns Eisler
    mise en scène Jean-Philippe Desrousseaux
    direction musicale Takénori Némoto
    avec l' Ensemble Musica Nigella
    avec la chanteuse Marie Lenormand (les 24, 25, 28, 29, 30 mars), Fiona McGown (le 31 mars)
    avec les marionnettistes Gaëlle Trimardeau, Bruno Coulon, Antonin Autran, Jean-Philippe Desrousseaux
    avec les musiciens Pablo Schatzman, Annabelle Brey, Anne-Cécile Cuniot, François Miquel, Nicolas Ducloux
    adaptation, scénographie et costumes Jean-Philippe Desrousseaux
    lumières François-Xavier Guinnepain
    vidéo Gabriele Alessandrini
    chef de chant et piano Nicolas Ducloux
    traduction en allemand Otto Erich Hartleben

    Allez expliquer la poésie… Schönberg s’en gardait bien, qui composait "sous l’inspiration des premiers mots d’un texte, sans me préoccuper le moins du monde de la façon dont le poème continuait. A ma grande stupéfaction, je constatai alors que je n’avais jamais autant rendu justice au poète que lorsque, guidé par mon premier contact avec la sonorité du premier vers, j’avais deviné tout ce qui devait inévitablement suivre."

    Et allez expliquer pourquoi ce spectacle, qui marie les magies du légendaire Pierrot lunaire et des marionnettes japonaises bunraku, s’impose avec une telle justesse.

    Bien sûr, on pourrait plaider que tout art trouve sa place dans l’imaginaire de l’auteur Albert Giraud, qui disait désirer "un théâtre de chambre, dont Breughel peindrait les volets, Shakespeare, les pâles palais, et Watteau, les fonds couleurs d’ambre."

    On pourrait aussi rappeler la fascination de l’École de Vienne pour le japonisme… Mais on ne dirait alors rien du voyage fantastique qui commence ici, musical, méditatif et mouvementé, ouvert par les Quatorze manières de décrire la pluie qu’Eisler composa en hommage à son maître Schönberg.

    Permettant à chaque spectateur de déployer sa propre rêverie, le spectacle laisse la marionnette "représentation railleuse mais fidèle de l’humanité" épouser les ironies et les noirceurs du récit poétique. Et on ne sait comment cela opère. Allez expliquer le charme… 

    spectacle en allemand surtitré en français



    production : Ensemble Musica Nigella | coproduction : Association Euphonie - Festival Musica Nigella, Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines - Scène nationale I avec le soutien d'Arcadi-Île-de-France et de la Spedidam | coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    du 24 mars 17 au 31 mars 17

  • Les Amours des poètes


    ténor Cyrille Dubois
    piano Alphonse Cemin

    Changement de programme du récital :

    Souffrant le chanteur Stanislas de Barbeyrac est contraint d'annuler ses engagements à l'Opéra de Paris, et à l'Athénée où il devait initialement chanter le récital du 27 mars. Il sera remplacé par le ténor Cyrille Dubois qui triomphe en ce moment dans Trompe la mort à l'Opéra de Paris.

    Les spectateurs ayant déjà acheté leurs billets peuvent se faire rembourser auprès de la billetterie (01 53 05 19 19) ou conserver leurs billets pour ce récital.


    Le programme du récital est modifé comme suit :

    Robert Schumann Dichterliebe opus 48 - quatorze poèmes de Heinrich Heine 

    Gabriel Fauré Cinq Mélodies de Venise opus 58 - poèmes de Paul Verlaine

    Benjamin Britten Seven Sonnets of Michelangelo opus 22 - poèmes de Michel-Ange


    voir l'ensemble de la programmation des Lundis musicaux



    production : Le Balcon I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    27 mars 17

  • The Lighthouse


    opéra et livret de Peter Maxwell Davies
    mise en scène Alain Patiès
    direction musicale Philippe Nahon
    avec Ars Nova ensemble instrumental, Christophe Crapez, Paul-Alexandre Dubois
    scénographie Laure Satgé, Valentine de Garidel
    costumes Gabrielle Tromelin
    lumières Jean-Didier Tiberghien
    chef de chant Jean-Yves Aizic
    avec Nathanaël Kahn

    Que s’est-il passé ce soir de décembre 1900, au large des Hébrides extérieures ? Où ont disparu les trois gardiens du phare, qui ont tout laissé derrière eux et semblent s’être évaporés ? Suicide ? Accident ? Intrusion d’un événement surnaturel ?

    Mort en mars dernier à 81 ans, le compositeur écossais Peter Maxwell Davies a composé en 1980 cet opéra de chambre inspiré par un fait divers réel.
    L’intrigue policière s’y colore des légendes ancestrales, alors qu’alternent les voix de la raison et de l’étrange. Aquatique, fantastique, grinçant, l’opéra expose aussi la lutte de l’homme et de la machine, l’opposition de l’hésitation humaine et de l’automatisme inflexible.

    Dans ce huis-clos à ciel ouvert où tanguent toutes les certitudes et où les croyances essuient quelques esquifs, la musique contemporaine croise le folklore celte, les liturgies millénaires, les plus vieux chants d’amour…

    Pour cette promenade au phare pleine de suspense, le metteur en scène Alain Patiès invite les spectateurs à “participer à l’enquête et tenter d’élucider le mystère de la disparition de l’île Flannan : l’énigme, les investigations non résolues et vite abandonnées, offrent à chacun l’occasion d’imaginer ce qui est véritablement arrivé aux trois personnages.”

    Qu’on prenne donc quelques biscuits de survie pour s’embarquer vers le lointain large, ouvert aux mélomanes et aux détectives.

    spectacle en anglais surtitré en français



    production : La Grande Fugue I coproduction : Ars Nova ensemble instrumental, Conservatoire de La Plaine Centrale I avec le soutien d’Arcadi Île-de-France, l'aide de l'Adami, La Copie Privée I avec l'aide de La Société littéraire de La Poste | coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    du 21 avr. 17 au 28 avr. 17

  • Ismène


    texte Yannis Ritsos
    musique originale Georges Aperghis
    conception Marianne Pousseur, Enrico Bagnoli
    mise en scène, espace et lumières Enrico Bagnoli
    avec Marianne Pousseur
    son et décor sonore Diederik De Cock
    collaboration musicale Jean-Luc Plouvier
    collaboration artistique Guy Cassiers
    accessoires Claudine Maus
    traduction française Dominique Grandmont © Editions Gallimard

    Ismène

    “Il me sembla que j’étais devenue la statue dorée de moi-même éclairée par la lune.”

    Figure méconnue de la dynastie des Labdacides, oubliée de la légende, la sœur d’Antigone, Ismène “la discrète, la passive, la faible” trouve ici le pouvoir de se raconter.

    “Ismène représente la part sensuelle existant en chacun d’entre nous tandis qu’Antigone en représente la part intellectuelle”, écrivent Pousseur et Bagnoli. De la sœur qui ne se rêve pas héroïne, qui veut goûter de la vie les simples plaisirs, ils font revivre la singulière destinée : refuser la tragédie lui vaudra d’être reléguée au brouillard de la mythologie. Émergeant d’un plan d’eau, portant le masque d’argile d’une statue, la voici pourtant qui reprend la parole…

    Yannis Ritsos (1909- 1990)
    Au-delà de l’ombre des cyprès * Une femme vers la mer *  La colline à la fontaine * Les cannes des aveugles * Quatrième Dimension



    coproduction : Théâtre de la Balsamine, Théâtre de Liège et Grand Théâtre du Luxembourg I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 3 mai 17 au 6 mai 17

  • Phèdre


    texte Yannis Ritsos
    conception Marianne Pousseur, Enrico Bagnoli
    mise en scène, espace et lumières Enrico Bagnoli
    avec Marianne Pousseur
    son et décor sonore Diederik De Cock
    musique Marianne Pousseur
    collaboration artistique Guy Cassiers, Josse de Pauw
    assistante artistique Ilaria Mozzambani
    costumes Christine Piqueray
    traduction francophone Gérard Pierrat © Editions Gallimard adaptée par Marianne Pousseur

    Phèdre
    "Les étoiles sont sorties. Elles piquent comme des ronces."

    "La Phèdre de Ritsos est une femme accomplie. Elle est touchée par un amour soudain, qui changera sa vie de façon définitive. Au moment où nous la rencontrons dans le texte, c’est une femme altérée par la passion, le désir."


    Du monologue de la femme brûlante et brûlée, le public devient le confident, le juge, le partenaire.
    Offrant une incarnation musicale aux troubles, aux afflux du sang, aux souffles et aux soupirs, entourant l’héroïne de machines emballées, le spectacle dessine peu à peu l’enfermement de Phèdre et conduit le spectateur au cœur même du drame – non pas le cœur figuré ou symbolique mais le cœur bien vivant, et battant follement, de l’héroïne perdue.

    Yannis Ritsos (1909- 1990)
    Au-delà de l’ombre des cyprès * Une femme vers la mer *  La colline à la fontaine * Les cannes des aveugles * Quatrième Dimension



    production : Compagnie Khroma I avec l'aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles / Service théâtre I coproduction : Théâtre de Liège et Théâtre des Tanneurs I avec l'aide des Brigittines et de la Maison des cultures et de la cohésion sociale de Molenbeek
    du 10 mai 17 au 13 mai 17

  • Ajax


    texte Yannis Ritsos
    conception Marianne Pousseur, Enrico Bagnoli
    mise en scène, espace et lumières Enrico Bagnoli
    avec Marianne Pousseur
    traduction, adaptation et musique Marianne Pousseur
    son et décor sonore Diederik De Cock
    assistantes artistiques Emilienne Flagothier, Ilaria Mozzambani
    costumes Christine Piqueray
    travail corporel Nienke Reehorst
    aide à la traduction Toni Malamatenios, Hélène Dimitriadis, Hélène Troupi Bourillon

    Ajax
    “La peur de l’ennemi n’est rien comparée à la peur d’un ami qui connaît les blessures cachées et vise juste.”

    Tout ce qui a triomphé un jour décline… 
    Fils d’Argonaute, égal d’Ulysse, presque aussi fort qu’Achille, le héros de la guerre de Troie a fini par toucher au bout de sa course.

    “Il a perdu toute une série de valeurs. Le monde dans lequel il vit n’est plus adapté aux héros, aux incorruptibles, aux intègres, il a gagné beaucoup de batailles, mais la guerre a été vaincue par les manipulateurs. C’est avec une grande sérénité qu’il se retire d’un monde qui n’est plus fait pour lui”,
    écrivent les auteurs, qui voient dans la situation du héros de criantes similitudes avec le temps que nous traversons.
    Point d’orgue de la trilogie, ce dernier volet la radicalise en la poussant dans ses retranchements : Ajax, figure masculine et guerrière s’il en est, sera ici interprété par une femme. Et d’ailleurs, qu’est-ce que ça change ?


    Yannis Ritsos (1909- 1990)
    Au-delà de l’ombre des cyprès * Une femme vers la mer *  La colline à la fontaine * Les cannes des aveugles * Quatrième Dimension



    production : Compagnie Khroma I avec l'aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Service théâtre I coproduction : Théâtre Varia et Théâtre de Liège I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 17 mai 17 au 20 mai 17

  • Duparc, chansons tristes


    ténor Damien Bigourdan
    soprano Élise Chauvin
    piano Alphonse Cemin

    Renouant avec la prodigieuse série de récitals organisée par Pierre Bergé, les lundis musicaux font leur retour pour leur deuxième année à l’Athénée. Des chanteurs encore prometteurs ou déjà très admirés explorent
    le répertoire de la mélodie. Rien que la beauté du piano et de la voix, rien que l’intimité et la poésie de la musique de chambre. C’est déjà beaucoup.


    programme

    L'invitation au voyage (Charles Baudelaire)

    Le Manoir de Rosemonde (Robert de Bonnières)

    Extase (Jean Lahor)

    La vague et la cloche (François Coppée)

    Feuille volante pour piano seul (Duparc)

    Soupir (René-François Sully-Prudhomme)

    Lamento (Théophile Gautier)

    Élégie (Thomas Moore)

    Feuille volante pour piano seul (Duparc)

    Au pays où se fait la guerre (Théophile Gautier)

    Sérénade (Gabriel Marc)

    Romance de Mignon (Victor Wilder)

    Chanson triste (Jean Lahor)

    La Fuite (Théophile Gautier)

    Feuille volante pour piano seul (Duparc)

    Sérénade florentine (Jean Lahor)

    Phidylé (Charle-Marie-René Leconte de Lisle)

    Richard Wagner Élégie 

    La Vie antérieure (Charles Baudelaire)



    voir l'ensemble de la programmation des Lundis musicaux


    production : Le Balcon I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    22 mai 17


  • Dracula


    Déserts Edgard Varèse
    Dracula Pierre Henry
    d'après Richard Wagner
    libre adaptation pour orchestre sonorisé et orchestre de haut-parleurs Augustin Muller, Othman Louati
    direction musicale Maxime Pascal
    informatique musicale Augustin Muller
    projection sonore Florent Derex
    avec Le Balcon

    JEUDI 1er JUIN : AVANT-PREMIERE réservée aux jeunes de - de 30 ans, aux musiciens des orchestres amateurs et choristes amateurs. Un justificatif sera demandé le soir-même avant l'entrée en salle. réservez vos places


    Qu’obtient-on quand les musiciens du Balcon revisitent Pierre Henry, qui lui-même revisite Wagner ? Un moment musical électrique, bombardé de soupirs et d’incendies, de fureurs et de voluptés, justement placé sous le signe du plus célèbre des vampires.

    Radical dans sa soif de sons et musiques, Pierre Henry aura été un pionnier des musiques électroniques mais aussi de la délicieuse morsure des œuvres, ouvrant la voie à popularisation du sampling, du remix, de l’extended mix. On lui doit entre autres une Xe Symphonie de presque Beethoven, ou encore un Concerto sans orchestre “traversée des cercles de l'Enfer de Dante en compagnie de Franz Liszt”. Dans Dracula ou la musique troue le ciel, c’est – carrément – à la Tétralogie de Wagner qu’il assure une métamorphose, transformant la montagne wagnérienne en un “film sans images”, plein de soupirs et  d’incendies, de fureurs et de voluptés.

    Et puisque Dracula ne saurait se passer de sang neuf, c’est la frétillante bande du Balcon qui est aux commandes de cette nouvelle version, où la musique de Wagner sera orchestrée et spatialisée par Othman Louati et Augustin Muller. “Avec ce projet, un nouvel aspect de la spatialisation va être exploré à travers l’œuvre de Pierre Henry, écrivent les musiciens de l’ensemble. Après sa version sonorisée et spatialisée des Vêpres de Monteverdi ou le travail entrepris sur Donnerstag de Karl Stockhausen, c’est maintenant sur Dracula que Le Balcon va se pencher, affermissant le lien très fort avec la sonorisation et la spatialisation qu’il a placées dès sa naissance au cœur de son geste artistique.”


    Pierre Henry (né en 1927)
    Variation pour une porte et un soupir * Messe pour le temps présent * Futuristie * Apocalypse de Jean * Tam-Tam du merveilleux



    production : Le Balcon I avec le soutien de l'Adami, de la Caisse des dépôts et des consignations, d'Areitec et l’aide du programme CERNI du ministère de la Culture et de la Communication I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 1er juin 17 au 3 juin 17

  • el gran pajaro de los andes


    conception Eblis Álvarez
    avec Le Balcon

    soirée programmée dans le cadre du week-end colombien du 6 au 8 octobre

    programme de la soirée du 6 octobre :

    > 1ère partie : quatuor à cordes Le Balcon - musique de chambre colombienne
    - 45min - grande salle
    - Pedro Garcia Velasquez Danse Intérieure (2017, deuxième volet de Chants souterrains) - commande du Théâtre Impérial de Compiègne  
    - Leonardo Idrobo Murmullos (2015) - commande du Teatro Colon de Bogota
    - Pedro Ojeda Acosta Si algo te debo, con esto te pago (2017) - El del moño rojo y Alegría por un zumo de naranja en la mañana quatuor à cordes et percussions (10') - création mondiale, commande de Nova et Vetera

    > entracte

    > 2e partie : spectacle El Gran Pajaro de los Andes conçu par Eblis Álvarez - quatuor Le Balcon & musiciens colombiens - 1h - grande salle

    > 3e partie : DJ set colombien Los Guaqueros - Mateo Rivano et Mario Galeano - 40min - foyer-bar du théâtre (1er étage)
    Un DJ set pensé comme une investigation artistique de l'histoire musicale colombienne.
    Les deux artistes présentent l’évolution des différents styles de la musique colombienne et ce replacé dans le contexte social et politique du début des années 1900 : morceaux des premiers enregistrements faits à Bogota, archives ethnomusicologiques enregistrées sur le terrain, mixées et animées en live.



    quelques mots sur le week-end colombien

    Trois jours imaginés (du 6 au 8 oct) par le chef Maxime Pascal, le producteur colombien Santiago Gardeazàbal, le vidéaste Nieto et les suspects habituels, pour mêler les énergies d’ici et de là-bas, pour passer d’un quatuor à cordes à une pièce pour percussions et guitare électrique, à la découverte des jeunes compositeurs les plus prisés de Bogota.

    L’occasion de voir une version hallucinée de Garras de Oro, film-ovni de 1926, où l’on croise un Oncle Sam aux longues griffes dorées (soirée du samedi 7 octobre), de se déhancher sur un soupçon de cumbia (soirée du 6 octobre), et de découvrir (dimanche 8 octobre) la légendaire pianiste Teresita Gómez.



    dans le cadre du Festival Colombie un cartel contemporain, et avec le soutien de l'Institut français dans le cadre de l'Année France-Colombie 2017

    production : Le Balcon I coproduction : Nova et Vetera I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    6 oct. 17

  • ciné-concert garras de oro


    musique Juan Pablo Carreño
    vidéo Nieto
    avec Le Balcon

    soirée programmée dans le cadre du week-end colombien (du 6 au 8 octobre)

    > première partie : concerts 35 min - grande salle
    -
    Juan Pablo Carreño, In Conspectu tuo pour soprano et ensemble - création mondiale, commande Nova et Vetera 2017
    - Edson Velandia, Sinfonia Municipal n°8 - création mondiale, commande Nova et Vetera 2017

    > entracte

    > deuxième partie : ciné-concert Garras de Oro
    : 45 min - grande salle


    pass week-end colombien : 48€ au lieu de 78€
    => réservez ici



    quelques mots sur Garras de Oro
    Garras de Oro est le premier film muet colombien réalisé par P.P. Jambrina. Conçu en pleine annexion du canal de Panama par les États-Unis, cette œuvre est également considérée comme le premier film anti-impérialiste du cinéma mondial. Il fut d'ailleurs précipitamment retiré par la censure dans toute l’Amérique latine puis disparu pendant plus de cinquante ans.
    Juan-Pablo Carreño, compositeur colombien et co-directeur artistique de l’orchestre Le Balcon, a conçu ce projet sous la forme d’un ciné-concert pour deux voix - ensemble et dispositif électronique.

    Le cinéaste colombien Luis Nieto est également intervenu au sein même du film original, en reconstituant certaines scènes qui s’intègrent d’une façon originale à différents moments de cette oeuvre cinématographique. Le personnage de l’Oncle Sam trouve un écho scénique troublant en la personne du chef Maxime Pascal, qui dirige l’ensemble Le Balcon face au public. Ces interventions font du ciné-concert un spectacle total, où musique instrumentale, illustration narrative, manifeste politique et interrogation sur l’identité nationale se croisent, se complètent et se répondent.



    dans le cadre du Festival Colombie un cartel contemporain, et avec le soutien de l'Institut français dans le cadre de l'Année France-Colombie 2017

    production : Le Balcon I coproduction : Nova et Vetera I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    7 oct. 17

  • récital de piano


    avec les pianistes Teresita Gómez, Alphonse Cemin

    récital de piano programmé dans le cadre du week-end colombien du 6 au 8 octobre à l'Athénée

    première partie récital de piano
    - 1h30 - grande salle
    Gustavo Yepes (1945-) Pre y post variaciones sobre chaflan Teresita Gómez
    Antonio María Valencia (1902-1952) Bambuco sotareño Teresita Gómez
    Jorge Andrés Arbeláez (1967-) Contra las piedras / Dona Tere Teresita Gómez
    Adolfo Mejía (1905-1973) Bambuco en si minor Teresita Gómez
    Luis Antonio Calvo (1882-1945) Malvaloca Lejano azul Teresita Gómez
    Natalia Valencia Zuluaga (1976-) El pozo y los pajaros Teresita Gómez et Alphonse Cemin
    entracte
    Claude Debussy (1862-1918) Arabesque n°1 et 2 Teresita Gómez
    Pierre Boulez (1925-2016) Notations Alphonse Cemin
    Arthur Lavandier (1987-) Le Livre I Alphonse Cemin
    Maurice Ravel (1875-1937) Ma mère l’oye Teresita Gómez et Alphonse Cemin

    deuxième partie émission radio Le Balcon - 50 min - grande salle
    Radio Balcon : lancement de la première émission de radio du Balcon
    "Le son de l'orchestre - harmoniser acoustique et électronique"
    intervenants : Maxime Pascal, Florent Derex, Augustin Muller, Giani Caserotto


    quelques mots sur le week-end colombien

    Trois jours imaginés (du 6 au 8 oct) par le chef Maxime Pascal de l'ensemble Le Balcon, le producteur colombien Santiago Gardeazàbal, le vidéaste Nieto et les suspects habituels, pour mêler les énergies d’ici et de là-bas, pour passer d’un quatuor à cordes à une pièce pour percussions et guitare électrique, à la découverte des jeunes compositeurs les plus prisés de Bogota.

    L’occasion de voir une version hallucinée de Garras de Oro, film-ovni de 1926, ciné-concert où l’on croise un Oncle Sam aux longues griffes dorées (soirée du samedi 7 octobre), de se déhancher sur un soupçon de cumbia (soirée du 6 octobre), et de découvrir (dimanche 8 octobre) la légendaire pianiste Teresita Gómez.          



    dans le cadre du Festival Colombie un cartel contemporain, et avec le soutien de l'Institut français dans le cadre de l'Année France-Colombie 2017

    production : Le Balcon I coproduction : Nova et Vetera I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    8 oct. 17

  • cassandre


    avec Fanny Ardant
    musique Michael Jarrell
    d'après un texte de Christa Wolf
    direction musicale Jean Deroyer
    avec le Lemanic Modern Ensemble
    mise en scène Hervé Loichemol
    scénographie et lumière Seth Tillett
    costumes Nicole Rauscher
    son David Poissonnier
    traduction Alain Lance, Renate Lance-Otterbein

    Malheurs aux augures, aux devins, aux pythies, aux prophètes : ils se trouveront bien seuls avec leur vérité que nul ne veut croire. S’inspirant de l’œuvre de la romancière Christa Wolf, Michael Jarrel a trouvé en Cassandre l’incarnation du drame immuable que sera toujours le désir collectif d’ignorance, ce sombre revers de l’espoir.

    “Cassandre sait l’avenir, mais n’empêchera rien. Ce qui fait écho à notre propre situation. À notre sentiment d’impuissance face à un monde dont nous devinons qu’il court à la catastrophe. À nos ‘plus jamais ça’ que nous ressassons indéfiniment.” De la tragédie de Cassandre, le compositeur suisse a tiré un "monodrame pour comédienne et orchestre" auquel Fanny Ardant offre sa silhouette longiligne et sa voix sans pareille, accompagnée par les musiciens du Lemanic Modern Ensemble. Un hommage à tous les lanceurs d’alerte, aux esprits lumineux prêchant dans l’ombre, où s’épanouit intacte toute l’émotion du drame.

    Comme le note le metteur en  scène Hervé Loichemol : "La première fois qu’Énée rencontre Cassandre – ils ne se sont jamais vus – il lui dit : 'Pardonne-moi, je n’ai pu venir plus tôt.' Peut-on imaginer plus belle déclaration d’amour ?"



    production : Comédie de Genève I avec le soutien de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture, et de la Spedidam I remerciements à la Haute école de musique, Genève I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 18 oct. 17 au 22 oct. 17

  • l'aile déchirée


    texte et mise en scène Adrien Guitton
    avec François Gardeil, Hugo Jasienski, Martin Karmann, Marie-Caroline Le Garrec, Laura Segré, Gaia Singer, Laurène Thomas, Loris Verrecchia
    scénographie Juliana Bettarel
    lumière Denis Koransky
    costumes Hollie Barret, Odélia Rabusseau
    composition musicale Florent Sénia

    Aspirant à stimuler l’imaginaire du spectateur, le jeune auteur et metteur en scène Adrien Guitton a réuni une (pas moins jeune) troupe de comédiens, pour proposer un spectacle en forme "d’apologie du présent, de la joie, et de l’action".

    L’Aile déchirée,
    histoire d’un espoir amoureux, se veut aussi hymne à l’amour. Convoquant tour à tour un fiancé, une promise, un coryphée et un duo de clowns, Adrien Guitton compose le portrait d’une jeunesse emportée par les ivresses de l’espoir et de l’idéal, livrée aux épanchements de l’amour, de l’alcool, de la violence du monde… "Je souhaite amener le spectateur à un endroit entre le rêve et la réalité, entre un conte et une tragédie, entre une immersion totale et une distanciation nette", écrit Adrien Guitton, voix nouvelle et à découvrir.



    production : La Compagnie Phosphore I spectacle créé avec le soutien du Théâtre 13 / Paris dans le cadre d’une résidence de création, de la ménagerie de verre dans le cadre du StudioLab, de l’Arcal et de la Spedidam I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 9 nov. 17 au 19 nov. 17

  • notre carmen


    d'après Georges Bizet
    livret Henri Meilhac et Ludovic Halévy
    adaptation musicale Louis Bona, Roman Lemberg
    mise en scène Franziska Kronfoth
    direction musicale Roman Lemberg
    avec le collectif de théâtre musical Hauen und Stechen, Ensemble 9
    chorégraphie Julia Lwowski
    scénographie et costumes Christina Schmitt
    dramaturgie Maria Buzhor
    vidéo Martin Mallon
    avec les chanteurs Valentin Bezencon, Thorbjörn Björnsson, Angela Braun
    avec les comédiens Günter Schanzmann, Gina-Lisa Maiwald, Julia Lwowski, Maria Buzhor, Franziska Kronfoth
    assistantes scénographie et costumes Mia Lehrnickel, Charlotta Hench
    assistante costumes Jorinde Sturm

    spectacle en allemand surtitré en français

    Rien de plus inconnu que ce qu’on croit connaître. Prenons ainsi Carmen, vue et revue, retrouvée, rabâchée… Qui est-elle aujourd’hui ? Si elle est l’archétype de la femme libre, qu’est devenue sa liberté ? Peut-elle se libérer d’un carcan d’exotisme qui la renvoie sans cesse à une figure familière, folklorique, pour mieux la rendre étrange et l’éloigner finalement ? Autant de questions qui passionnent les créatrices du jeune collectif berlinois Hauen und Stechen, dont on verra pour la première fois le travail en France. 

    Franziska Kronfoth et Julia Lwowski ont étudié la mise en scène d’opéra à l'école Hanns Eisler de Berlin, et, depuis 2012, développent un théâtre musical qui entend dépasser les limites traditionnelles du genre. "Notre Carmen est un affront, elle devient monstrueuse", écrivent-elles. Notre Carmen ne croit plus à une liberté promise quelle qu’elle soit, mais elle exige une libération de cette implacable idéologie, qui sait même pervertir tout refus. Elle devient experte en travestissement, géante ébouriffée, ou vieille malodorante, notre Carmen développe des stratégies inédites. Notre Carmen paie pour son audace effrontée le prix de l’exclusion sociale. Elle n’est d’aucune fête, n’est pas invitée."

    Partant de la partition de Bizet, elles en proposent une nouvelle dramaturgie musicale pour entendre l’opéra d’une façon nouvelle, et rendre à Carmen une liberté dont même la mort ne saurait la priver.

    quelques mots de l'équipe artistique
    "Le travail pluridisciplinaire et de réécriture permet de penser l’opéra d’une façon nouvelle. Liant opéra, théâtre et vidéo notre objectif est de rajeunir le public de l’Opéra et de demeurer un laboratoire performatif dans ce genre musical. Notre projet de création sur le long-terme est de développer des projet cohérents et ambitieux qui ont pour objet de surprendre l’auditeur par des formes interactives, de créer des espaces d’échange et de porosité avec le public et d’expérimenter par là les limites comme les possibilités offertes par l’Opéra.

    Le travail avec l’équipe musicale française de l’Ensemble neuf et Louis Bona, comme compositeur, performer et musicien, contribue à approfondir cette réflexion et à créer une plateforme d’échange entre les pratiques et formations françaises et allemandes, très différentes." collectif Hauen und Stechen



    production : Hauen und Stechen avec le soutien du Hauptstadtkulturfonds, et le Département de la Culture et de l’Europe du Sénat de Berlin I coproduction : Sophiensaele Berlin I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 9 nov. 17 au 19 nov. 17

  • la passion selon sade


    musique Sylvano Bussotti
    mise en scène Antoine Gindt
    direction musicale Léo Warynski
    avec l' Ensemble Multilatérale
    avec Raquel Camarinha, Eric Houzelot
    collaboration à la mise en scène Elodie Brémaud
    scénographie Elise Capdenat
    lumière Daniel Levy
    costumes Fanny Brouste
    chef de chant Yoan Héreau

    La soprano Raquel Camarinha a été nommée aux Victoires de la musique 2017 - catégorie révélations artiste lyrique.

    spectacle en français - déconseillé aux moins de 16 ans

    Homme de théâtre et de musique, tout à la fois metteur en scène, décorateur, costumier, acteur, Sylvano Bussotti porte sur scène un hédonisme épanoui, s’empare des textes de Sade, d’un sonnet de Louise Labbé, et laisse à la partition une part d’aléatoire… Car il n’est pas de sensualité qui se puisse entièrement prévoir.

    Une œuvre charnelle et sulfureuse que le metteur en scène Antoine Gindt permet de redécouvrir aujourd’hui. Dans cette partie à trois entre une chanteuse, un acteur et un orchestre, entre théâtre et opéra, il expose "les tourments et des extases de Justine/Juliette qui, après avoir été initiée par son créateur, finit par le dominer et lui échapper définitivement."



    production : T&M Paris I coproduction : Théâtre de Nîmes – scène conventionnée pour la danse contemporaine I avec le soutien de Musica Strasbourg I avec le soutien de la Spedidam I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 23 nov. 17 au 26 nov. 17

  • adieu ferdinand ! (clémence)


    La Baleine & Le Camp naturiste
    deux contes écrits, mis en scène et joués par Philippe Caubère
    après avoir été improvisés 34 ans plus tôt devant la caméra de Pascal Caubère
    et les regards de Clémence Massart et Véronique Coquet
    assistant à l'écriture Roger Goffinet
    lumière Claire Charliot
    son Mathieu Faedda

    Quoi ? Ferdinand Faure ? Des adieux ? Pour de vrai ? "Il fallait bien que ça arrive… écrit Philippe Caubère.  D’aucuns penseront : "Il était temps !" Voire : "C’est un peu tard…" Peu importe : c’est là." Ferdinand Faure tire sa révérence, raccroche les gants, rend son tablier.

    > première soirée : Clémence (La Baleine & Le Camp naturiste)
    - La Baleine (ou Moby Dick) sera le récit burlesque de la première trahison sexuelle de Clémence par Ferdinand au Théâtre du Soleil, pendant la création de L'Âge d'or. Herman Melville et Oum Kalsoum en accompagneront les péripéties.
    - Dans Le Camp naturiste, Clémence entraînera Ferdinand au camp de Montalivet dans l'idée de lui faire oublier le cauchemar de son divorce avec le Théâtre du Soleil, ainsi que celui de la création de Lorenzaccio au Palais des Papes en compagnie d'une troupe de Belges. Belges qui, hélas, occupent les deux tiers du camp ! Seuls Marcel Proust et un couple de Bordelais pervers tenteront d'en distraire nos deux "enfants du Soleil" ; ceux-ci -et ceci- en leur narrant avec enthousiasme les origines nazies de ce temple du naturisme…

    > en savoir plus sur la deuxième soirée
    Le Casino de Namur



    En 2017, Philippe Caubère a reçu :
    > le Prix Plaisir du Théâtre de la SACD
    > le Molière du Meilleur comédien dans un spectacle de Théâtre public
    > le Prix du Théâtre de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre dramatique


    coproduction : Théâtre du Chêne Noir à Avignon, Théâtre des Muses à Monaco
    production : Véronique Coquet pour La Comédie Nouvelle I avec le soutien du ministère de la Culture I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 2 déc. 17 à 20h00 au 12 janv. 18 à 20h00


  • adieu ferdinand ! (le casino de namur)


    Les Pétrieux
    un conte écrit, mis en scène et joué par Philippe Caubère
    après avoir été improvisé 34 ans plus tôt devant la caméra de Pascal Caubère
    et les regards de Clémence Massart et Véronique Coquet
    assistant à l'écriture Roger Goffinet
    lumière Claire Charliot
    son Mathieu Faedda

    Quoi ? Ferdinand Faure ? Des adieux ? Pour de vrai ? "Il fallait bien que ça arrive… écrit Philippe Caubère.  D’aucuns penseront : "Il était temps !" Voire : "C’est un peu tard…" Peu importe : c’est là." Ferdinand Faure tire sa révérence, raccroche les gants, rend son tablier.


    deuxième soirée : Le Casino de Namur (Les Pétrieux)
    Le Casino de Namur fera se retrouver Bruno, pilier du Roman d'un Acteur, et Ferdinand, quelques temps plus tard, en plein marasme et hiver belges. De la voiture pourrie de Bruno, où se rejouera un dialogue historique du Roman sur les raisons mystérieuses de l'appétence des avocates pour la sodomie, jusqu'à ce casino qui fait le titre ; où les entraînera, dans l'ombre de Dostoïevski, la passion pour le jeu de la famille Pétrieux, gros cultivateurs de betteraves et parents de Jean-Marie, ami comédien de nos héros. Mieux que leur passion, ils leur communiqueront leurs vices : à Ferdinand, celui de gagner. Et à Bruno, celui de perdre. 

    > en savoir plus sur la première soirée :
    Clémence (La Baleine & Le Camp naturiste)



    En 2017, Philippe Caubère a reçu :
    > le Prix Plaisir du Théâtre de la SACD
    > le Molière du Meilleur comédien dans un spectacle de Théâtre public
    > le Prix du Théâtre de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre dramatique



    coproduction : Théâtre du Chêne Noir à Avignon
    production : Véronique Coquet pour La Comédie Nouvelle I avec le soutien du ministère de la Culture I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 5 déc. 17 à 19h00 au 14 janv. 18 à 16h00

  • poèmes d'un jour


    avec le baryton Stéphane Degout
    avec le pianiste Simon Lepper

    programme :

    Gabriel Fauré (1845-1924)

    Aurore (op. 39/1 Armand Sylvestre)

    Poèmes d’un jour : Rencontre ; Toujours ; Adieu (op. 21 1878. Charles Grand-Mougin)

    Automne (op. 18/3, 1878. Armand Sylvestre)

     

    Johannes Brahms (1833-1897)

    O kühler Wald (op. 72, 1877. Brentano)

    Die Mainacht (op. 43, 1868. Hölty)

    Auf dem Kirchhofe (op. 105, 1889. Detlev von Liliencron)

    Feldeinsamkeit (op. 86, 1879. Hermann von Allmers)

    Alte Liebe (op. 72, 1877. Candidus)

    Nicht mehr zu dir zu gehen (op. 32, 1864. Daumer)

    Willst du dass ich geh ? (op. 71, 1875. Lemcke)

     

    entracte 20min

     

    Robert Schumann (1810-1856)

    Zwölf Gedichte (op. 35, 1840. Justinus Kerner)


    à venir ! deux prochains lundis musicaux :


    > 19 février 2018 À la bien-aimée lointaine (Beethoven/Berlioz) avec le ténor Stanislas de Barbeyrac avec le pianiste Alphonse Cemin en savoir +

    > lundi 14 mai 2018 : Kindertotenlieder récital Mahler avec le baryton-basse Edwin Fardini et le pianiste Tanguy de Williencourt en savoir +



    production : Le Balcon I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    18 déc. 17

  • la cantatrice chauve


    texte Eugène Ionesco
    mise en scène Jean-Luc Lagarce
    avec Mireille Herbstmeyer, Jean-Louis Grinfeld, Marie-Paule Sirvent, Emmanuelle Brunschwig, Olivier Achard, Christophe Garcia, François Berreur
    décor Laurent Peduzzi
    lumière Didier Etievant
    costumes Patricia Dubois
    regard extérieur François Berreur

    Pelouse anglaise, salade anglaise et feu d’artifice de vérités bigarrées, La Cantatrice chauve fête cette année ces soixante-sept ans sans quitter la scène. 

    Qu’on se rassure, elle n’a pas mis une goutte d’eau anglaise dans son vin anglais, et continue d’enivrer par sa verve déchaînée. Pimpante et portant beau dans la mise en scène de Jean-Luc Lagarce avec les acteurs d'origine, elle a pris son rond de serviette à l’Athénée, et on se réjouit de ces retrouvailles, forcément explosives.

    – Mes excuses, mais il me semble que j’ai déjà vu cette pièce quelque part… Je me souviens qu’il y avait déjà une pelouse anglaise, de la salade anglaise, de l’eau anglaise et des femmes habillées comme la reine d’Angleterre, avec des tailleurs roses et des chapeaux à fleurs.

    – Mon Dieu, comme c’est curieux, moi aussi, il me semble…  Oui, il y avait des gens qui sautaient sans arrêt des coqs aux ânes et des cravates orange. Et puis un pompier et une bonne, qui s’appelait Mary.

    – Comme c’est bizarre et quelle coïncidence ! Moi aussi, j’ai vu cette étrange pièce-anti-pièce. Je crois que c’était au théâtre de l’Athénée en 2006 et que la mise en scène était de Jean-Luc Lagarce. Vers la fin, un monsieur s’exclamait : “kakatoès !” et tout le monde riait.

    – C’est bien possible, ce n’est pas exclu, c’est plausible. Mais je crois bien avoir moi aussi revu cette pièce à l’Athénée, mais en 2009, et la mise en scène était par contre de Jean-Luc Lagarce. 

    – Comme c’est étrange, comme c’est curieux, on dirait que cette pièce est de retour. Et qu’il y a de nouveau une pendule anglaise et un petit jardin très simple.

    – C’est bien possible. Au fond, cette pièce ressemble à la Cantatrice chauve : elle se coiffe toujours de la même façon.



    production : Compagnie Les Intempestifs I production déléguée : Les 2 Scènes–Scène nationale de Besançon I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 17 janv. 18 au 3 févr. 18

  • moscou paradis


    une comédie musicale d'après Dimitri Chostakovitch
    livret Vladimir Mass, Mikhail Chervinsky
    direction musicale Jérôme Kuhn
    Opéra Louise
    mise en scène Julien Chavaz
    avec Sheva Tehoval, Jean-Pierre Gos, William Berger, Alexandre Diakoff, Cassandre Stornetta, Seraina Perrenoud, Nina van Essen, Yannis François, Steven Beard, Sergiu Saplacan
    scénographie Lea Hobson
    costumes Severine Besson
    lumière Eloi Gianini
    dramaturgie Anne Schwaller
    maquillages et perruques Sanne Oostervink
    chorégraphie Nicole Morel
    adaptation des dialogues Julien Chavaz
    collaboration artistique Anne Schwaller
    coach russe Inna Petcheniouk

    C’est une double découverte qui attend les spectateurs de Moscou, quartier des Cerises.
    Tout d’abord celle de Chostakovitch en compositeur de musique légère, s’aventurant ici dans le domaine de la comédie musicale – genre qui, dans l’Union soviétique de l’époque, était aussi florissant qu’à Broadway. D’un galop à bride abattue dans les rues de Moscou à une valse délicate, l’auteur de Lady Macbeth du district de Mtsensk laisse ici libre cours à sa verve comique, satirique, bondissante.
    Mais un autre aspect ne manquera pas de frapper les spectateurs de cette comédie musicale sucrée et acide comme une poignée de cerises. Car loin de la carte postale d’époque présentant l'homo sovieticus, les turpitudes de ces prétendants au logement apparaîtront aujourd’hui bien familières à qui, non sans énergie, non sans mal, se cherche un chez-soi…

    spectacle chanté en russe et français surtitré en français


    Quelques mots sur Opéra Louise
    Opéra Louise – compagnie lyrique produit des créations lyriques d’œuvres du répertoire et d’ouvrages contemporains. Elle affirme le renouvellement des codes de l’opéra et adopte une vision décomplexée du lyrique. Stimulation d’une nouvelle scène opératique, décloisonnement du théâtre musical et abandon des conventions, Opéra Louise est frisch, frech und fröhlich, il était temps ! 

    Dès 2011, le projet artistique de Julien Chavaz, metteur en scène, et de Jérôme Kuhn, chef d’orchestre, est remarqué sur la scène de Fri-Son, temple de la musique alternative en Suisse. Reconnue pour l’originalité de ses créations et la qualité de son travail, Opéra Louise est désormais au bénéfice d’un partenariat de création en résidence au Théâtre Equilibre-Nuithonie à Fribourg.



    production : Opéra Louise – compagnie lyrique, Fribourg I coproduction : Equilibre-Nuithonie, Fribourg, Centre lyrique Clermont Auvergne I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet I avec le soutien de l'État de Fribourg, de la Loterie romande, de l'Agglomération de Fribourg et de la Fondation Ernst Göhner I La tournée du spectacle en France est soutenue par l'ambassade de Suisse en France.
    du 9 févr. 18 au 16 févr. 18

  • black angels


    piano Michaël Levinas
    quatuor à cordes Le Balcon
    violons You-Jung Han, Guillaume Latour
    alto Aurélie Deschamps
    violoncelle Clotilde Lacroix
    direction artistique Maxime Pascal
    projection sonore Florent Derex

    programme du concert du 13 février 2018 :

    ı Robert Schumann
    Quintette, pour piano en mi bémol majeur op. 44 (1842) - durée 40 min
    entracte 20 min
    ı George Crumb Black Angels, treize images des pays sombres, pour quatuor à cordes électrifié (1970) - durée 30 min

    En première partie, l’un des plus célèbres quintettes de l’histoire de la musique, perle de l’inspiration romantique du XIXe siècle, soit l’Opus 44 de Robert Schumann.
    En seconde partie, autre temps, autres inspirations avec le Black Angels (Thirteen Images from the Dark Land) de l’Américain George Crumb. Non seulement, on a, depuis Schumann, inventé l’électrification du pays et celle des instruments, mais, en 1970, on peut inviter dans un quatuor à cordes des verres de cristal qui doivent être accordés avec le niveau de l'eau, faire grincer des dés de métal sur la touche ou frapper sur un gong... Une œuvre qui se joue alors que la guerre ravage encore le Vietnam – elle aura pour sous-titre "In tempore belli". "On a fini par l’appeler le ‘Quatuor du Vietnam’, explique Crumb. Découpée en 13 séquences, la pièce se déroule comme une succession d’images hallucinées et de sons inouïs : "Nuit des insectes électriques", "Sarabande de la muerte obscura" 

     
    programme du concert du 25 juin 2018 en cours d'élaboration :
    ı Ludwig van Beethoven Quintette pour piano et vents en mi bémol majeur op. 16
    ı Justina Repečkaitė nouvelle œuvre, commande du Balcon
    => réserver ici

    production : Le Balcon I avec l'aide du programme CERNI du ministère de la Culture I avec le soutien de la Caisse des Dépôts, la Fondation Singer-Polignac, Areitec I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    13 févr. 18


  • claudel


    écrit et mis en scène par Wendy Beckett
    chorégraphies Meryl Tankard
    traduction Park Krausen, Christof Veillon
    scénographie Halcyon Pratt
    projections Régis Lansac
    costumes Sylvie Skinazi
    lumière François Leneveu
    avec Célia Catalifo, Marie-France Alvarez, Marie Brugière, Swan Demarsan, Sébastien Dumont, Audrey Evalaum, Clovis Fouin, Christine Gagnepain, Mathilde Rance

    Camille Claudel est une icône, un symbole pour les artistes féminines partout dans le monde.  Pourtant son destin tragique laisse beaucoup de questions sans réponses : Était-elle folle ou est-ce qu’une terrible erreur de jugement a été commise ? Pourquoi a-t-elle dû rester enfermée pendant 30 ans ? Dans cette nouvelle pièce, Wendy Beckett met en avant dès le début le point de vue de Camille Claudel, et vise à exprimer ses sentiments internes en donnant vie à ses sculptures les plus connues à travers des chorégraphies de Meryl Tankard.

    Ayant étudié la littérature, la psychologie et la science, Wendy Beckett enrichit ses pièces de théâtre de toutes ces connaissances.  Elle a écrit plus de vingt-cinq pièces et en a mises en scène plus de quarante partout dans le monde.  Avec Claudel, elle continue sa série de pièces biographiques sur les figures féminines importantes du milieu artistique, leur donnant une voix.

    Meryl Tankard a commencé sa carrière en tant que danseuse au ballet australien et elle est ensuite devenue l’une des principaux solistes de Pina Bausche.  Depuis, ses œuvres audacieuses et novateurs ont été mises en scène en Europe, aux Etats-Unis, en Asie et en Australie.  Pour Claudel Meryl Tankard utilise le travail extraordinaire de Camille Claudel comme base de la chorégraphie pour exprimer ses sentiments les plus profonds, et pour explorer l’équilibre délicat qui existe entre le génie et la folie.



    production : Claire Merviel Production en accord avec Pascal Productions
    du 7 mars 18 au 24 mars 18


  • la conférence des oiseaux


    musique Michaël Levinas
    mise en scène Lilo Baur
    direction musicale Pierre Roullier
    avec l' Ensemble 2e2m
    livret Michaël Levinas d’après un conte persan de Farid Al-Din Attar dans l'adaptation de Jean-Claude Carrière
    avec la soprano Raquel Camarinha
    avec le comédien Lucas Hérault
    avec le narrateur Hervé Pierre, sociétaire de la Comédie-Française
    assistant à la mise en scène Frédéric Taieb
    costumes Agnès Falque
    décor Bernadette Beaudet, Jean-Pierre Van Wambeke
    lumière Gilles Gentner
    réalisation informatique musicale Max Bruckert
    son Étienne Graindorge

    Quoi de plus attirant pour un compositeur qu’une conférence d’oiseaux ? D’autant que ceux-ci sont issus d’un classique de la littérature persane, œuvre du grand poète soufi Farid Al-Din Attar, et qu’ils ont traversé à tire-d’aile les siècles et les continents.

    Dans l’adaptation faite par Jean-Claude Carrière pour Peter Brook, on retrouve les oiseaux réunis, en quête de leur roi, le mystérieux Simorgh. Une figure presque divine, qui, au terme du voyage, s’avèrera plus proche que l’on ne l’avait crue, prouvant que le chemin le plus court vers soi-même passe souvent par le tour du monde… 

    Pour mettre en musique ce voyage spirituel, Michaël Lévinas a imaginé “une forme musicale lyrique narrative composée sur un livret et générée par des transformations lentes des scènes et des espaces. La salle de théâtre est comme sculptée acoustiquement. Le lieu est en continuelle transformation, et envahi par les cris et interpellations des oiseaux.” Il retrouve sa complice du Petit Prince, la metteure en scène Lilo Baur, qui trouve ici la matière de préoccupations fort contemporaines : “la quête de l'identité, le choc des civilisations, l’interrogation sur les relations entre le politique et le religieux, le féminin et le masculin.”



    production : 2e2m I coproduction : Grame, Centre national de création musicale I avec le soutien du FCL, Fonds de création lyrique, et de la Spedidam I remerciements à Henri Selmer Paris I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    du 6 avr. 18 au 11 avr. 18

  • rencontre-débat "architecture et banlieue"


    architecte, scénographe Patrick Bouchain
    auteur, metteur en scène, acteur Karim Bel Kacem
    philosophe, ingénieur en écologie Antoine Nochy

    Tel est le crédo de Patrick Bouchain, architecte et penseur iconoclaste de la cité, qui met un point d’honneur à inventer une autre manière de construire, avec et pour les usagers.

    La production actuelle de l'urbain, marquée par des politiques de ségrégation sociale et spatiale, par des stratégies d'exclusion, rendent les villes de plus en plus inhospitalières.


    Le metteur en scène Karim Bel Kacem en a fait l'expérience dans son quartier d’enfance, Le Pigeonnier, ensemble de barres d’immeubles HLM dans la zone d’Amiens-Nord, premier quartier français à subir le couvre-feu depuis 1962.
    Avec sa pièce 23 rue Couperin, il prend la banlieue comme champ d’investigation, questionne l’architecture, observe les absurdités, les constructions comportementales et ses dérives.

    Accompagnés d’Antoine Nochy, co-auteur de L’Impensé de la ville, ils débattront autour de ces enjeux à la fois politiques, philosophiques et humanistes.

    conférence à 19h en grande salle / retransmise en direct sur notre page Facebook
    déroulé : 1h de rencontre + 1h de questions/réponses avec le public
    entrée libre sur réservation


    Patrick Bouchain

    Patrick Bouchain est architecte, scénographe, connu comme étant le pionnier du réaménagement de lieux industriels en espaces culturels (entre autres, Le Magasin à Grenoble, Le Lieu Unique à Nantes, Le Channel à Calais, ou encore La Condition Publique à Roubaix). Il a aussi été conseiller de Jack Lang de 1985 à 1993, réalisateur de plusieurs œuvres d'artistes (notamment Les Deux Plateaux, au Palais-Royal, avec Daniel Buren en 1985) ou, très récemment, constructeur du Centre Pompidou Mobile.

    Karim Bel Kacem
    Karim Bel Kacem se forme initialement au jeu d’acteur à Paris puis en Suisse à la Manufacture de Lausanne. Il poursuivra sa formation à la HEAD (Haute École d’art et de design) de Genève où il étudie l’installation d’espace et la sculpture, puis l’Art/Action.
    Il crée le TTT à travers lequel il développe ses propres projets. En 2012, il amorce la série des "Pièces de chambre", qui explorent les points de contact entre théâtre et cinéma grâce à un dispositif d’écoute au casque, donnant lieu à une trilogie : Blasted, Gulliver et Mesure pour Mesure. En 2017 il débute un nouveau cycle intitulé "Les Nouveaux Monstres" où il s'intéresse aux dégâts collatéraux du néo-libéralisme. Le premier opus, 23 Rue Couperin* (point de vue d'un pigeon sur l'architecture) est présenté du 15 au 19 mai à l’Athénée (en savoir plus).

    Antoine Nochy
    Philosophe et titulaire d’un diplôme agricole, d’un master d’Ingénierie en écologie et gestion de la biodiversité à l’Université Montpellier 2. Unique européen formé aux techniques de détection, d’étude, de suivi et de capture du loup par Douglas Smith et Carter Niemeyer au Parc national de Yellowstone. ll étudie les loups sauvages dans leur milieu naturel en Europe et aux États-Unis depuis plus de quinze ans.

    9 avr. 18

  • kindertotenlieder


    avec le baryton-basse Edwin Fardini
    avec le pianiste Tanguy de Williencourt

    programme :

    ı Franz Liszt
    Es muss ein Wunderbares sein (poème d'Oskar von Redwitz)
    Im Rhein, im schönen Strome (poème de Heinrich Heine)
    Vergiftet sind meine Lieder (poème de Heinrich Heine)
    Ein Fichtenbaum steht einsam (poème de Heinrich Heine)

    ı Guy Ropartz Quatre poèmes d'après l'Intermezzo de Heinrich Heine

    entracte   

    ı Johannes Brahms 2 Gesänge, opus 91 -
    avec l'altiste Adrien La Marca

    ı Gustav Mahler Kindertotenlieder

    production : Le Balcon I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    14 mai 18

  • 23 rue couperin


    texte et mise en scène Karim Bel Kacem
    direction musicale Alain Franco
    avec l' Ensemble Ictus
    avec Fahmi Guerbâa, Karim Bel Kacem
    avec les musiciens Alain Franco, Aurélie Entringer, Serge Vuille, Flavio Virzi, Michael Schmid
    scénographie et lumière Jonathan O’Hear
    dramaturgie Corentin Rostollan
    collaboration artistique Maud Blandel
    vidéo Benjamin Cohenca
    son Clive Jenkins, Lug Lebel, François Thuillard
    pyrotechnie Joran Hegi
    éleveur d'oiseaux Tristan Plot
    avec la complicité de Lyna Khoudri, Fahmi Guerbâa, Fatima Mhaireg, Mouna Ajig, Idir Chender, Dali Benssalah, Nabil Drissi, Ziad Boudhib, Idir Mehrez, Azedine Kasri

    "Outre le fait de porter le nom d’un habitat de pigeon, l’autre particularité de mon quartier d’enfance était que tous les bâtiments portaient celui d'un compositeur de musique”, écrit Karim Bel Kacem.

    Ce point d’ancrage devient le point de départ d’une "épopée musicale, politique et visuelle; un projet d'archéologie introspective". L’auteur et metteur en scène a grandi dans le quartier du Pigeonnier, à Amiens-Nord, dans la barre dite Couperin, entre d’autre barres nommées Mozart, Gounod et Ravel.

    Anticipant la destruction de trois de ces immeubles en 2019, Bel Kacem se penche sur la vie de ces quartiers, leur passé, leur devenir, et prenant de la hauteur, épouse le point de vue des oiseaux, ceux de la Conférence du poète persan Attar, ceux d’Aristophane, ou les Uccellacci i uccellini de Pasolini. Avec le compositeur Alain Franco, il tisse le canevas d’un "opéra des cités", pour "à coups de dynamite, ouvrir la cage aux oiseaux - et libérer la parole retenue."


    rencontre-débat "architecture et banlieue"

    La production actuelle de l'urbain, marquée par des politiques de ségrégation sociale et spatiale, par des stratégies d'exclusion, rendent les villes de plus en plus inhospitalières. Comment y remédier ? Comment penser la cité et construire différement ?
    Karim Bel Kacem, Patrick Bouchain - architecte et scénographe et Antoine Nochy - co-auteur de L’Impensé de la ville, débattront autour de ces enjeux à la fois politiques, philosophiques et humanistes.
    en savoir plus sur la rencontre
    lundi 9 avril à 19h I entrée libre sur réservation ici



    production : Think Tank Théâtre I coproduction : Saint-Gervais Genève Le Théâtre, la Maison de la Culture d'Amiens – Pôle européen de création et de production I avec le soutien de la Fondation Leenaards, la Loterie Romande, la Fondation Nestlé pour l'Art, la Corodis et le Département de la culture et du sport – Ville de Genève I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 15 mai 18 au 19 mai 18

  • eden teatro


    texte Raffaele Viviani
    mise en scène Alfredo Arias
    avec Mariano Rigillo, Gaia Aprea, Gennaro Di Biase, Gianluca Musiu, Anna Teresa Rossini, Ivano Schiavi, Paolo Serra, Enzo Turrin
    avec la participation de Mauro Gioia
    musiciens Pietro Bentivenga, Giuseppe Burgarella, Erasmo Petringa
    décor Chloé Obolensky
    costumes Maurizio Millenotti
    lumière Cesare Accetta
    arrangements musicaux Pasquale Catalano

    Ça ne dure jamais éternellement, les Eden. À Paris, sur les souvenirs de l’un, demeure aujourd’hui l’Athénée. À Naples, le plus célèbre des cafés chantants, l’Eden Théâtre, reste immortel bien après sa fermeture, grâce à la verve du dramaturge Raffaele Viviani. Chansons pour quelques sous, petites embrouilles et grands sentiments, rêves tenaces, rivalités… C’est tout un monde qui se laisse découvrir et – forcément –  aimer.


    De Viviani, Alfredo Arias avait déjà fait revivre Le Cirque équestre Sgueglia. Il continue sa route avec l’auteur napolitain, pour une autre histoire de théâtre dans le théâtre… Ici, chanteuses de charme et amuseurs se crêpent le chignon en coulisses avant de se confronter au plus impitoyable des publics, jouant à chaque fois leur vie sur une blague ou une chanson…   “Le music-hall raconté par Viviani est une corde raide où s’exprime la fragilité de l’être humain, écrit Alfredo Arias. Rien de plus fascinant que le monde de ces divas de l’Eden Teatro, au bord du gouffre, qui se disputent une misérable survie sur l’affiche et sur les planches d’un théâtre, dernier espoir d’un monde,  ou carrément fin d’un monde.”

    spectacle en italien surtitré en français




    production : Teatro Stabile di Napoli – Teatro Nazionale I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 24 mai 18 au 29 mai 18


  • manga-café / trouble in tahiti


    Manga-Café (livret et musique) Pascal Zavaro
    Trouble in Tahiti (livret et musique) Leonard Bernstein
    direction musicale Julien Masmondet
    mise en scène Catherine Dune
    conseiller artistique Didier Henry
    scénographie Elsa Ejchenrand
    lumière Patrice Lechevallier
    auteur de costumes Élisabeth de Sauverzac
    chef de chant Thomas Palmer
    avec Éléonore Pancrazi, Laurent Deleuil , Morgane Heyse, André Gass, Philippe Brocard
    avec l' Ensemble Les Apaches
    vidéo Maxime Trevisiol
    Maquillage/coiffure/habillage Elisa Provin

    première partie Manga-Café (45 min) suivie d'un entracte, puis de la seconde partie Trouble in Tahiti (45min)

    Rangez vos couronnes de fleurs, desserrez les sarongs, pliez les pagnes : ce n’est pas à Tahiti que se déroule ce trop rare opéra, dont Leonard Berstein, alors en voyage de noces, écrivit la musique réjouissante et le livret désenchanté. Loin de Bora-Bora, l’action se déroule dans le gris conjugal d’une proprette Amérique, envers de la rutilante page de magazine des années 1950. Dinah voudrait bien être heureuse avec Sam, mais les rêves exotiques de l’écran argenté sont tout de même plus sexy que sa cuisine équipée…

    Plus de cinquante ans plus tard, à Paris, voici qu’une voix lui répond : "un jeune fondu de mangas, loser social prisonnier du monde virtuel, rencontre et secourt la femme idéale dans un train de banlieue. Réfugié derrière son écran d’ordinateur, et avec l'assistance en ligne d'une communauté d'internautes, il va entreprendre la conquête de la belle et sa propre métamorphose." C’est Manga-Café, une création composée en miroir par Pascal Zavaro, d’après un fait divers japonais.

    Deux opéras en un acte liés avec fluidité par un même dispositif, et qui recèleront, peut-être, un happy end… Suspens que laisse entier la metteure en scène Catherine Dune : “Le couple du XXIe siècle va-t-il faire aboutir la quête de bonheur commencée cinquante ans plus tôt par Sam et Dinah ?”



    production : Musiques au Pays de Pierre Loti / ArtemOise I coproduction : Théâtre Impérial de Compiègne I avec le soutien de l'ADAMI, du Fonds de création lyrique, de la DRAC Hauts-de-France, de la Spedidam, de la mairie de Paris, du Crédit Agricole Brie Picardie, de la Caisse des dépôts, de Maguelone, des éditions Billaudot, des éditions Durand-Salabert-Eschig I coréalisation : Théâtre de la Coupe d’Or à Rochefort, Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 8 juin 18 au 14 juin 18





  • queen mary


    opéra imaginaire d'après Henry Purcell
    direction musicale Frédérique Chauvet
    texte et mise en scène Sybrand van der Werf
    avec l' Ensemble BarokOpera
    avec Marijje van Stralen, Oscar Verhaar, Mattijs Hoogendijk, Pieter Hendriks
    costumes Studio RUIM
    scénographie Koen Boesman

    Tout, ce n’est parfois pas assez : après s'être lancés dans l’intégrale des œuvres de Henry Purcell, Frédérique Chauvet et le BarokOpera Amsterdam font mieux encore : ils inventent un opéra supplémentaire de leur compositeur préféré. “Saga historique, musicale et drolatique”, leur Queen Mary suit la trame des œuvres de la maturité de Purcell, passant du récit épique ou humoristique (en français) au chant, pour raconter une histoire musicale et lyrique de la cour d’Angleterre. “Purcell, courtisan génial, a su sublimer les commandes qui lui étaient imposées. Il transcende son sujet tout comme les formes traditionnelles dont il est l’héritier pour inventer de nouveaux genres musicaux.”



    coproduction : ARMA BarokOpera I partenaires : Fonds Podiumkunsten Pays-Bas, Ville de Dinard, Région Bretagne, Conseil Départemental 35 I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 10 oct. 18 au 13 oct. 18

  • apocalypse de jean


    musique de Pierre Henry
    avec Nicolas Vérin

    Pierre Henry est parti, sa modernité reste. On pourra le vérifier avec l’Apocalypse de Jean,son œuvre fétiche, la plus souvent donnée en concert, qu’on peut entendre comme un manifeste, une ‘défense et illustration’ des pouvoirs de la musique concrète”. Ne l’oublions pas, l’Apocalypse est avant tout une révélation, et celle de Pierre Henry, créée en 1968, annonçait les orages électriques à venir. Il aura fallu dix ans d’élaboration, une moisson de “sons spontanés obtenus directement sur la console de mixage par diverses manipulations – moyen détourné de créer des sons électriques sans passer par les gros synthétiseurs de l’époque” pour donner naissance à cet étendard d’une musique différente, que les décennies allaient consacrer, mais qui demeure magnifiquement rebelle. Un Oratorio électronique en cinq temps, à retrouver dans les trois ors de l’Athénée, porté aux sommets par son orchestre de haut-parleurs conduit par Nicolas Vérin, pour un concert électrique, mystique et magnétique.



    production : studio de création musicale Son/Ré I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet I avec le soutien de la SACEM

    15 oct. 18

  • léger au front


    texte d'après la correspondance de guerre (1914-1917) de Fernand Léger
    sur une idée de Patrice Alexandre
    co-mise en scène et adaptation des lettres Jacques Gamblin
    musique David Chaillou
    avec le comédien Olivier Balazuc
    le sculpteur Patrice Alexandre

    Tentons de résumer : parti au front de la Première Guerre mondiale, un peintre se fait écrivain, comme nous le fait entendre un acteur devenu lecteur, accompagné par trois musiciens, et bientôt métamorphosé en statue de boue, suivant le projet spectaculaire imaginé par un sculpteur et un metteur en scène.

    Disons-le peut-être autrement : dans une performance polymorphe, le sculpteur Patrice Alexandre, le compositeur David Chaillou et Jacques Gamblin metteur en scène font entendre les lettres, désespérées et combatives tout ensemble, écrites par Fernand Léger du fond des tranchées de l’Argonne. “Quand on met de la terre sur un être, on ne l’habille pas, peut-être qu’on le dénude”, expliquent les auteurs, attachés à présenter “la transformation sous nos yeux d’un homme libre et vivant en un être peu à peu englouti par la terre, une statue de boue, un monument aux morts.”



    production et diffusion : Claire de Castellane/Castel Production I avec le concours de Imerys à Pargny-sur-Saulx I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    spectacle créé à La Comète - Scène Nationale de Châlons en Champagne le 3 octobre 2008

    spectacle labellisé par la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale
    21 oct. 18

  • ivanov


    texte Anton Tchekhov
    mise en scène Christian Benedetti
    traduction Brigitte Barilley, Christian Benedetti, Laurent Huon
    scénographie Christian Benedetti, Emma Depoid
    assistants à la mise en scène Élodie Chamauret, Alex Mesnil
    avec Vincent Ozanon, Laure Wolf, Philippe Lebas, Philippe Crubézy, Brigitte Barilley, Alix Riemer, Yuriy Zavalnyouk, Lise Quet, Nicolas Buchoux, Christian Benedetti, Antoine Amblard, Martine Vandeville, Alex Mesnil
    costumes Hélène Kritikos
    avec la participation musicale de Élisa Huteau, Michel Rabaud

    Jouer tout Tchekhov… Peut-être est-ce moins titanesque comme entreprise que de jouer tout Shakespeare, mais c’est tout de même considérable. D’autant que, nul ne l’ignore, il y a tout dans Tchekhov – joies, peines, grandeurs, mesquineries, amours et regrets éternels –, alors imaginez : dans tout Tchekhov… 

    Pour l’avant-dernière étape de ce compagnonnage initié en 2011, Christian Benedetti se confronte à la “première pièce” du répertoire, peut-être la plus méconnue : Ivanov, œuvre d’un Tchekhov de 27 ans. Grâce à une nouvelle traduction est remise à jour la construction première du texte, inquiète, tendue, haletante : “chacun des quatre actes s’achève sur une surprise ou sur un choc. Leur violence va croissant à mesure qu’avance le drame”. Pour le reste, Christian Benedetti conserve le principe qui a fait le succès de ses précédents spectacles : un tempo de jeu rapide, pour un texte servi à l’os. “Ivanov est et sera ce que chacun veut qu’il soit, écrit-il. Il est comme une toile sur laquelle chacun projette ses rêves ou ses fantasmes. Un portrait en forme d’énigme : mélancolie, spleen, déprime, cafard, bourdon, tristesse, angoisse … Et s’il ne s’agissait que du chagrin ?”



    production : Théâtre Studio – Cie Christian Benedetti I coproduction : Espace Marcel Carné – Saint-Michel-sur-Orge, Athénée Théâtre Louis-Jouvet, ! Poc, Pôle culturel d’Alfortville I avec le soutien de l’ADAMI, du Jeune Théâtre National, de l’Ensatt, et du Fonds d’insertion pour jeunes comédiens de l’ESAD – PSPBB
    du 7 nov. 18 au 1er déc. 18

  • antigone


    d'après Sophocle
    adaptation et mise en scène Lucie Berelowitsch
    musique et collaboration artistique Sylvain Jacques
    scénographie Jean-Baptiste Bellon
    costumes Magali Murbach
    lumière François Fauvel
    composition musicale les Dakh Daughters, Vlad Troitskyi
    traduction ukrainienne et russe Dmytro Tchystiak et Nataliia Zozul
    traduction française Lucie Berelowitsch
    assistant de mise en scène Julien Colardelle
    avec Chrystyna Fedorak, Thibault Lacroix, Roman Yasinovskiy, Diana Rudychenko, Anatolii Marempolsky, Nikita Skomorokhov, Igor Gnezdilvov, Alexei Nujni
    les Dakh Daughters Natalka Halanevych, Tetyana Hawrylyuk, Solomiia Melnyk, Anna Nikitina, Nataliia Zozul)

    Le mythe nous renseigne toujours sur notre actualité – c’est bien à cela qu’on le reconnaît. Suivant ce principe, la metteure en scène Lucie Berelowitsch s’empare du texte de Sophocle et le revisite, avec ses acteurs, à la lumière des préoccupations d’un nouveau siècle, de ses conflits, des ses familles, de ses impossibles sépultures. Lucie Berelowitsch avait déjà offert une mémorable Lucrèce Borgia. Elle se confronte cette fois à une autre forte femme, prise entre les forces conflictuelles du devoir, des passions et du pouvoir. C’est en Ukraine qu’elle a rencontré les Dakh Daughters, un groupe cabaret-punk formé par des musiciennes et comédiennes. Elles seront le chœur ardent d’un spectacle joué en français, en russe et en ukrainien, où se traduit “un climat de sociétés hésitantes, perdues entre un modèle qui a fait son temps et un monde en devenir encore à inventer”. Soit une Antigone devenue une figure multiple et internationale, pour mieux incarner “le thème de la révolte autant que ceux de la justice, de la légitimité et du compromis.”

     Spectacle surtitré en Français



    production : Les 3 sentiers I coproduction : La Comédie de Caen – Centre dramatique national de Normandie, Théâtre de l’Union – Centre dramatique national du Limousin, Le Trident – Scène nationale de Cherbourg–Octeville, Théâtre Paul Éluard de Choisy-le-Roi –Scène conventionnée pour la diversité linguistique, le Dakh Théâtre et Diya (Ukraine) I avec le soutien de la Drac Normandie, la région Normandie, du Conseil départemental de la Manche et du Conseil départemental du Val-de-Marne, de l’ODIA Normandie, de l’Onda, de l’Institut français et de l’Ambassade de France d’Ukraine, de l’Institut français d’Ukraine et de la Spedidam, l'Adami et la ville de Cherbourg-Octeville.

    du 6 déc. 18 au 13 déc. 18


  • les lundis musicaux


    soprano Julie Fuchs
    piano Alphonse Cemin

    Lieder et mélodies, instants rares et précieux : Alphonse Cemin a relevé haut la main (et parfois haut des deux, au piano) le défi de faire revivre la tradition des Lundis musicaux. Cette saison, on y verra passer la solaire Julie Fuchs, et d’autres valeurs rayonnantes ou montantes de la scène lyrique, exfiltrées des hauts plateaux d’opéra pour rejoindre en toute intimité notre chaleureux Athénée.

    Programme

    Barbara : Une petite cantate

    Claude Debussy : 

    Ariettes oubliées (Paul Verlaine)

     - C’est l’extase langoureuse 

     - Il pleure dans mon cœur

     - L’ombre des arbres

     - Paysages belges : Chevaux de bois

     - Aquarelles 1 : Green

     - Aquarelles 2 : Spleen

    Regrets (Paul Bourget)

    La Romance d’Ariel (Paul Bourget)

    Apparition (Stéphane Mallarmé)

    Francis Poulenc

    Trois poèmes de Louise de Vilmorin

    Le garçon de Liège

    - Au-delà

    - Aux officiers de la garde blanche 

    Björk: The sun in my mouth (E.E. Cummings)

    George Crumb

    Apparition (Elegiac songs and vocalise for soprano and amplified piano) (Walt Whitman)

    - I. The night in silence under many a star

    - Vocalise 1: Summer sounds 

    - II. When Lilacs last in the dooryard bloom’d 

    - III. Dark mother always gliding near with soft feet 

    - Vocalise 2: Invocation

    - IV. Approach strong deliveress!

    - Vocalise 3: Death Carol (« Song of the Nightbird »)

    - V. Come lovely and soothing death

    - VI. The night in silence under many a star

    Cole Porter

    Use your imagination

    Sing to me guitar



    une saison en partenariat avec France Musique
    21 janv. 19

  • amadigi


    opéra en 3 actes d' Haendel
    direction musicale Jérôme Correas
    mise en scène Bernard Levy
    avec Les Paladins, Amel Brahim-Djelloul, Aurélia Legay
    avec Sophie Pondjiclis (en remplacement de Rodrigo Ferreira)
    avec Séraphine Cotrez
    scénographie Bernard Levy
    lumière Christian Pinaud
    costumes Nathalie Prats
    vidéo Patrick Garbit
    textes vidéo Romain Vuillet

    Hélas, contrairement à ce que l’on prétend, les amoureux ne sont pas seuls au monde. Si Amadigi et Oriana n’étaient pas si désirables, peut-être pourraient-ils s’aimer à loisir. Mais, malheur à eux, ils vont déchaîner les ardeurs d’un puissant prince et d’une sublime sorcière… Vengeances, complots, combats singuliers, ténébreux esprits et “fontaine de l’amour véritable”, l’opéra de Haendel déchaîne les forces les plus passionnelles, et fait jaillir les plus déchirantes incantations. “Le grand nombre de situations fortes, voire extrêmes, contenues dans cet opéra élimine les instants décoratifs au profit d’une tension constante”, indique le directeur musical Jérôme Correas. Expert éclairé des œuvres lyriques des XVIIe et XVIIIe siècle, le chef des Paladins rencontre pour la première fois le metteur en scène Bernard Levy, bien connu des spectateurs de l’Athénée. Après avoir touché aux splendeurs du baroque dans Didon et Énée, ce dernier trouve ici l’occasion de “réinterpréter les codes de l’opéra de magie pour les mettre au service d’une esthétique contemporaine très épurée, sans perdre la féérie propre à cette histoire.” Une histoire d’amour, qui est aussi un opéra de la jalousie, tra­versé par la souffrance que ressentent les bourreaux, tout comme leurs victimes.”



    production déléguée : Les Paladins I coproduction : Théâtre-Sénart - Scène Nationale, Opéra de Massy, CDBM Le Perreux, Arcadi Île-de-France, Compagnie Lire aux éclats I avec le soutien du Conseil régional d’Île-de-France, de l’Arcadi Île-de-France, de l’ADAMI dans le cadre du dispositif 365, de la SPEDIDAM et de la Fondation Singer-Polignac I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    du 25 janv. 19 au 30 janv. 19


  • les lundis musicaux


    soprano Raquel Camarinha
    piano Yoan Héreau

    Dans un concert entièrement consacré à la mélodie française, Raquel Camarinha et Yoan Héreau vous font découvrir le programme de leur disque Rencontre, fraîchement paru sous le label Naïve.

    Ils se parent de Ravel et Klingsor, Delage et Heine, Debussy et Baudelaire, Poulenc et Cocteau, pour vous raconter des histoires de mille et une nuits, d'extase et de splendeur décadente.

    Au programme de ce lundi,

    Maurice Ravel, Shéhérazade

    1. Asie
    2. La Flûte enchantée
    3. L'Indifférent

    Maurice Delage, Quatre Poèmes Hindous

    1. Madras. "Une belle..."
    2. Lahore. "Un sapin isolé..."
    3. Bénarès. Naissance de Bouddha"
    4. Jeypur. "Si vous pensez..."

    Claude Debussy, Cinq poèmes de Baudelaire

    1. Le Balcon
    2. Harmonie du soir
    3. Le Jet d'eau
    4. Recueillement
    5. La mort des amants

    Francis Poulenc, Montparnasse et Hyde Park

    Francis Poulenc, La Dame de Monte Carlo



    production Le Balcon
    une saison en partenariat avec France Musique
    11 févr. 19

  • vous qui savez ce qu'est l'amour


    d'après Le Nozze di Figaro de Mozart
    écriture, chant et jeu Romie Estèves
    mise en scène Benjamin Prins
    guitare Jérémy Peret
    Compagnie La Marginaire
    spectacle chanté et joué en italien et français
    collaboration artistique Julien Marot
    arrangements Jérémy Peret
    conseiller musical Nicolas Krüger
    vidéo Lola Bastard
    scénographie Amber Vandenhoeck
    création sonore Baptiste Chouquet
    création lumière Eric Blosse
    régie lumière Steeve Dechelote

    Voici une entreprise singulière : faire vivre en 1h40 la folle journée des Noces de Figaro, avec un guitariste pour seul orchestre. Dinguerie ? Et comment ! Et tant mieux ! En parlant, en chantant, en dansant, en jouant tous les personnages plus celui d’une chanteuse dans les coulisses d’un opéra, Romie Estèves compose son propre “schizopéra”, personnel, puissant, poétique, tandis que Jérémy Peret passe de la guitare classique à la guitare électrique, sans trahir l’écriture originale, y intégrant son esthétique, avec des emprunts aux musiques actuelles, pour créer une partition presque parallèle, faite d’errances et de variations sur les grands thèmes mozartiens.” Un one-woman opéra, où “les convenances, les maniérismes culturels, les travers du show business” sont passés à la question, où Mozart et Beaumarchais s’électrisent, et où il est encore temps de parler d’amour.



    production : Compagnie La Marginaire I coproduction : Opéra de Limoges, Théâtre Ducourneau Agen, O.A.R.A. (Office Artistique Région Nouvelle-Aquitaine) I avec le soutien de la Caisse des Dépôts et Consignations, de l’O.A.R.A, de la SPEDIDAM et le département de la Gironde I coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    du 15 févr. 19 au 23 févr. 19

  • les lundis musicaux


    baryton Stéphane Degout
    piano Alain Planès
    production Le Balcon

    Au programme de ce lundi

    Claude Debussy

    Trois poèmes de Paul Verlaine (1890)

    (La mer est plus belle ; le son du cor ; l’échelonnement des haies.)

    Fêtes Galantes II (1893-1904, Paul Verlaine)

    Trois poèmes de Stéphane Mallarmé (1913)

    Gabriel Fauré

    Les berceaux (op. 23, 1882, René François Sully-Prudhomme)

    Au bord de l’eau (op. 8 1871, René François Sully-Prudhomme)

    Clair de Lune (op.46 1887, Paul Verlaine)

    Mandoline (extraits des Mélodies de Venise, op 58, 1891, Paul Verlaine)

    Danseuse (extraits de Mirages, op. 113, 1919, René de Brimont)

    Après un rêve (op.7 1878, Romain Bussine)

    Claude Debussy

    Chansons de France (1904, Charles d’Orléans)

    Le Promenoir des deux amants (1910, Tristan L’Hermite)

    Emmanuel Chabrier

    L’île heureuse (1890, Ephraïm Mikhaël)

    Chanson pour Jeanne (1886, Catulle Mendès)

    Henri Duparc

    La Vie antérieure (1884, Charles Baudelaire)

    Sérénade (1869, Gabriel Marc)

    Chanson triste (1869, Jean Lahor)

    Elégie (1874, Thomas Moore)

    Lamento (1883, Théophile Gaultier)

    Le Galop (1869, Théophile Gautier)

     
    Et puisqu’une bonne nouvelle n’arrive jamais seule nous pourrons (ré)écouter Stéphane Degout et Simon Lepper dans le prochain disque « Poèmes d’un jour » dont la sortie est prévue le 8 mars chez B Records – dans la collection Athénée Live !
     
     


    production Le Balcon
    une saison en partenariat avec France Musique
    25 févr. 19

  • anaïs nin, une de ses vies


    écrit et mis en scène par Wendy Beckett
    assistée de Diana Iliescu Vibert
    traduction Park Krausen & Christof Veillon
    avec Célia Catalifo, Laurent d'Olce, Mathilde Libbrecht , Laurent Maurel
    scénographie et conception graphique Halcyon Pratt
    création costumes Sylvie Skinazi
    création lumières François Leneveu
    création sonore Thomas Ray
    création projections et création sonore adjoint Sébastien Angel
    sculptures papier Li Hongbo
    production Claire Merviel Production en accord avec Pascal Productions

    "Anaïs Nin - Une de ses vie" se déroule dans le Paris des années 1930. À cette époque, de nombreux artistes étrangers convergent vers la capitale française pour échapper au carcan de la morale trop restrictive de leur propre pays. Comme les témoins de son histoire, nous assistons à l'évolution de l'auteure Anaïs Nin. Nous suivons le cheminement complexe de son développement, les difficultés inhérentes à sa volonté d'aller au bout de ses ambitions littéraires. Son écriture extrêmement personnelle captive tout autant ses lecteurs qu'elle intimide ses éditeurs.

    Dans cette pièce (basée sur l'histoire vraie), Anaïs Nin et Henry Miller se rencontrent et tombent passionnément amoureux. Cependant, la frontière entre l'amour et l'art se révèle être difficile à définir. Bientôt, une relation parallèle se noue entre Anaïs et June, la femme d'Henry Miller.

    Alors qu'Anaïs travaille avec son thérapeute pour tenter de comprendre les rouages de ce trio amoureux qui mêle le sexe et l'amour à l'art, son père, jusque-là absent de sa vie, apparaît soudain, troublant davantage encore des frontières mal définies.
    Il est alors impossible pour quiconque de savoir qui est amoureux de qui...

    Anaïs
    Vous n'aimez pas le familier.

    Henry
    Vos yeux ont l’air de s’attendre à des miracles. Je veux votre honnêteté. Je veux voir vos yeux dans l’amour. J’exigerai tout de vous.

    Anaïs
    Vous ne l’obtiendrez pas.

    ... si tant est que quelqu'un soit réellement amoureux. Anaïs et Henry commencent à se demander si au dépend de l'amour, le travail ne serait pas celui qui in fine triomphe toujours, envers et contre tous.

    du 13 mars 19 au 30 mars 19




  • soirée mystique


    direction musicale Maxime Pascal
    réalisation en informatique musicale Augustin Muller
    projection du son Florent Derex
    en partenariat avec France Musique
    orchestre
    flûte Julie Brunet-Jailly
    hautbois Ye Chang Jung
    clarinettes Iris Zerdoud et Joséphine Besançon
    clarinette basse Ghislain Roffat
    basson Vivian Angelloz
    cors Joël Lasry et Alexandre Fauroux
    trombone Mathieu Adam
    trompette Henri Deléger
    percussions Benoit Maurin
    harpe Clara Izambert
    piano Alain Muller
    violons Eun-Joo Lee, Valentin Broucke et Marie Salvat
    alto Aurélie Deschamps
    violoncelle Askar Ishangaliyev
    contrebasse Chloé Paté

    La Soirée mystique est l’occasion unique d’établir un dialogue entre trois siècles : le XIXe, le XXe et le XXIe. Wagner sera suivi par Jonathan Harvey, dont Bhakti (1982) est l’un des chefs-d’œuvre. La troisième œuvre de cette soirée, l’énigmatique Agneau Mystique INNUBA, premier extrait de l’opéra déambulatoire Revelo, qui sera achevé en 2020, l’on ne sait encore pratiquement rien.

    Richard Wagner (1813-1883)
    Idylle de Siegfried,
    poème symphonique, WWV103 (1870)


    Jonathan Harvey (1939-2012)

    Bhakti, pour ensemble de quinze instrumentistes et bande quadraphonique (1982).

    Marco Suarez-Cifuentes (1974)
    L’Agneau Mystique INNUBA, premier extrait de Revelo (2020)
    Création mondiale.
    Iris Zerdoud, cor de basset.
    Clovis Montes de Oca, trompette.

    Avec les voix des enfants de l’atelier théâtre Lilas en Scène. Préparation : Marion Suzanne.

    L’Agneau Mystique est développé en collaboration avec Benjamin Matuszewski et Jean-Philippe Lambert, recherche et développement, équipe ISMM (Interaction son musique mouvement) Ircam-STMS, dans le cadre de la résidence en recherche artistique de Marco Suarez-Cifuentes à l’Ircam « Composer les espaces et la perception / REVELO ».



    production : Le Balcon I coréalisation : Athénée Théâtre Louis Jouvet
    avec le soutien de la Caisse des dépôts et des consignations, d'Areitec et l’aide du programme CERNI du ministère de la Culture et de la Communication, de la Fondation Fiminco et de la Fondation Singer-Polignac
    Avec la participation de l'Institut de recherche et de coordination acoustique/musique (IRCAM)

    le festival est en partenariat avec 

    France Musique

    Amadeus




    23 mars 19


  • le grand gala des 10 ans du Balcon


    direction musicale Maxime Pascal
    transmission de l'improvisation Frédéric Blondy
    avec Les élèves du Conservatoire du XVIIIe arrondissement de Paris, la classe de Rafaelle Rinaudo
    en partenariat avec France Musique

    Gérard Grisey (1946-1998)
    Manifestation (1976), pour orchestre de débutants.


    Frédéric Blondy
    Un Trait de lumière incandescent
     
    Terry Riley (1935)
    In C (1964)

    Le Balcon a 10 ans et veut souffler ses bougies de la plus belle manière possible, avec vous.
    Clôture du festival avec tout d'abord l'œuvre de Gérard Grisey, Manifestations, pour petit orchestre de débutants et aux sous-titres évocateurs (« …pour échapper à la télévision« , « …pour trouver une aire de jeu« ).
    La deuxième partie de soirée est consacrée au fameux IN C de Terry Riley, interprété par de nombreux musiciens du Balcon ayant marqué son histoire, au cours des dix dernières années.

    Une soirée dont on ne sait pas encore comment, ni à quelle heure elle se terminera.
    Le balcon ayant envoyé une grande invitation à tous les musiciens ayant un jour joué avec l'ensemble, à venir les rejoindre sur la scène de l'Athénée pour une célébration collective.


    Plus d'informations sur le site internet du Balcon.
     
    ***
    Composée en 1964, In C est l’une des œuvres pionnières du minimalisme en musique. La partition tient sur une seule page, constituée de cinquante-trois phrases ou thèmes que les musiciens répètent le nombre de fois qu’ils veulent, en veillant à ne pas trop se décaler les uns par rapport aux autres. L’avancée du morceau est très naturelle, puisqu’elle se met en place à partir du ressenti de chacun et avec la seule contrainte d’avoir une certaine unité et alchimie avec le groupe.


    production : Le Balcon I coréalisation : Athénée Théâtre Louis Jouvet
    Pour la première édition de son festival, Le Balcon est soutenu par le programme Cerni du Ministère de la Culture, la Caisse des Dépôts, la Fondation Fiminco, la Fondation Singer-Polignac, la Sacem, Areitec, Sonic Emotion. 

    le festival est en partenariat avec 

    France Musique

    Amadeus



    Remerciements à Antonin Rey et Claire Marchal

    30 mars 19

  • into the little hill


    musique George Benjamin
    livret Martin Crimp
    direction musicale Alphonse Cemin
    mise en scène Jacques Osinski
    avec l' Ensemble Carabanchel
    spectacle surtitré en français
    avec Camille Merckx, Élise Chauvin
    vidéo et scénographie Yann Chapotel
    lumière Catherine Verheyde
    costumes Hélène Kritikos

    À l’ombre de la petite colline, la foule hurle sa haine des rats. Pour lui complaire et être réélu, un ministre conclut un pacte avec un inconnu étrange : s’il extermine les rats, il recevra beaucoup d’argent, le ministre le jure sur la tête de sa fille endormie. Mais de quel droit peut-on tuer les rats ? Et croit-il vraiment, le ministre, qu’il peut manquer à sa parole sans entraîner les pires conséquences ?

    “Dans Into the little Hill, comme dans tous les contes, tout est à la fois magnifique et effrayant”, écrit le metteur en scène Jacques Osinski. Magnifique, puisque cette subtile et sombre variation sur le Joueur de flûte de Hamelin fait se rencontrer la prose poétique de Martin Crimp, déroulant “des rubans de magnésium et des torrents de métal en fusion”, et la musique précise et emportée de George Benjamin. Effrayant, puisque l’œuvre renvoie, avec une élégante vigueur, à “nos peurs les plus vraies : la peur d’un monde sans valeurs, la peur de perdre notre humanité.” Un opéra hors du temps et contemporain, porté par le remuant Ensemble Carabanchel, qui s’affiche “spontané et perfectionniste”, au service d’“une contre-culture populaire d’avant-garde”.

    Into the little hill sera précédé de Flight pour flûte seule de Georges Benjamin, à la flûte : Claire Luquiens

     



    production : Compagnie L’Aurore boréale 
    coproduction : Opéra de Lille
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Avec le soutien du Fonds de création Lyrique (Sacd), de l'Arcadi, de l'Adami, de la Spédidam et de la ville de Paris
    La compagnie l'Aurore Boréale reçoit le soutien du Ministère de la Culture (DGCA) .

    Pendant son séjour à Paris, Sir George Benjamin est accueilli à l’Hôtel Scribe.

    du 11 avr. 19 au 20 avr. 19







  • Maldoror


    d’après Les Chants de Maldoror du comte de Lautréamont
    mise en scène et interprétation Benjamin Lazar
    création sonore et musicale Pedro Garcia-Velasquez et Augustin Muller
    avec Benjamin Lazar
    scénographie Adeline Caron et John Carroll
    costumes Adeline Caron
    lumières John Carrol
    images Joseph Paris
    collaboration artistique Jessica Dalle

    Mystérieuse, indomptée, brûlante et multiple : l’œuvre du Comte de Lautréamont fut d’abord la révolte d’un jeune homme assis à son piano dans une chambre d’hôtel parisienne au mitan du XIXe siècle. Partant de cette image initiale, Benjamin Lazar s’embarque, en mots et en musique, “à la rencontre du personnage de Maldoror et du monde qu’il habite”, pour réenchanter les célèbres Chants de Maldoror.

    production : Théâtre de l’Incrédule
    coproduction et coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de la Spedidam

    La partie instrumentale de la création sonore et musicale de Pedro Garcia-Velasquez est interprétée par Claire Luquiens (flûte), Adreï Malakhov (alto), Vladimir Percevic (alto), Askar Ishangaliyev (violoncelle) et dirigée par Pedro Garcia-Velasquez.
    Elle a été enregistrée à la Fondation Singer-Polignac.
    du 2 oct. 19 au 19 oct. 19

  • La Dernière Bande


    texte Samuel Beckett
    mise en scène Jacques Osinski
    avec Denis Lavant
    scénographie Christophe Ouvrard
    lumières Catherine Verheyde
    son Anthony Capelli
    costumes Hélène Kritikos
    dramaturgie Marie Potonet

    Beckett encore ! Après avoir essuyé ensemble les tempêtes de Cap au pire, Jacques Osinski et Denis Lavant s’attellent à la magnétique Dernière Bande.  À chacun de ses anniversaires, Krapp enregistre ses états et ses actions de l’année écoulée. Pour un soir, son vieil être avachi et son jeune être disparu vont dialoguer par magnétophone interposé…  L’écrin rêvé pour un comédien indomptable, et, pour le metteur en scène, « la pièce de théâtre parfaite ».


    En partenariat avec France Culture, Le Bonbon, Le Figaro, Télérama et Transfuge.


    À l'occasion de l'exposition « Bacon en toutes lettres » au Centre Pompidou et de son interprétation de Krapp dans La Dernière Bande de Beckett au Théâtre de l'Athénée, le comédien Denis Lavant partage son rapport à ces artistes et à son art. Une vidéo à retrouver ci-dessous.

     



    compagnie L’Aurore Boréale | coréalisation : Théâtre des Halles Scène d’Avignon, Athénée Théâtre Louis-Jouvet | soutien : Arcal (accueil en résidence de création)
    du 7 nov. 19 au 30 nov. 19


  • New magic people show


    texte Giuseppe Montesano
    mise en scène et interprétation Enrico Ianniello, Tony Laudadio, Andrea Renzi, Luciano Saltarelli
    spectacle joué en italien, surtitré en français
    costumes et éléments scéniques Ortensia De Francesco, Underworld
    collaboration technique Lello Becchimanzi

    Tous les excès de la société italienne des dernières années, le rêve de l’argent, les folies télévisées, “les guérisseurs de l’économie nationale, vendeurs de plages, vendeurs d’air à respirer, vendeurs et des acheteurs d’âmes” saisis à vif par l’écrivain napolitain Giuseppe Montesano et servis par un quatuor d’acteurs déchaînés. Un spectacle à la fois enjoué et grinçant, pop, féroce et coloré, emporté comme un bolide au rythme vertigineux de la comédie noire.


    Les représentations de New Magic People Show sont maintenues pendant le mouvement de grève. 



    production : Teatri Uniti di Napoli | coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 5 déc. 19 au 14 déc. 19




  • Dame Felicity Lott, Sebastian Wybrew


    soprano Dame Felicity Lott
    piano Sebastian Wybrew

    Dame Felicity Lott revient enchanter les Lundis de l’Athénée pour la cinquième fois, trente ans après son dernier récital dans les murs. Accompagnée de Sebastian Wybrew, elle a préparé un programme de chansons françaises et anglaises qui ont marqué sa merveilleuse carrière !


    Au programme : 

    The Sun Whose Rays Are All Ablaze de The Mikado

    (Gilbert et Sullivan)

    La Flûte enchantée de Shéhérazade (Maurice Ravel)

    Chanson de Vilja de La Veuve joyeuse, (Franz Lehár)

    Rêverie (Reynaldo Hahn)

    Si mes vers avaient des ailes (Reynaldo Hahn)

    Beim Schlafengehen de Vier letzte Lieder, op. 150

    (Richard Strauss)

    Le Roi s'en va-t-en chasse de Folk Songs Volume 2

    (Benjamin Britten)

    Fancie (Benjamin Britten)

    Fancy (Francis Poulenc)

    Parlez-moi d’amour (Jean Lenoir)

    L’amour est un oiseau rebelle de Passionnément

    (André Messager)

    Ça fait peur aux oiseaux op. 108 de Bredouille (Paul Bernard)

    Invocation à Vénus de La Belle Hélène (Jacques Offenbach)

    Tu n’es pas beau de La Périchole (Jacques Offenbach)

    Couplets du souper (« C’était la soir la rue était vermeille »

    de Belle Lurette (Jacques Offenbach)

    Ah ! Quel dîner de La Périchole (Jacques Offenbach)

    Yes ! de Yes ! (Maurice Yvain)

    A Bar On The Piccola Marina (Noel Coward)

    Les Chemins de l’amour de Léocadia (Francis Poulenc)



    direction artistique : Alphonse Cemin
    production : Le Balcon, avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    24 févr. 20


  • Un Espoir


    écriture et mise en scène Wendy Beckett
    traduction Dominique Hollier
    avec Hélène Babu, Christine Gagnepain, Rebecca Williams
    assistante à la mise en scène Diana Iliescu Vibert
    scénographie et conception graphique Halcyon Pratt
    costumes Sylvie Skinazi
    lumières François Leneveu
    musique Felicity Wilcox
    création sonore Mehdi Bourayou
    création projections Pétronille Leroux

    Une pièce sur notre relation la plus sacrée - celle que nous avons avec notre mère. 

    UN ESPOIR met en avant le triangle formé par la mère biologique, la mère adoptive et l’enfant partagé entre ces deux femmes.
    L’expérience de l’adoption est à la fois bénie et maudite mais le résultat est toujours inoubliable.
    De la Seconde Guerre Mondiale jusqu’à la révolution sexuelle, la société imposait que les enfants nés hors mariage soient adoptés. Était-ce vraiment pour le bien de l’enfant ?
    L’adoption est généralement abordée du point de vue de la mère biologique, qui abandonne, ou de la mère adoptive. UN ESPOIR nous emmène dans la psychée de l’enfant.
    Le tiraillement, la perte et la peur conduisent les trois personnages en territoire inconnu.
    Le voyage est mystérieux, choquant, cruel et émotionnellement tendre.



    production : Claire Merviel Production en accord avec Pascal Productions

    du 4 mars 20 au 28 mars 20

  • Le Printemps des Poètes présente
    « L’autre moitié du songe »


    poèmes Alicia Gallienne
    dits par Marina Hands
    et Guillaume Gallienne de la Comédie-Française
    violon Renaud Capuçon
    piano Guillaume Bellom

    Poèmes d’Alicia Gallienne dits par Marina Hands & Guillaume Gallienne, de la Comédie-Française, aux côtés de Renaud Capuçon au violon, et de Guillaume Bellom au piano.

    Une découverte saisissante, comme il en arrive rarement. Une jeune femme, morte à vingt ans la veille de Noël, il y aura trente ans le 24 décembre 2020, dont les poèmes soudain nous parlent au plus vif, et nous bouleversent par leur sens du tragique et leur rude lumière.

    En témoignent ces vers qui ne laissent pas indemne :

    Cela ira
    Je n’ai pas peur du noir
    Et puis il n’y a pas de vautours
    Dans les étoiles

    Et son cousin Guillaume Gallienne, qui s’est voué au théâtre pour elle, de monter sur scène afin de donner pour la première fois en partage ces textes incandescents, à l’occasion du Printemps des Poètes 2020, ayant Le Courage pour emblème.

    À ses côtés, Marina Hands et Renaud Capuçon, accompagné par Guillaume Bellom, afin que les poèmes d’Alicia Gallienne trouvent enfin souffle, voix et résonance.

    8 mars 20

  • Mr. Shi and his lover


    musique Njo Kong Kie
    texte Wong Teng Chi
    spectacle joué en mandarin surtitré en français
    direction musicale Njo Kong Kie
    mise en scène Tam Chi Chun
    avec Jordan Cheng, Tan Chee Shen
    musiciens Yukie Lai, Njo Kong Kie
    lumières Kwok Kee Gabriel Fung

    Cher public,

    Du fait du contexte actuel, la troupe de Mr Shi and his lover ne pourra pas assurer le spectacle du 13 au 21 mars prochain.

    Le spectacle est donc reporté à la saison prochaine.

    Pour celles et ceux qui ont déjà acheté leurs billets, vous avez deux possibilités :

    remboursement du billet

    report de votre billet sur un autre spectacle de la saison (détails du report suivant votre catégorie d'achat à voir avec la billetterie)

    Pour ce faire, si vous avez acheté votre billet auprès du théâtre, vous pouvez :

    contacter la billetterie au 01 53 05 19 19 (de 14h à 18h)

    nous envoyer un mail à caisse@athenee-theatre.com

    nous renvoyer vos billets par voie postale avec votre demande de remboursement ou de report, à l’adresse du théâtre : ATHÉNÉE THÉÂTRE LOUIS-JOUVET – service billetterie – 24 rue de Caumartin – 75009 Paris

    Si vous avez acheté vos billets auprès d’un revendeur (FNAC,Theatreonline), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Les prochaines représentations du Lundi musical du 23 mars et d’I was looking at the ceiling and then I saw the sky sont, elles, bien maintenues.



    Nous vous remercions de votre compréhension.

    production : Music Picnic / Macau Experimental Theatre
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    du 13 mars 20 au 21 mars 20

  • Marie-Laure Garnier, Célia Oneto Bensaid


    soprano Marie-Laure Garnier
    piano Célia Oneto Bensaid

    Grandes voix et grandes émotions, en toute intimité : telle pourrait être la définition des Lundis musicaux. Imaginés par Pierre Bergé en 1977, ils sont désormais placés sous la direction artistique d’Alphonse Cemin et continuent de proposer des récitals exceptionnels et singuliers. Des moments rares consacrés au lied et à la mélodie, où les talents naissants et confirmés de l’art lyrique peuvent donner libre cours à leur bon plaisir.





    Chères spectatrices, chers spectateurs,

    Suite à la décision du gouvernement d'interdire les rassemblements de plus de 100 personnes, le Lundi Musical du 23 mars est annulé.

    Pour vous faire rembourser les billets auprès du théâtre, vous pouvez :

    - contacter la billetterie au 01 53 05 19 19 ( de 14h à 18h )

    - nous envoyer un mail à caisse@athenee-theatre.com

    - nous renvoyer vos billets par voie postale avec votre  demande de remboursement, ou de report, à l’adresse du théâtre : ATHÉNÉE THÉÂTRE LOUIS-JOUVET – service billetterie – 24 rue de Caumartin – 75009 Paris

    Si vous avez acheté vos billets auprès d’un revendeur (FNAC, Théâtreonline), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Nous vous remercions de votre compréhension et vous tiendrons informé.e.s de l’évolution de la situation,

    L’équipe de l’Athénée



    direction artistique : Alphonse Cemin
    production : Le Balcon, avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    23 mars 20

  • I was looking at the ceiling and then I saw the sky


    texte June Jordan
    composition John Adams
    direction musicale Philippe Gérard
    mise en scène Marianne Pousseur, Enrico Bagnoli
    Compagnie Khroma
    avec Maria Belen Fos, Carole Moneuse, Natalie Oswald, Sonia Shéridan Jaquelin, Marie Juliette Ghazarian, Lionel Couchard, Paweł Janota, Marc Fournier
    clarinette Anna Ferrandis
    saxophone Brayan Shimizu
    guitare Camille Molinos
    guitare basse Sébastien Clerc
    piano 1 Caterina Roberti
    piano 2 Arthur Possing
    piano 3 Xavier Roesch
    percussions Germain Dauwe
    chef de chant Thierry Fiévet
    scénographie lumières et costumes Marianne Pousseur, Enrico Bagnoli

    À travers les tribulations des victimes d’un tremblement de terre à Los Angeles, voici un objet sonore et dramatique d’un genre nouveau, s’inspirant de l’opéra classique autant que des comédies musicales de Broadway. Interprété par des étudiants du Conservatoire de Bruxelles sous la direction de la compagnie Khroma, le spectacle fait l’apologie des métissages, entre les musiques et les esthétiques, entre le réalisme documentaire et les magies du spectacle.




    Chères spectatrices, chers spectateurs,

    Suite à la décision du gouvernement d'interdire les rassemblements de plus de 100 personnes les représentations d'I was looking at the ceiling and then I saw the sky sont annulées.

    Pour vous faire rembourser les billets auprès du théâtre, vous pouvez :

    - contacter la billetterie au 01 53 05 19 19 ( de 14h à 18h )

    - nous envoyer un mail à caisse@athenee-theatre.com

    - nous renvoyer vos billets par voie postale avec votre  demande de remboursement, ou de report, à l’adresse du théâtre : ATHÉNÉE THÉÂTRE LOUIS-JOUVET – service billetterie – 24 rue de Caumartin – 75009 Paris

    Si vous avez acheté vos billets auprès d’un revendeur (FNAC, Théâtreonline), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Nous vous remercions de votre compréhension et vous tiendrons informé.e.s de l’évolution de la situation,

    L’équipe de l’Athénée



    production : Conservatoire Royal de Bruxelles, Compagnie Khroma
    coproduction : le Théâtre National de Bruxelles, l’Opéra Royal de Wallonie et ASBL Talent chemin des arts.
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles, de Wallonie Bruxelles International, de la Loterie Nationale et de la Commission Communautaire française.
    du 27 mars 20 au 2 avr. 20

  • Sabine Devieilhe, Mathieu Pordoy


    soprano Sabine Devieilhe
    piano Mathieu Pordoy

    Grandes voix et grandes émotions, en toute intimité : telle pourrait être la définition des Lundis musicaux. Imaginés par Pierre Bergé en 1977, ils sont désormais placés sous la direction artistique d’Alphonse Cemin et continuent de proposer des récitals exceptionnels et singuliers. Des moments rares consacrés au lied et à la mélodie, où les talents naissants et confirmés de l’art lyrique peuvent donner libre cours à leur bon plaisir.






    Chères spectatrices, chers spectateurs,

    Le lundi musical du 20 avril avec Sabine Devieilhe et Mathieu Pordoy est annulé. 

    Pour vous faire rembourser les billets auprès du théâtre, vous pouvez :

    - contacter la billetterie au 01 53 05 19 19 ( de 14h à 18h )

    - nous envoyer un mail à caisse@athenee-theatre.com

    - nous renvoyer vos billets par voie postale avec votre  demande de remboursement, ou de report, à l’adresse du théâtre : ATHÉNÉE THÉÂTRE LOUIS-JOUVET – service billetterie – 24 rue de Caumartin – 75009 Paris

    Si vous avez acheté vos billets auprès d’un revendeur (FNAC, Théâtreonline), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Nous vous remercions de votre compréhension et vous tiendrons informé.e.s de l’évolution de la situation,

    L’équipe de l’Athénée



    direction artistique : Alphonse Cemin
    production : Le Balcon, avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    20 avr. 20

  • Vous qui savez ce qu'est l'amour


    d'après Le Nozze di Figaro de Mozart et Da Ponte
    écriture, chant et jeu Romie Estèves
    mise en scène Benjamin Prins
    guitares et arrangement Jérémy Peret
    Compagnie La Marginaire
    collaboration artistique Julien Marot
    conseiller musical Nicolas Krüger
    scénographie Amber Vandenhoeck
    vidéo Lola Bastard
    création sonore Baptiste Chouquet
    création lumière Eric Blosse
    régie lumière Steeve Dechelotte

    Pour un carton, ce fut un carton, et, réjouissons-nous : Romie Estèves revient pour le remplir encore, après avoir suscité, la saison passée, un enthousiasme collectif. Empoignant à bras-le-corps Les Noces de Figaro avec un guitariste virtuose pour tout orchestre, elle compose son propre “schizopéra”, où une interprète de dingue est tous les personnages plus celui d’une chanteuse en coulisses, où Mozart et Beaumarchais s’électrisent, et où il est encore temps de parler d’amour.



    Chères spectatrices, chers spectateurs,

    Les représentations du spectacle Vous qui savez ce qu'est l'amour sont annulées. 

    Pour vous faire rembourser les billets auprès du théâtre, vous pouvez :

    - contacter la billetterie au 01 53 05 19 19 ( de 14h à 18h )

    - nous envoyer un mail à caisse@athenee-theatre.com

    - nous renvoyer vos billets par voie postale avec votre  demande de remboursement, ou de report, à l’adresse du théâtre : ATHÉNÉE THÉÂTRE LOUIS-JOUVET – service billetterie – 24 rue de Caumartin – 75009 Paris

    Si vous avez acheté vos billets auprès d’un revendeur (FNAC, Théâtreonline), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Nous vous remercions de votre compréhension et vous tiendrons informé.e.s de l’évolution de la situation,

    L’équipe de l’Athénée



    production : compagnie La Marginaire 
    coproduction : Opéra de Limoges, Office Artistique de la Région Nouvelle-Aquitaine (O.A.R.A.), théâtre Ducourneau Agen
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien du Département de la Gironde et de la Fondation d’Entreprise Philippine de Rothschild
    du 23 avr. 20 au 6 mai 20

  • L'offrande musicale


    de Jean-Sébastien Bach
    création vidéo Pierre Nouvel
    scénographie et mise en scène Damien Caille-Perret
    direction artistique Johannes Pramsohler
    avec l’Ensemble Diderot, Johannes Pramsohler
    violons Roldán Bernabé
    violoncelle Gulrim Choi
    clavecin Philippe Grisvard
    flûte Georges Barthel

    Pourra-t-on jamais percer à jour les secrets de la mythique Offrande musicale de Jean-Sébastien Bach ? Pour se rapprocher du cœur palpitant de l’œuvre, l’Ensemble Diderot a imaginé un dispositif scénographique où la vidéo “devient un sixième instrumentiste, réagissant à la musique jouée, aux gestes des musiciens.” Une façon inédite et sensorielle de voyager dans l’une des plus célèbres partitions du compositeur.



    Les représentations de L'offrande musicale sont annulées.
    Pour le remboursement de vos billets auprès du théâtre, vous pouvez, avant le 15 juin 2020 :

    · nous envoyer un mail à caisse@athenee-theatre.com

    · nous renvoyer vos billets par voie postale avec votre demande de remboursement à l’adresse suivante : ATHÉNÉE THÉÂTRE LOUIS-JOUVET – service billetterie – 24 rue de Caumartin – 75009 Paris

    Si vous avez acheté vos billets auprès d’un revendeur (FNAC, Théâtreonline), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Au-delà du 15 juin 2020, le montant des billets non remboursés sera intégralement reversé aux compagnies. Si vous souhaitez soutenir les artistes et ne pas être remboursé.e.s, vous pouvez le signaler par mail à la billetterie ou encore ne rien faire du tout.

    Les remboursements ne pourront être effectués qu’à partir de la réouverture administrative du théâtre, dont nous ne connaissons pas encore la date, et avant sa fermeture estivale.

    Notre équipe continue à travailler sur la saison prochaine, et nous vous tiendrons bien sûr informé.e.s de son annonce prochaine, ainsi que des modalités d’abonnement. Nous sommes impatient.e.s de vous retrouver.

    Nous vous remercions de votre compréhension et pendant cette période exceptionnelle l'ensemble du personnel de la billetterie reste à votre disposition par mail si vous avez des questions.

    Prenez soin de vous. 

    L'équipe de l'Athénée



    production : Ensemble Diderot | coproduction : Euregio Kulturzentrum Toblach | coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    L’Ensemble Diderot est soutenu par la DRAC Île-de-France. Il est en résidence au Euregio
    Kulturzentrum de Toblach
    La Caisse des Dépôts et consignations est le mécène principal de l’Ensemble Diderot.
    L’Ensemble Diderot bénéficie du soutien de la Fondation Orange et remercie son cercle de mécènes.
    du 13 mai 20 au 17 mai 20

  • La tragédie de Salomé


    , Florent Schmitt
    Ensemble Les Apaches
    direction musicale Julien Masmondet
    collaboration artistique Cyril Teste
    scénographie, lumière et vidéo Patrick Laffont-DeLojo
    chorégraphie et interprétation Léonore Zurflüh
    création mondiale de Fabien Touchard

    S’inspirant d’une célèbre société artistique réunie au début du XXe siècle autour de Ravel, voici une nouvelle tribu musicale. Autour de l’ensemble Les Apaches dirigé par Julien Masmondet, des interprètes et créateurs de toutes plumes prônent ensemble “une nouvelle idée du concert classique avec des rendez-vous originaux et pluriels”. Démonstration avec deux concerts foisonnants, qui réunissent classiques, raretés et créations – l’un consacré au quatuor à cordes et aux voix, l’autre au mythe de Salomé.



    La représentation de l'Ensemble Les Apaches est annulée. 
    Pour le remboursement de vos billets auprès du théâtre, vous pouvez, avant le 15 juin 2020 :

    · nous envoyer un mail à caisse@athenee-theatre.com

    · nous renvoyer vos billets par voie postale avec votre demande de remboursement à l’adresse suivante : ATHÉNÉE THÉÂTRE LOUIS-JOUVET – service billetterie – 24 rue de Caumartin – 75009 Paris

    Si vous avez acheté vos billets auprès d’un revendeur (FNAC, Théâtreonline), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Au-delà du 15 juin 2020, le montant des billets non remboursés sera intégralement reversé aux compagnies. Si vous souhaitez soutenir les artistes et ne pas être remboursé.e.s, vous pouvez le signaler par mail à la billetterie ou encore ne rien faire du tout.

    Les remboursements ne pourront être effectués qu’à partir de la réouverture administrative du théâtre, dont nous ne connaissons pas encore la date, et avant sa fermeture estivale.

    Notre équipe continue à travailler sur la saison prochaine, et nous vous tiendrons bien sûr informé.e.s de son annonce prochaine, ainsi que des modalités d’abonnement. Nous sommes impatient.e.s de vous retrouver.

    Nous vous remercions de votre compréhension et pendant cette période exceptionnelle l'ensemble du personnel de la billetterie reste à votre disposition par mail si vous avez des questions.

    Prenez soin de vous. 

    L'équipe de l'Athénée

    coproduction : Nouvelle Société des Apaches, Festival Musiques au Pays de Pierre Loti - Fondation Royaumont (Mécène stratégique de la Fondation Royaumont, la Fondation Daniel et Nina Carasso, sous l’égide de la Fondation de France, soutient ses projets de création artistique, l’émergence et l’accompagnement de ses artistes ainsi que le renforcement de la coopération entre sciences humaines et pratiques artistiques).
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Ce spectacle reçoit l'aide de la DRAC Nouvelle-Aquitaine au titre de l'aide à la création, de l'ADAMI et de la DAC Ville de Paris.

    L'Ensemble Les Apaches reçoit le soutien de la Spedidam et de la Sacem, la Caisse des Dépôts et Consignations - Mécène principal et la Fondation Orange.
    28 mai 20

  • Cendrillon


    opéra-comique en 3 actes de Nicolas Isouard
    livret de Charles-Guillaume Étienne
    d’après le conte de Charles Perrault
    mise en scène Marc Paquien
    direction musicale Julien Chauvin
    avec Le Concert de la Loge
    Cendrillon Anaïs Constans
    Clorinde Jeanne Crousaud
    Tisbé Louise Pingeot
    Ramir Sahy Ratia
    Alidorì Jérôme Boutillier
    Dandini Christophe Vandevelde
    Montefiascone Jean-Paul Muel
    chef de chant Thomas Tacquet
    assistante à la mise en scène Julie Pouillon
    décors Emmanuel Clolus
    costumes Claire Risterucci
    maquillages et coiffures Nathy Polak
    lumières Dominique Bruguière
    assistant lumières et directeur technique Pierre Gaillardot
    effets spéciaux Abdul Alafrez

    Composée en 1810 par Nicolas Isouard, cette “féerie-opéra en trois actes” renaît aujourd’hui de ses cendres. Car il s’agit bien de Cendrillon, dans une version taillée pour l’opéra-comique du XIXe siècle naissant par un compositeur amoureux de l’Italie. Les deux méchantes sœurs y composent une inoubliable paire de bêcheuses, le prince est conseillé par un mage éclairé, et il finira, c’est promis, par trouver chaussure à son pied.




    Cher public,

    En raison des mesures gouvernementales en vigueur dans le cadre de la lutte contre la propagation du coronavirus, les représentations des spectacles prévues au mois de juin à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet sont annulées. C’est donc le cœur serré que nous vous informons que cette saison 2019-2020 se termine plus tôt que prévu.

    Vos nombreux messages de soutien nous touchent, et nous pensons déjà au mois de septembre et à nos futures retrouvailles pour une nouvelle saison pleine de surprises, que vous pourrez découvrir en juin.

    Pour le remboursement de vos billets auprès du théâtre, vous pouvez, avant le 20 juin 2020 :
    · nous envoyer un mail à caisse@athenee-theatre.com en y joignant votre RIB pour un remboursement par virement
    · nous renvoyer vos billets par voie postale avec votre demande de remboursement à l’adresse suivante : ATHÉNÉE THÉÂTRE LOUIS-JOUVET – service billetterie – 24 rue de Caumartin – 75009 Paris

    Si vous avez acheté vos billets auprès d’un revendeur (FNAC, Théâtreonline), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Au-delà du 20 juin 2020, le montant des billets n’ayant pas fait l’objet d’une demande de remboursement, sera intégralement reversé aux compagnies. Si vous souhaitez soutenir les artistes et ne pas être remboursé.e.s, vous pouvez le signaler par mail à la billetterie ou encore ne rien faire du tout.

    Nous mettons tout en œuvre pour que les remboursements vous parviennent au plus vite.

    Notre équipe continue à travailler sur la saison prochaine, et nous vous tiendrons bien sûr informé.e.s de son annonce en juin, ainsi que des modalités d’abonnement.

    Nous sommes impatient.e.s de vous retrouver.

    Nous vous remercions de votre compréhension et pendant cette période exceptionnelle l'ensemble du personnel de la billetterie reste à votre disposition par mail si vous avez des questions.

    Prenez soin de vous.

    L’équipe de l’Athénée


    production : Bru Zane France | coproduction : Opéra de Saint-Étienne
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Décors et costumes réalisés par les ateliers de l’Opéra de Saint-Étienne
    Edition musicale : Palazzetto Bru Zane dans le cadre du 8e Festival Palazzetto Bru Zane Paris
    du 2 juin 20 au 7 juin 20

  • Bruno Delepelaire, Alphonse Cemin


    violoncelle Bruno Delepaire
    piano Alphonse Cemin

    Grandes voix et grandes émotions, en toute intimité : telle pourrait être la définition des Lundis musicaux. Imaginés par Pierre Bergé en 1977, ils sont désormais placés sous la direction artistique d’Alphonse Cemin et continuent de proposer des récitals exceptionnels et singuliers. Des moments rares consacrés au lied et à la mélodie, où les talents naissants et confirmés de l’art lyrique peuvent donner libre cours à leur bon plaisir.






    Cher public,

    En raison des mesures gouvernementales en vigueur dans le cadre de la lutte contre la propagation du coronavirus, les représentations des spectacles prévues au mois de juin à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet sont annulées. C’est donc le cœur serré que nous vous informons que cette saison 2019-2020 se termine plus tôt que prévu.

    Vos nombreux messages de soutien nous touchent, et nous pensons déjà au mois de septembre et à nos futures retrouvailles pour une nouvelle saison pleine de surprises, que vous pourrez découvrir en juin.

    Pour le remboursement de vos billets auprès du théâtre, vous pouvez, avant le 20 juin 2020 :
    · nous envoyer un mail à caisse@athenee-theatre.com en y joignant votre RIB pour un remboursement par virement
    · nous renvoyer vos billets par voie postale avec votre demande de remboursement à l’adresse suivante : ATHÉNÉE THÉÂTRE LOUIS-JOUVET – service billetterie – 24 rue de Caumartin – 75009 Paris

    Si vous avez acheté vos billets auprès d’un revendeur (FNAC, Théâtreonline), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Au-delà du 20 juin 2020, le montant des billets n’ayant pas fait l’objet d’une demande de remboursement, sera intégralement reversé aux compagnies. Si vous souhaitez soutenir les artistes et ne pas être remboursé.e.s, vous pouvez le signaler par mail à la billetterie ou encore ne rien faire du tout.

    Nous mettons tout en œuvre pour que les remboursements vous parviennent au plus vite.

    Notre équipe continue à travailler sur la saison prochaine, et nous vous tiendrons bien sûr informé.e.s de son annonce en juin, ainsi que des modalités d’abonnement.

    Nous sommes impatient.e.s de vous retrouver.

    Nous vous remercions de votre compréhension et pendant cette période exceptionnelle l'ensemble du personnel de la billetterie reste à votre disposition par mail si vous avez des questions.

    Prenez soin de vous.

    L’équipe de l’Athénée


    direction artistique : Alphonse Cemin
    production : Le Balcon, avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    8 juin 20

  • Mélisande et Pelléas


    d'après Maurice Maeterlinck
    et Claude Debussy
    auteurs Julien Chavaz et Nicholas Stücklin
    compositeur Nicholas Stücklin
    mise en scène Julien Chavaz
    en collaboration avec Nicole Morel
    avec Charlotte Dumatheray, Steven Beard, Vincent Casagrande, Sheva Tehoval, Kiyan Koshoie
    scénographie Anneliese Neudecker
    costumes Severine Besson
    maquillages et perruques Sanne Oostervink
    lumières Eloi Gianini
    directeur technique Alain Menétrey
    dramaturgie Anne Schwaller
    avec

    Certaines figures deviennent emblématiques, d’autres restent toujours évasives : plus on les observe et plus elles disparaissent. Ainsi, qui pourrait dire avec certitude qui est Pelléas, d’où vient Mélisande ? Retournant à la source de la pièce de Maeterlinck, le Neue Oper Fribourg propose une méditation musicale, dramatique et dansée autour de Pelléas et Mélisande…




    Cher public,

    En raison des mesures gouvernementales en vigueur dans le cadre de la lutte contre la propagation du coronavirus, les représentations des spectacles prévues au mois de juin à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet sont annulées. C’est donc le cœur serré que nous vous informons que cette saison 2019-2020 se termine plus tôt que prévu. Bonne nouvelle tour de même : le spectacle Mélisande et Pelléas est reporté à la saison prochaine.

    Vos nombreux messages de soutien nous touchent, et nous pensons déjà au mois de septembre et à nos futures retrouvailles pour une nouvelle saison pleine de surprises, que vous pourrez découvrir en juin.

    Pour le remboursement de vos billets auprès du théâtre, vous pouvez, avant le 20 juin 2020 :
    · nous envoyer un mail à caisse@athenee-theatre.com en y joignant votre RIB pour un remboursement par virement
    · nous renvoyer vos billets par voie postale avec votre demande de remboursement à l’adresse suivante : ATHÉNÉE THÉÂTRE LOUIS-JOUVET – service billetterie – 24 rue de Caumartin – 75009 Paris

    Si vous avez acheté vos billets auprès d’un revendeur (FNAC, Théâtreonline), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Au-delà du 20 juin 2020, le montant des billets n’ayant pas fait l’objet d’une demande de remboursement, sera intégralement reversé aux compagnies. Si vous souhaitez soutenir les artistes et ne pas être remboursé.e.s, vous pouvez le signaler par mail à la billetterie ou encore ne rien faire du tout.

    Nous mettons tout en œuvre pour que les remboursements vous parviennent au plus vite.

    Notre équipe continue à travailler sur la saison prochaine, et nous vous tiendrons bien sûr informé.e.s de son annonce en juin, ainsi que des modalités d’abonnement.

    Nous sommes impatient.e.s de vous retrouver.

    Nous vous remercions de votre compréhension et pendant cette période exceptionnelle l'ensemble du personnel de la billetterie reste à votre disposition par mail si vous avez des questions.

    Prenez soin de vous.

    L’équipe de l’Athénée


    production : NOF – Nouvel Opéra Fribourg – Neue Oper Freiburg
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de l’État de Fribourg, l’Agglomération de Fribourg, la Loterie Romande, Fribourg.
    du 12 juin 20 au 24 juin 20

  • Crésus


    texte Lukas von Bostel
    musique Reinhard Keiser
    direction musicale Johannes Pramsohler
    mise en scène Benoît Bénichou
    avec l’Ensemble Diderot
    mouvement Anne Lopez
    scénographie Amélie Kiritzé Topor
    costumes Bruno Fatalot
    lumières Mathieu Cabanes
    coiffure, maquillage Véronique Soulier Nguyen
    assistant chef d'orchestre Benoît Babel
    chef de chant Philippe Grisvard
    édition originale de la partition pour la production Brian Clark
    d'après le manuscrit de la Bibliothèque Jagellonne de Cracovie (Pologne)
    Crésus, roi de Lydie Ramiro Maturana
    Cyrus, roi de Perse Andriy Gnatiuk
    Atys, fils de Crésus Inès Berlet
    Elmira sa bien-aimée Yun Jung Choi
    Orsanes, prince lydien Wolfgang Resch
    Eliates, prince lydien Jorge Navarro Colorado
    Clerida, princesse lydienne Marion Grange
    Solon / Halimacus, philosophe grec Benoît Rameau
    Elcius, serviteur Charlie Guillemin

    Élève des mêmes maîtres que Bach, contemporain de Telemann, Reinhard Keiser enchantera les publics de son époque… avant de tomber dans un bien injuste oubli. C’est donc à une redécouverte qu’invite ce spectacle mis en scène par Benoît Bénichou sous la direction musicale de Johannes Pramsohler.  Reprenant la légende du roi Crésus, il allie la verve vocale à l’italienne et une orchestration à l’allemande, dans une histoire où se croisent guerriers, philosophes, traitres, amoureux, et serviteurs et truculents.”



    production : Arcal compagnie nationale de théâtre lyrique et musical
    coproduction : Athénée Théâtre Louis-Jouvet | Centre des Bords de Marne (Le Perreux-sur-Marne) | Théâtre du Minotaure – salle Berlioz (Béziers)
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    L’Arcal est soutenu par la Drac Île-de-France - Ministère de la Culture et de la Communication, la Région Île-de-France, la Ville de Paris, les départements de l'Essonne, du Val d'Oise, des Yvelines et la Spedidam. L'Arcal est membre associé de la ROF (Réunion des Opéras de France). L'Arcal est en résidence de 2020 à 2023 au Centre des Bords de Marne.
    du 30 sept. 20 au 10 oct. 20







  • Damien Pass, Alphonse Cemin


    baryton-basse Damien Pass
    piano Alphonse Cemin

    Le baryton australien Damien Pass est un habitué du théâtre de l’Athénée (Le viol de Lucrèce, Jakob Lenz, Myrthen). Ses talents de conteur seront mis en lumière par ce programme original concocté avec son frère de scène Alphonse Cemin, ballades sur des poèmes de Victor Hugo, mélodies du grand Charles Ives et plongée dans le repertoire coloré et méconnu des chansons populaires australiennes.




    Chère spectatrice, cher spectateur,

    En raison de la crise sanitaire et du confinement imposé par le gouvernement, nous sommes dans l’obligation d’annuler le Lundi Musical prévu le 16 novembre.

    Vous pouvez, en envoyant un mail à caisse@athenee-theatre.com :

    Reporter votre venue sur une représentation d’un autre spectacle de la saison (dans la limite des places disponibles et sans garantie d’un placement équivalent) en indiquant le spectacle et la date à laquelle vous souhaitez y assister.

    Demander un avoir sur la saison 20.21, valable uniquement sur les spectacles de la saison en cours. Vous pourrez alors choisir, quand vous le souhaitez, d’assister à un autre spectacle de la saison (dans la limite des places disponibles et sans garantie d’un placement équivalent). Si toutefois vous n’avez pas utilisé votre avoir le 31 juillet 2020, vous pourrez alors en obtenir le remboursement.

    Obtenir le remboursement de votre billet en joignant à votre mail un RIB ou en nous donnant votre accord pour recréditer votre carte bancaire si vous avez acheté vos billets sur notre site internet.

    Soutenir la création artistique à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet, en donnant le montant de vos places, qui sera entièrement reversé à la compagnie. Envoyez alors un message à caisse@athenee-theatre.com afin de nous communiquer votre consentement explicite.

    Si vous êtes en possession de billets achetés via des revendeurs (Fnac, TheatreOnline, etc.), la demande de remboursement devra se faire auprès de ce dernier.

    Nous espérons avoir le plaisir de vous retrouver après le 1er décembre pour partager les spectacles à venir de cette saison 20.21.

    L’équipe de l'Athénée

    production : Le Balcon 
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung
    16 nov. 20


  • La Belle et la Bête


    d'après le conte de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont
    et le film fantastique « La Belle et la Bête » de Jean Cocteau
    musique Philip Glass
    direction musicale Jean Deroyer
    scénographie et mise en espace Alban Richard
    scénographie et lumières Jan Fedinger
    avec l'Orchestre Régional de Normandie
    la Belle Marine Chagnon*
    la Bête Kamil Ben Hsaïn Lachiri
    le Père Florent Karrer
    Félicie Marthe Davost*
    Adélaïde Mayan Goldenfeld*
    Ludovic Olivier Cesarini*

    Perles fatales, chandeliers enchantés, cheval volant, et miroirs trompeurs… De La Belle et la Bête, chef-d’œuvre de Jean Cocteau, dédié “aux grandes personnes qui n’ont pas perdu leur enfance”, Philip Glass a tiré sa propre fantasmagorie : un ciné-opéra, où, alors que le film est projeté, la bande-son originelle est remplacée par sa composition jouée et chantée en direct. De quoi offrir à l’histoire éternelle une magie nouvelle, qui a permis à ce spectacle singulier d’être joué plus de 90 fois depuis sa création en 1994.

    * lauréat de la Fondation Royaumont 
    production : Orchestre Régional de Normandie 
    coproduction : le centre chorégraphique national de Caen en Normandie, le théâtre de Caen, le Trident - Scène natioanle de Cherbourg-en-Cotentin et la Fondation Royaumont
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    L'Orchestre Régional de Normandie est soutenu et accompagné par le Conseil Régional de Normandie, par le Ministère de la Culture - Direction Régionale des Affaires Culturelles de Normandie - avec la particiation des Conseils Départementaux de la Manche, du Calvados et de l'Orne.
    Projet soutenu par la Région Normandie dans le cadre du dispositif Fonds d’aide Lyrique et symphonique.
    du 3 déc. 20 au 13 déc. 20

  • L'Image


    texte Samuel Beckett
    mise en scène Jacques Osinski
    avec Denis Lavant
    lumières Catherine Verheyde

    On ne le disputera pas : mieux vaut une « foirade » de Beckett que la réussite de quelqu’un d’autre. En marge des romans et des grandes pièces, on trouve dans l’œuvre quelques menus trésors qui révèlent peu à peu un paysage mental. Poursuivant leur compagnonnage au long cours avec Samuel Beckett entamé avecCap au pire,Denis Lavant et Jacques Osinski feront entendre L’Image,et quelques magnifiques « foirades ».Un spectacle conçu«comme un impromptu, un moment musical où il s’agit de saisir une beauté fugace ».



    production : compagnie l’Aurore Boréale  
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    La compagnie L’Aurore Boréale est subventionnée par la DRAC-Île de France.
    Le texte est édité aux éditions de Minuit.
    du 26 mai 21 au 5 juin 21


  • Dorothea Röschmann, Magnus Svensson, Alain Planès, Alphonse Cemin


    soprano Dorothea Röschmann
    piano Magnus Svensson, Alain Planès, Alphonse Cemin

    Le Lundi musical du 11 janvier de Dorothea Röschmann et le Lundi musical du 1er février avec Alain Planès et Alphonse Cemin sont reportés au 7 juin 2021 pour une double soirée. Chaque concert dure 50 minutes, sans entracte.

    • Dorothea Röschmann, Magnus Svensson

    La soprano allemande Dorothea Röschmann, l’une des mozartiennes les plus distinguées de ces dernières années, est aujourd’hui applaudie à Milan, Berlin ou Londres dans le répertoire wagnérien. Elle vient chanter au théâtre de l’Athénée pour la premiere fois, dans un programme de lied inoubliable. Le pianiste Malcolm Martineau est rempacé par Magnus Svensson.

    • Alain Planès, Alphonse Cemin

    Un concert sans voix chantée mais certainement pas sans poésie. Le pianiste Alain Planès, érudit magnifique à la carrière foisonnante, fait l’honneur à Alphonse Cemin d’une soirée à deux pianos autour de l’un de ses compositeurs fétiches : Claude Debussy.

    Pour connaître le détail du programme de la soirée, consultez le programme de salle



    Afin de vous accueillir au mieux, un protocole sanitaire sera mis en place et le placement, libre et non numéroté, sera effectué par nos agents en salle. L'horaire de la soirée sera annoncé prochainement.

    Vous possédez un billet pour l’un de ces concerts ?
    Manifestez-vous auprès de la billetterie pour reporter votre venue sur la nouvelle date ou effectuer une demande de remboursement, avoir ou don.
    Plus d'informations sur cette page.

    production : Le Balcon
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung
    7 juin 21

  • Pelléas et Mélisande


    d'après Maurice Maeterlinck
    musique Nicholas Stücklin
    mise en scène Julien Chavaz
    en collaboration avec Nicole Morel
    avec Charlotte Dumatheray, Aurélien Patouillard, Vincent Casagrande, Sarah Defrise, Kiyan Khoshoie
    claviers Florent Lattuga
    scénographie Anneliese Neudecker
    costumes Severine Besson
    lumières Eloi Gianini
    dramaturgie Anne Schwaller
    maquillages et perruques Julia Kreuziger

    Qui es-tu, Pelléas ? Certaines figures deviennent emblématiques, d’autres restent toujours évasives : plus on les observe et plus elles disparaissent. Ainsi, qui pourrait dire avec certitude qui est Pelléas, d’où vient Mélisande, qui et où sont Golaud, Yniold, Geneviève… Et la force de la pièce originelle de Maeterlinck se trouve peut-être là : dans les mille légendes qu’elle convoque, dans des étrangetés radicales et pourtant familières, dans les tourments insaisissables de la jalousie et la force des amours accomplies sans un mot…  Après avoir présenté à l’Athénée le délicieux Moscou Paradis de Chostakovitch, et un opéra tiré de The Importance of Being Earnest d’Oscar Wilde, les jeunes créateurs d’opéra du Nouvel Opéra Fribourg remontent à la source du texte de Maeterlinck pour proposer une méditation musicale, dramatique et visuelle autour de Pelléas et Mélisande.

    *Amoureux éternels, Pelléas et Mélisande ne disparaissent jamais pour de vrai. Évanoui la saison dernière, le spectacle du Nouvel Opéra Fribourg qui les met en scène réapparaît cette saison.




    production : NOF – Nouvel Opéra Fribourg – Neue Oper Freiburg
    coproduction et coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de l’État de Fribourg, l’Agglomération de Fribourg, la Loterie Romande, Schweizeriche Interpretenstiftung et Pro Helvetia.
    du 10 juin 21 au 20 juin 21

  • Powder Her Face


    texte Philip Hensher
    musique Thomas Adès
    direction musicale Jérôme Kuhn
    mise en scène Julien Chavaz
    avec l'Orchestre de chambre fribourgeois
    la duchesse Sophie Marilley
    l'électricien Timur
    la femme de chambre Alison Scherzer
    le gérant d'hôtel Graeme Danby
    scénographie Anneliese Neudecker
    lumières Eloi Gianini
    costumes Severine Besson
    maquillages, perruques Sanne Oostervink

    Que Dom Juan compte dans son catalogue 1003 maîtresses rien qu’en Italie passe encore, mais que la duchesse d’Argyll, ait eu 88 amants, voilà qui était un peu too much pour la bonne société britannique de 1963. Pire : on avait en plus de l’affaire quelques photos plus qu’explicites… De ce scandale sexuel de l’upper-class, le compositeur anglais Thomas Adès a tiré une œuvre débridée, sensuelle et moite, qui convoque aussi bien Berg et Stravinsky, que le tango, le cabaret ou la comédie musicale.  Avis aux plus prudes : cet opéra comporte une caresse aussi bucale que ducale… et quelques rangs de perles.



    production : NOF - Nouvel Opéra Fribourg - Neue Oper Freiburg
    coproduction : Théâtre du Crochetan Monthey, Stadttheater Schaffhausen
    coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    avec le soutien de l’État de Fribourg, l’Agglomération de Fribourg, la Loterie Romande, Pro Helvetia, Corodis.
    du 11 juin 21 au 18 juin 21


  • Concerto contre Piano et Orchestre


    D'après Carl Philipp Emanuel Bach
    Conception Samuel Achache, Antonin-Tri Hoang, Florent Hubert, Eve Risser
    Orchestre La Sourde
    Batterie, percussions Thibault Perriard
    Piano Eve Risser
    Trompettes Olivier Laisney, Samuel Achache
    Clarinettes, saxophones Antonin-Tri Hoang, Florent Hubert
    Flûte Anne-Emmanuelle Davy
    Cor, cor naturel Nicolas Chedmail
    Violons Marie Salvat, Boris Lamerand
    Violes de gambe Etienne Floutier, Pauline Chiama
    Violoncelles Gulrim Choï, Myrtille Hetzel
    Archiluth Thibaut Roussel
    Contrebasses Matthieu Bloch, Youen Cadiou
    Lumière, régie générale César Godefroy
    Costumes Pauline Kieffer

    Dans la longue série des concertos qui ont traversé les trois derniers siècles, réjouissons-nous aujourd’hui d’une nouveauté : le concerto qui donne de la voix et fait valoir ses humeurs musicales, le concerto contre. Contre piano et contre orchestre. Une opposition autant qu’un rapprochement, comme on peut être contre ou tout contre.

    Une expérience portée par une équipe expérimentée : Samuel Achache, metteur en scène et musicien, Eve Risser et Antonin-Tri Hoang (tous deux passés par l’Orchestre national de jazz), et Florent Hubert (avec qui Achache était associé sur les opéras revisités Crocodile trompeur et l’Orfeo, je suis mort en Arcadie). L’orchestre va note à note explorer la forme concertante, avec pour point de départ le Concerto Wq 43/4 pour clavier de Carl Philipp Emanuel Bach (1714-1788). Cette pièce du fils cadet de Jean-Sébastien, composée en 1772 et issue de sa série de concertos hambourgeois, œuvres de la maturité, parachève sa maîtrise du genre comme elle la perturbe par certaines expériences nouvelles. Nul ne sait encore, pour cette création qui naîtra à l’Athénée, où l’aventure au gré des humeurs et des digressions portera. Certainement partout...



    Production déléguée : Compagnie R(e)V(e)R 
    En coproduction avec : La Sourde, La Soufflerie à Rezé, 
    Avec le soutien de l’ADAMI, de la SPEDIDAM, de la SACEM, de la DRAC et de la Région Grand Est, de l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet, du Théâtre de la Renaissance à Oullins, le Théâtre de l’Aquarium
    du 21 sept. 21 au 25 sept. 21

  • Stanislas de Barbeyrac et Alphonse Cemin


    piano Alphonse Cemin
    ténor Stanislas de Barbeyrac

    Longtemps considéré comme un espoir de la scène lyrique française, Stanislas de Barbeyrac éclaire aujourd’hui de son talent les productions d’opéra auxquelles il participe. Le ténor au timbre clair et à la présence scénique affirmée, vainqueur du concours Reine-Elisabeth en 2011, mais aussi révélation artiste lyrique en 2014, Tamino de référence dans La Flûte enchantée de Mozart, développe un répertoire essentiellement français, passant de Rameau à Ravel dans les maisons d’opéra internationales -tout en restant solidement ancré à Bordeaux, sa ville d’origine, où il a récemment interprété Don José ou Pelléas.

    Accompagné par Alphonse Cemin, pianiste mais aussi cofondateur du Balcon, ensemble polymorphe au sein duquel il participe à tous les projets, le ténor chantera du Poulenc mais ouvrira aussi sa balade lyrique aux compositeurs britanniques Roger Quilter, Ivor Gurney ou encore Benjamin Britten.

    Production : Le Balcon
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

    Programme
    Francis Poulenc/ Guillaume Apollinaire

    Banalités (1940)
    1 Chanson d’Orkenise
    2 Hôtel
    3 Fagnes de Wallonie
    4 Voyage à Paris
    5 Sanglots
    10’00

    Roger Quilter / Anonyme
    Weep you no more (1907)
    Ivor Gurney / John Fletcher
    Sleep (1920)
    Roger Quilter / Wiiliam Shakespeare
    Come away, Death (1905)
    Benjamin Britten / Louis McNeice
    Cradle song (1940)
    15’00

    George Benjamin
    Meditation on Haydn’s name (1982)
    3’30

    Benjamin Britten / Arthur Rimbaud
    Les Illuminations (1939)
    I - Fanfare
    II - Villes
    III a - Phrase
    III b - Antique
    IV - Royauté
    V - Marine
    VI - Interlude
    VII - Being Beauteous
    VIII - Parade
    IX - Départ
    25’00
    4 oct. 21


  • Michel Portal MP85


    Clarinettes Michel Portal
    Piano Bojan Z
    Trombonne Nils Wogram
    Contrebasse Bruno Chevillon
    Batterie Lander Gyselinck

    Quand Michel Portal entre à l’Athénée, soixante ans de carrière s’invitent dans le sillage de sa clarinette. Une vie d’improvisateur complètement libre, qui l’a vu voyager des partitions contemporaines sauce Darmstadt au free américano-européen le plus éclatant en s’octroyant quelques escales sur des ilots de bandes originales ou d’enregistrements symphoniques. Une liberté qui inspire toujours le musicien à crinière blanche : à 85 ans, entouré de son complice de longue date, le pianiste Bojan Z, il a sorti un disque (MP85) enregistré durant la pandémie.

    Production : Astérios spectacles
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    En accord avec Anteprima

    11 oct. 21



  • Vous qui savez ce qu'est l'amour


    D'après Le Nozze di Figaro de Mozart et Da Ponte
    Écriture, chant et jeu Romie Estèves
    Guitares et arrangements Jérémy Peret
    Mise en scène Benjamin Prins
    Collaboration artistique Julien Marot
    Conseiller musical Nicolas Krüger
    Scénographie Amber Vandenhoeck
    Vidéo Lola Bastard
    Création sonore Baptiste Chouquet
    Création lumière Eric Blosse
    Régie lumière Steeve Dechelotte

    Vous n’avez jamais rien compris aux Noces de Figaro. La musique est belle, oui, mais franchement, qui aime qui, qui est marié à qui, qui courtise qui ? L’intrigue foisonnante de cette première collaboration entre Mozart et le librettiste Lorenzo Da Ponte écrite en 1786 (suivront Don Giovanni en 1787 et Così fan tutte en 1790) file comme une comète dans le ciel de l’opéra buffa. Alors, rassurez-vous : ce soir, avec Romie Estèves, vous allez enfin tout comprendre.

    La mezzo-soprano campe tous les rôles, chante les arias, explique l'intrigue, extrapole sur les coulisses de l'opéra et le métier de chanteuse... avec une virtuosité qui renouvelle cette œuvre culte de l'opéra.



    Production : compagnie La Marginaire 
    Coproduction : Opéra de Limoges, Office Artistique de la Région Nouvelle-Aquitaine (O.A.R.A.), Théâtre Ducourneau Agen
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Avec le soutien du Département de la Gironde et de l'O.A.R.A (aide à la diffusion)
    du 9 nov. 21 au 13 nov. 21

  • Lisa Simone


    Chant Lisa Simone
    Guitare Anthony Jambon

    La chanteuse Lisa Simone est passée par Broadway - y compris dans des productions Disney - et l’acid jazz avant de réinvestir de sa voix chaude le répertoire de sa mère, Nina Simone, à la mort de cette dernière... puis d’étoffer le sien.

    Dans son troisième et dernier album, In Need of Love, la francophile au dos tatoué et à la spiritualité aiguisée développe une soul tendre qui sait aussi s’amuser des polyrythmes, avec une indéniable puissance projective et un sourire qu’on entend souvent au bord de son articulation.

    Production : Astérios spectacles
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    15 nov. 21


  • Julia Kleiter et Julius Drake


    soprano Julia Kleiter
    piano Julius Drake

    Soirée allemande en compagnie de Julia Kleiter. La soprano lyrique, éclose scéniquement dans la Flûte enchantée de Bob Wilson à Paris en 2003, partage sa carrière entre le lied et l’opéra. Si elle chante divinement, elle porte aussi une attention privilégiée à l’expression, le sentiment primant selon elle sur la perfection, mantra qu’elle a développé notamment auprès de Nikolaus Harnoncourt, avec qui elle a eu la chance de travailler à Graz et Salzbourg. Accompagnée du pianiste britannique Julius Drake, Julia Kleiter déroulera un programme anti-chronologique, passant de Schubert à Schoenberg (dont les quatre lieder opus 2), puis s’attardant sur Liszt, trait d’union entre les deux premiers compositeurs.



    Production : Le Balcon
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

    Programme

    Franz Schubert
    Liane
    Das Weinen
    Das Gebüsche
    Die abgeblühte Linde
    Ins stille Land

    Arnold Schönberg
    Mädchenlied
    Verlassen


    4 lieder Opus 2
    Erwartung
    Jesus bettelt
    Erhebung
    Waldsonne

    Franz Liszt
    Der Fischerknabe
    Der Hirt
    Der Alpenjäger
    Schwebe, schwebe
    Wo weilt er
    Oh quand je dors
    S’il est un charmant gazon
    Comment disaient-ils
    Enfant, si j’étais roi

    29 nov. 21

  • Yom


    Clarinettes Yom
    Piano préparé et percussions Léo Jassef

    Le son suave de la clarinette de Yom, rehaussé par son duo avec Léo Jassef au piano et percussions, nous vient de ses nombreuses formations aux géométries disparates : duo avec piano, quintette, groupe rock, détour expérimental en compagnie du guimbardiste chinois Wang Li ou ensemble traditionnel klezmer...

    Son dernier disque, Celebration, est marqué par la thématique de la naissance et explore une spiritualité aux tempi apaisés :« Un disque, c’est rien, une heure de musique, et en même temps on peut imaginer un petit univers, une zone franche où en tant qu’artiste on fait ce que l’on veut, où c’est cool et il n’y a que des ondes positives », expliquait-il à France Inter.

    Lundi 6 décembre, à 20h, Yom fera de la scène de l’Athénée la zone franche d’une riche escapade sonore.

    En accord avec Anteprima.



    Production : Astérios spectacles
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    En accord avec Anteprima

    6 déc. 21


  • RÉCITAL ANNULÉ - Stéphane Degout et Simon Lepper


    Baryton Stéphane Degout
    Piano Simon Lepper

    En raison de l'indisposition de l'un des artistes, le récital est annulé.
    Si vous avez déjà vos billets, cliquez sur le lien pour plus d'informations sur le remboursement.


    Programme complexe pour deux atistes expérimentés et audacieux, le baryton Stéphane Degout et le pianiste Simon Lepper, qui font coexister dans une même soirée des mélodies de Mahler, Schumann, Pfitzner, Fauré, Berg et Poulenc...

    Après avoir sillonné nombre de répertoires lyriques et de territoires mélodiques, le baryton roi de la scène française à la technique irréprochable et au grand appétit de théâtre, s’unit au talentueux pianiste britannique pour trouver la note, le sentiment ou la couleur juste de ce programme pluriel.

    Une alchimie rare.

    Écoutez Stéphane Degout dans l'émission "L'invité culture" de Caroline Broué sur France Culture.

    Programme

    Gustav Mahler (1860-1911)
    Zu Strassburg auf der Schanz (extrait de des Knaben Wunderhorn)

    Robert Schumann (1810-1856)
    Vier Lieder op 40 (Hans Christian Andersen)

    Hans Pfitzner (1869-1949)
    Die stille Stadt op 29 4 (Richard Dehmel)

    Francis Poulenc (1899-1963)
    Calligrammes (Guillaume Apollinaire)

    Hans Pfitzner 
    Hussens Kerker opus 32 1 (Konrad Ferdinand Meyer)

    Alban Berg (1885-1935)
    Vier Gesänge op 2 (Christian Friedrich Hebbel, Alfred Monbert)

    Hans Pfitzner 
    Abbitte opus 29 1 (Friedrich Hölderlin)

    Gabriel Fauré (1845-1924)
    L’Horizon chimérique (Jean de la Ville de Mirmont)

    Hans Pfitzner 
    An den Mond op 18 (Wolfgang von Goethe)



    Production : Le Balcon
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung
    13 déc. 21

  • Le Voyage de Gulliver


    Une libre adaptation du roman de Jonathan Swift par Valérie Lesort
    Mise en scène Christian Hecq, Valérie Lesort
    Assistant à la mise en scène Florimond Plantier
    Création et réalisation des marionnettes Carole Allemand, Fabienne Tourzi dit Terzi
    Assistante à la réalisation des marionnettes Louise Digard, Alexandra Leseur-Lecocq
    Scénographie Audrey Vuong
    Costumes Vanessa Sannino
    Lumières Pascal Laajili
    Musique Mich Ochowiak, Dominique Bataille
    Accessoires Sophie Coeffic, Juliette Nozières
    Collaboration artistique Sami Adjali
    Avec David Alexis , Valérie Kéruzoré, Valérie Lesort / Emmanuelle Bougerol , Thierry Lopez , Laurent Montel , Pauline Tricot, Nicolas Verdier, Eric Verdin / Renan Carteaux

    Prêts à embarquer pour un voyage fantastique ?

    Les enchanteurs Christian Hecq et Valérie Lesort mettent en scène Le Voyage de Gulliver, roman et satire sociale de Jonathan Swift, censuré à sa parution en 1726. Le texte est adapté ici par Valérie Lesort, qui se concentre sur l’épisode de l’île de Liliput.

    Aux côtés de Gulliver, chirurgien anglais du XVIIIème siècle, nous découvrons ces minuscules habitants, les liliputiens, qui se battent avec leurs voisins au sujet d’un œuf à la coque. Cette histoire fantasque est incarnée par de petites marionnettes hybrides, intégrant les visages de comédiens en chair et en os (on se souvient en effet de Christian Hecq interprétant Mr Herck sur Canal +), confrontés au comédien à taille humaine, Gulliver.

    Une mise en scène pleine de poésie, qui est la marque du tandem Christian Hecq et Valérie Lesort.

    Multirécompensé pour ses spectacles, le duo s’est distingué avec 20 000 lieues sous les mers d’après Jules Verne, présenté en 2015 à la Comédie-Française, avant d’autres succès comme La Mouche aux Bouffes du Nord, La petite Balade aux enfers à l’Opéra Comique et plus récemment Le Bourgeois gentilhomme à la Comédie-Française.

    Un spectacle avec plusieurs clés de lecture, pour les petits et les grands.

    Écoutez Valérie Lesort dans Affaires Culturelles au micro d'Arnaud Laporte.

    Création le 11 janvier 2022 à L’Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    En tournée en 2022

    1 au 11 février Théâtre des Célestins, Lyon
    18 au 19 février Equilibre et Nuithonie, Fribourg, Suisse
    23 au 26février Théâtre National de Nice
    2 au 6 mars Théâtre de Caen
    10 et 11 mars La Comète – Scène Nationale de Châlons-en-Champagne
    15 mars Théâtre Edwige Feuillères, Vesoul
    18 mars Ma Scène Nationale, Théâtre de Montbéliard
    22 et 23 mars Le Tangram, Scène Nationale Évreux–Louviers
    26 et 27 mars Théâtre de Saint-Maur
    30 et 31 mars La Maison – Maison de la Culture de Nevers Agglomération
    12 et 13 avril Théâtre de Sartrouville
    19 et 20 avril La Ferme du Buisson, Scène Nationale
    30 avril Le Carré Sainte-Maxime
    3 mai La Colonne, Miramas 
    6 et 7 mai Théâtre de Grasse
    12 et 13 mai Espace Jean Legendre, Compiègne
    du 17 au 19 mai La Coursive, Scène Nationale de La Rochelle
    24 et 25 mai Théâtre des 2 Rives, Charenton Le Pont



    Production : Centre International de Créations Théâtrales / Théâtre des Bouffes du Nord, Compagnie Point Fixe
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Coproduction : Les Célestins, Théâtre de Lyon ; Espace Jean Legendre – Théâtres de Compiègne ; Théâtre de Caen ; Théâtre de Saint-Maur; Théâtre National de Nice; MA scène nationale – Pays de Montbéliard ; La Coursive, Scène Nationale de La Rochelle ; Théâtre de Sartrouville ; Le Bateau Feu, Scène Nationale de Dunkerque ; Théâtre Edwige Feuillère Vesoul

    Avec le soutien du Théâtre Donald Cardwell, Draveil

    Avec le soutien du Fonds d'Insertion professionnelle de L’Académie de l’Union - ESPTL, DRAC Nouvelle-Aquitaine et Région Nouvelle-Aquitaine 

    du 11 janv. 22 au 28 janv. 22

  • Michael Spyres et Mathieu Pordoy


    Ténor Michael Spyres
    Piano Mathieu Pordoy

    Que dire de Michael Spyres, sinon que partout où il passe, le bel canto se décrasse et Rossini frissonne ?

    L’Américain, passé par la troupe de la Deutsche Oper Berlin puis par tout ce que le monde compte de belles maisons d’opéra (Scala, Met, Covent Garden…), est devenu au fil de la dernière décennie la référence du ténor belcantiste.

    Armé d’un timbre pur, Spyres incarne par sa présence autant qu’il charme par sa voix, surprend par son talent scénique et stupéfie par ses interprétations.

    Il nous propose un programme 100% Rossini avec le talentueux pianiste Mathieu Pordoy, salué par le New York Times comme « un partenaire superbe ».

    Leur complicité visible, appuyée sur une redoutable aisance technique et un fort appétit de jeu, promet une soirée électrique.

    Programme

    1. L’âme délaissée

    2. Élégie (« Adieux à la vie ») sur une seule note

    3. Roméo

    4. Un rien pour Piano (N11 en Ré b Maj)

    5. Élégie « Au chevet d’un mourant »

    6. L’ultimo Ricordo

    7. L’Esule

    8. Un rien pour piano (N21 en Fa # min)

    9. Le Lazzarone

    10. L’Invito

    11. Nizza

    12. Barcarole pour piano

    13. L’Orgia

    14. La Danza

    15. Addio ai Viennesi



    Production : Le Balcon
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung
    31 janv. 22


  • Henri Texier


    Contrebasse Henri Texier
    Saxophone alto et clarinette Sébastien Texier
    Batterie Gautier Garrigue

    Un colosse musical assis près d’une contrebasse, un pied dans le varech breton, l’autre posé sur le tapis volant du free jazz. Henri Texier, son bonnet, sa barbe blanche, ses lunettes et ses cinquante ans de carrière viennent habiter la scène de l’Athénée.

    Accompagné de talentueux musiciens, ce passionné de recherche musicale a exploré et brassé ses nombreuses influences musicales en quintet dans ses précédents albums Sand Woman et Chance. Chance de mener sa route au gré de sa liberté, « Chance, d’avoir pu réunir de si brillants et inspirés musiciens grâce auxquels je peux continuer à découvrir et à explorer des territoires aux confins de cette musique si riche en émotions » selon ses propres mots.

    Une chance renouvelée, en trio cette fois, avec Gautier Garrigue et Sébastien Texier, sur son album Heteroklite lockdown, dont la sortie est prévue le 28 janvier prochain et qu’ils interprèteront à l'Athénée le 12 février.



    Production : Astérios spectacles
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    En accord avec InVivo

    12 févr. 22

  • Marie-Laure Garnier et Célia Oneto Bensaid


    Soprano Marie-Laure Garnier
    Piano Célia Oneto Bensaid

    Nous avons souhaité faire dialoguer des mélodies de Poulenc et de Messiaen avec des negro-spirituals. Les thématiques communes : le sacré, l’espoir, les épreuves traversées par l’Homme. Côté mélodies, nous avons les univers de Poulenc, dans son versant moine, et Messiaen, dont nous avons tiré trois extraits des Poèmes pour Mi (œuvre composée pour sa première épouse).

    Bien qu’à l’époque, les negro-spirituals étaient clamés a capella, ici, nous avons fait le choix d’arrangements voix/piano. Ainsi, ces chants au style totalement hybride sont comme un miroir de nous : une société métissée, riche de sa culture multiple. Voilà en tout cas ce que nous choisissons de porter. La musique, si elle a bien entendu un sens purement esthétique, n’est-elle pas aussi un pont où tout un chacun pourrait se rencontrer et se comprendre quel que soit sa culture ? Face à ces mélodies, les negro-spirituals semblent au premier abord éloignés. Pourtant, les chants que ces hommes entonnaient dans les champs de coton sont emplis de spiritualité, de fraternité et d’espérance. Ils s’appuient sur l’Ancien Testament, et racontent l’émancipation du peuple hébreu.

    Cette référence biblique porte l’espoir des esclaves d’être libérés eux aussi. Ces arrangements sont ceux de compositeurs s’étant formés dans de grands conservatoires américains, et trouvent une esthétique commune avec d’autres mélodies du répertoire.

    Marie-Laure Garnier et Célia Oneto Bensaid

    Programme

    Walk together Children, spiritual, arrangement: Moses Hogan

    Actions de grâces, extrait de Poèmes pour Mi, Olivier Messiaen 

    Ride on, King Jesus, spiritual, arr: Hall Johnson

    Deep river, spiritual, spiritual, arr: Moses Hogan

    Main dominée par le cœur, Francis Poulenc/Paul Eluard 

    My good Lord's done been here, spiritual, arr: Moses Hogan

    Priez pour Paix, Francis Poulenc/ Charles d'Orléans 

    Nobody knows the trouble I've seen, spiritual, arr: H. T. Burleigh

    He's got the whole world, spiritual, arr: Moses Hogan

    10 Le Collier, extrait de Poèmes pour Mi, Olivier Messiaen 

    11 Les anges musiciens, extrait de La Courte Paille, Francis Poulenc/Maurice Carême

    12 He never said a mumblin' word, spiritual, arr: Moses Hogan

    13 Nous avons fait la nuit, extrait de Tel jour, telle nuit, Francis Poulenc/Paul Eluard

    14 Sometimes I feel like a motherless child, spiritual, arr: Moses Hogan

    15 De Gospel train, spiritual, arr: Moses Hogan

    16 Prière exaucée, extrait de Poèmes pour Mi, Olivier Messiaen

    17 Weepin' Mary, spiritual, arr: H. T. Burleigh

    18 Wade in the water, spiritual, arr: Mark Hayes



    Production : Le Balcon
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung
    14 févr. 22

  • Il Nerone - L’Incoronazione di Poppea


    Musique Claudio Monteverdi
    Livret Giovanni Francesco Busenello
    Mise en scène Alain Françon
    Direction musicale Vincent Dumestre
    Scénographie Jacques Gabel
    Costumes Marie La Rocca
    Lumières Jean-Pascal Pracht
    Chorégraphie Caroline Marcadé
    Création maquillage et coiffures Cécile Kretschmar
    Collaboratrice artistique Nounée Garibian
    Avec les artistes en résidence à l’Académie de l’Opéra national de Paris
    Ensemble Le Poème Harmonique
    Poppea Marine Chagnon
    Nerone Fernando Escalona
    Seneca Alejandro Baliñas Vieites
    Octavia Lucie Peyramaure
    Ottone Léopold Gilloots Laforge
    Arnalta Léo Fernique
    Drusilla / Fortuna Martina Russomanno
    Amore / Valetto Kseniia Proshina
    Nutrice / Virtu Lise Nougier
    Mercurio / Famigliare di Seneca 3, Littore / Consoli / Tribuni 2 Yiorgo Ioannou
    Lucano / Soldato 1 / Famigliare di Seneca 1 Léo Vermot Desroches
    Soldato 2, Famigliare di Seneca 2, Liberto / Tribuni Thomas Ricart
    Chef de chant Carlos Sanchis Aguirre, Ramon Theobald

    Production de l’Académie de l’Opéra national de Paris créée sur le plateau de l’Athénée, Il Nerone ou Le Couronnement de Poppée, est interprété par les artistes en résidence à l’Académie. Chaque saison, cette institution accueille et forme une trentaine de jeunes professionnels de l’art lyrique venus du monde entier, chanteurs, musiciens, chefs de chant et metteur en scène.

    1647 : une troupe de chanteurs vénitiens se trouve à Paris, appelée par Mazarin pour y donner l’Orfeo de Rossi. Quelques semaines après leur arrivée, l’un des chanteurs de la troupe fait savoir à son protecteur en Italie que « la préparation de l’Orfeo ayant souffert de multiples retards, la troupe va finalement présenter, à l’improviste, Il Nerone ». Ce Nerone n’était autre que… Le Couronnement de Poppée. Mais ce chef-d’œuvre - le dernier opéra de Monteverdi - est-il l’œuvre que l’on connait, cet opéra baroque le plus célèbre de nos jours ? Puissant ouvrage par son intensité dramatique, testament musical du maestro vénitien dont la plume est tournée vers le futur, ce Nerone est revisité ici par le tandem Dumestre / Françon, qui souhaite replacer les artistes de l’Académie de l’Opéra de Paris au cœur d’un projet qui renoue avec la partition vénitienne originelle.



    Production : Académie de l’Opéra national de Paris avec les artistes en résidence à l’Académie
    Coproduction : Opéra de Dijon
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    Avec le soutien exceptionnel de
    Aline Foriel-Destezet

    Avec le soutien de
    La Fondation ENGIE, mécène Fondateur de l’Académie
    NATIXIS, mécène du Programme « Musiciens en résidence »
    La Fondation SIGNATURE - Institut de France, mécène des artistes en résidence
    Les Grands donateurs du Cercle de l’Académie
    L'AROP
    La FRONP
    Le Cercle Carpeaux

    du 2 mars 22 au 12 mars 22

  • Damien Pass et Alphonse Cemin


    Baryton Damien Pass
    Piano Alphonse Cemin

    C’est un récital aux allures de voyage que nous proposent le baryton-basse Damien Pass et le pianiste Alphonse Cemin : du romantisme européen de Liszt et Schubert à l’Amérique de Sondheim, en passant par les folk songs de l’Australie natale du chanteur, la soirée promet d’être éclectique…

    Lauréat du concours de chant Nadia et Lili Boulanger, soliste tout-terrain de Haendel à Ravel, d’Offenbach à Duparc, Damien Pass est un habitué des maisons d’opéra françaises (Paris, Lille, Bordeaux…). Pour ce programme, il forme un duo complice et inventif avec le pianiste et directeur artistique de la saison des Lundis musicaux, Alphonse Cemin.

    Programme provisoire du lundi 14 mars à 20h

    1. Stephen Sondheim
    ‘Any moment’ (Into the woods, Stephen Sondheim)

    2. Benjamin Britten
    The crocodile (Anonyme)

    3. Camille Saint-Saëns
    Le pas d’arme du roi Jean (Victor Hugo)

    4. Henri Duparc
    L’invitation au voyage (Charles Baudelaire)

    5. Franz Lizst
    Gastibelza (Victor Hugo)

    6. Franz Schubert
    Erlkönig (Johann Wolfgang von Goethe)
    Doppelgänger (Heinrich Heine)
    Wanders nachtlied (Johann Wolfgang von Goethe)
    An schwanger Kronos (Johann Wolfgang von Goethe)

    7. Carl Loewe
    Edward (Johann Gottfried von Herder)

    8. William Bolcom
    Black Max (Arnold Weinstein)

    9. Mike Stroller & Jerry Leiber,
    adaptation française Jean Dréjac
    L’homme à la moto

    10. Stephen Sondheim
    ‘No one is alone’ (Into the woods, Stephen Sondheim)

    11. Chansons traditionnelles australiennes
    Bottany bay
    Wild colonial boy
    Dying stockman
    Waltzing Matilda



    Production : Le Balcon
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung
    14 mars 22


  • Eurydice
    Une expérience du noir


    Musique Dmitri Kourliandski
    Sur un poème de Nastya Rodionova
    Mise en scène Antoine Gindt
    Orphée Dominique Mercy
    Eurydice Jeanne Crousaud
    Piano Bianca Chillemi
    Collaboration à la mise en scène Elodie Brémaud
    Scénographie Elise Capdenat
    Lumières Daniel Lévy
    Costumes Fanny Brouste
    Accessoires Pia de Compiègne
    Maquillages et coiffures Sophie Burdiat

    Évoquer le personnage d’Eurydice dans un opéra relève de la gageure tant l’héritage est lourd : Monteverdi avec Orfeo, Glück avec Orphée et Eurydice, même Offenbach avec Orphée aux enfers. Le compositeur russe Dmitri Kourliandski (1976) n’en a cure. Il s’attaque au mythe des amants maudits armé du tranchant épuré de sa musique savante et le projette dans un théâtre d’ombres sonores dont l’opacité enferme la scène.

    Cet opéra, essentiellement focalisé sur le personnage d’Eurydice (la soprano Jeanne Crousaud), ne prévoyait pas à l’origine la présence d’Orphée –lequel, rappelons-le, descend jusqu’aux enfers pour retrouver sa femme morte et la perd une seconde fois sur le chemin du retour par faute de s’être retourné. Le metteur en scène Antoine Gindt joue sur la persistance du souvenir d’Orphée et file la métaphore en confiant le rôle à un grand Orphée : le danseur Dominique Mercy, lequel l’incarna dans Orphée et Eurydice de Pina Bausch, dont il fit partie de la compagnie, Tanztheater Wuppertal, durant trente-cinq ans.



    Production : T&M   Nîmes/Occitanie
    Coproduction : Scène de Recherche ENS Paris-Saclay, Théâtre de Nîmes, Fondazione I Teatri Reggio Emilia / Festival Aperto.
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Avec le soutien du Fonds de Création Lyrique et de la Région Ile-de-France.
    Remerciements à L’Onde Théâtre-Centre d’Art de Vélizy.
    Ce spectacle reçoit le soutien d’Occitanie en scène. 

    du 12 avr. 22 au 15 avr. 22

  • Melissa Aldana


    Saxophone Melissa Aldana
    Basse Pablo Menares
    Batterie Kush Abadey
    Guitare Lage Lund

    Après plusieurs albums très largement plébiscités, la saxophoniste et compositrice chilienne Melissa Aldana, nommée aux Grammy Awards, s'est définitivement imposée sur la scène jazz mondiale. Celle que le New York Times présente comme l’« une des plus enthousiasmantes jeunes saxophonistes ténor d’aujourd’hui » sera pour la première fois sur la scène de l’Athénée, accompagnée d’une basse, d’une guitare et d’une batterie.

    Son dernier album, 12 stars, paru sur le mythique label Blue Note, est le récit d’un cheminement personnel douloureux et d’une révélation. Les douze étoiles du titre de l’album sont inspirées des cartes du jeu du tarot, qu’elle a appris à maîtriser pendant le confinement et un voyage intérieur qui l’a mieux « connectée à [s]a propre musique ».

    Melissa Aldana est aussi l’une des co-fondatrices du collectif 100% féminin ARTEMIS - avec Cécile McLorin Salvant et Anat Cohen - dont le premier album est sorti sur Blue Note en 2020.

    Un jazz chambriste tout en douceur.



    Production : Astérios spectacles
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    19 avr. 22


  • Rigoletto ou Le roi s'amuse


    Texte Victor Hugo
    Musique Giuseppe Verdi
    Mise en scène Tom Goossens
    Adaptation Waas Gramser, Kris Van Trier (Compagnie Marius)
    Traduction en français Anne Vanderschueren
    Piano et direction musicale Wouter Deltour
    Rigoletto Filip Jordens
    Sœur de l’assassin, courtisane, gouvernante de Rigoletto Karlijn Sileghem
    Le Roi Lars Corijn
    Fille de Rigoletto Esther Kouwenhoven
    Assassin, courtisan, gouvernante de Rigoletto Tom Goossens
    Dramaturgie musicale Lalina Goddard
    Régie et réalisation du décor Johannes Vochten
    Eclairage Luc Schaltin

    Rigoletto de Giuseppe Verdi et Le roi s'amuse de Victor Hugo racontent une même histoire : Rigoletto / Triboulet le bouffon a caché sa fille pour la sauver des frasques de la cour, jusqu'au jour où un duc volage jette son dévolu sur elle...

    Les correspondances sont en effet nombreuses entre ces deux œuvres censurées à leur parution, ces deux artistes frappés par la perte d’un enfant et l’exil... Les compagnies Muziektheater Transparent et Deschonecompanie, réputées pour leur sens de l'humour et de l'absurde, alternent ainsi les répliques d'Hugo et les airs de Verdi que trois comédiens, deux chanteurs et un piano jouent et chantent sur scène.

    Passion, intrigues, trahison, amour filial, meurtre et tubes de l'opéra comme La donna è mobile, rien ne manque dans ce spectacle qui s'adresse aux néophytes comme aux initiés.

    *Spectacle joué en français.



    Traduction en français: Anne Vanderschueren

    Production : DESCHONECOMPANIE et Muziektheater Transparant.

    Coproduction : Comp. Marius, Opéra Grand Avignon, Athénéé Théâtre Louis-Jouvet et Perpodium.
    Avec le soutien de la Communauté flamande et l'abri fiscal du gouvernement belge via Cronos Invest.
    Avec le généreux soutien de Madame Aline Foriel-Destezet.

    du 1er juin 22 au 12 juin 22

  • Oh Johnny


    Mise en scène et écriture Liora Jaccottet
    Scénographie Marlène Charpentié
    Conseil dramaturgique Julien Ticot
    Création lumières Sébastien Combes
    Création sonore Pierre Lemerle
    Avec Pascal Cesari, Clément Debœur, Lise Hamayon, Mathis Sonzogni

    Le 5 décembre 2017 disparaissait Johnny Hallyday, laissant derrière lui toute une génération de fans endeuillés.

    Oh Johnny est un portrait en forme d’hommage malicieux, mi-réaliste mi-fictionné, de celles et ceux qui l’ont aimé et qui continuent à le faire vivre dans leurs oreilles, dans leurs souvenirs, dans leur cuisine, dans tous ces petits autels qui lui sont érigés. Depuis la terrasse de Jocelyne et Ginette, les langues se délient, la figure de Johnny se fait comme un dieu absent mais bienveillant, sous le regard duquel ces récits de vies souvent cabossées peuvent se raconter.

    Le Festival JT22 est organisé par le Jeune théâtre national, le Théâtre de la Cité internationale et le Grand Parquet, maison d’artistes du Théâtre Paris-Villette.


    Oh Johnny a été créé à l’école de la Comédie de Saint-Etienne – Centre dramatique national en 2021 et sera recréé sur la saison 2022-2023.
    • Seront cités au cours du spectacle des extraits de témoignages recueillis : Ginette, Jocelyne, Gérard, Yves, Serge, Nicole.
    • Production déléguée Prémisses
    Coproduction : MC2 : Maison de la Culture de Grenoble, Comédie de Saint-Etienne – Centre dramatique national
    Accueil en résidence : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Soutien à la résidence : Théâtre du Point du Jour
    Le collectif La Lenteur est associé au Théâtre du Point du Jour de 2022 à 2025
    Le spectacle est programmé dans le cadre du Festival JT22, qui a pour but de présenter au public et aux professionnel.les les premiers spectacles des jeunes équipes tout juste issues des écoles supérieures d’art dramatique.
    du 10 juin 22 au 11 juin 22

  • Vincent Peirani - Jokers


    Accordéon Vincent Peirani
    Batterie Ziv Ravitz
    guitare, basse Federico Casagrande

    Quel que soit le style, Vincent Peirani transforme tout ce qu’il touche en or, du jazz à la chanson française en passant par les musiques de films, entouré d’artistes venus de tous horizons. C’est en trio avec le guitariste Casagrande et le batteur Ziv Ravitz qu’il accordera son accordéon sur la scène de l’Athénée, pour un voyage cosmopolite qui s’autorise toutes les musiques : énigmatiques, oniriques, colorées, explosives ou silencieuses…

    A l’image du Joker, personnage emblématique et multiple des comics américains, mais aussi figure forte des jeux de cartes, les trois musiciens se placent à rôles égaux, complémentaires ou en opposition, toujours imprévisibles.

    Une soirée pleine de surprises en perspective… 

    En accord avec Anteprima.



    Production : Astérios spectacles
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    16 juin 22

  • Mon amant de Saint-Jean


    Mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac
    Mise en scène et lumières Marie Lambert-Le Bihan
    Direction, arrangements, théorbe Vincent Dumestre
    Violons Fiona-Émilie Poupard, Louise Ayrton
    Viole de gambe Lucas Peres
    Violoncelle Pauline Buet
    Accordéon Vincent Lhermet
    Basson, flûtes Nicolas Rosenfeld
    Arrangements Vincent Bouchot
    Costumes Bruno Fatalot

    Peut-on imaginer associer Marin Marais, violiste baroque ayant ses entrées à la cour de Louis XIV, et Cora Vaucaire, alias 'la Dame blanche de Saint-Germain des Près', qui a chanté l’Internationale en temps de grève au XXe siècle ? Oui. Et ce depuis longtemps. Durant les années folles, quand les musicologues redécouvraient les oeuvres baroques, certains airs venaient se fondre dans la musique populaire. Aujourd’hui, Vincent Dumestre, fondateur de l’ensemble Le Poème harmonique, et la flamboyante mezzo Stéphanie d’Oustrac ont concocté un répertoire amoureux s’affranchissant à nouveau des frontières chronologiques et proposent un spectacle unique de mise en miroir ainsi que d’hommage.

    Marin Marais
    Prélude et Passacaille en Mi Mineur

    Anonyme
    J’ai perdu ma jeunesse
    Dans mon jardin
    La fille du Roi Louis

    Johann Vierdank
    Canzona en Do Majeur

    Claudio Monteverdi
    Lamento d’Arianna

    Francesco Cavalli
    Lasso, io vivo 

    Paul Marinier
    D’elle à lui

    Paul Delmet, Maurice Vaucaire
    Les petits pavés

    Raymond Legrand, Guy Breton
    Les nuits d’une demoiselle

    Théresa
    Les canards tyroliens

    Charles André Cachan, Maurice Vandair
    Où sont mes amants ?

    Émile Carrara, Léon Agel
    Mon Amant de Saint Jean



    Coproduction : Le Poème Harmonique, Opéra de Rouen, Normandie, Château d’Hardelot, département du Pas-de-Calais dans le cadre du Midsummer Festival

    Le Poème Harmonique est soutenu par le Ministère de la Culture (DRAC de Normandie), la Région Normandie, le Département de la Seine-Maritime, la Ville de Rouen et est en partenariat avec le projet Démos - Philharmonie de Paris.

    Le Poème Harmonique est en résidence à la Fondation Singer-Polignac en tant qu’artiste associé.

    20 juin 22

  • Dafne


    Conception Aurélien Bory, Geoffroy Jourdain, Wolfgang Mitterer
    Composition Wolfgang Mitterer
    Direction musicale Geoffroy Jourdain
    Mise en scène et scénographie Aurélien Bory
    Assistanat à la mise en scène Gabrielle Maris Victorin
    Collaborateur artistique technique Stéphane Dardé
    Décor Pierre Dequivre
    Création lumières Arno Veyrat
    Costumes Alain Blanchot
    Régie générale Thomas Dupeyron
    Régie plateau Thomas Dupeyron, Mickaël Godbille
    Régie lumière François Dareys
    Régie son Marjolaine Carme
    Surtitrage Louis Gal
    Pianiste répétiteur Nicolas Chesneau
    Conseil linguistique Elisabeth Rothmund et Jean-François Laplénie
    Avec Les Cris de Paris, Clotilde Cantau, Adèle Carlier, Anne-Emmanuelle Davy, Jeanne Dumat, Constantin Goubet, Floriane Hasler, Michiko Takahashi, Amandine Trenc, Virgile Ancely, Safir Behloul, Renaud Brès, Mathieu Dubroca
    Avec la participation de Alfred Noblet-Rousseau Bory

    On croyait la genèse de l’opéra allemand disparue, elle renaît sous vos yeux à l’Athénée. Ou presque. Dafne, création mondiale, reprend un livret écrit en 1627 d’après Les Métamorphoses d’Ovide, à l’origine pour une musique de Heinrich Schütz, dont la partition aurait disparu dans l’incendie de la bibliothèque de Dresde vers 1730. Le prototype de l’opéra germanique, une vingtaine d’années après le démarrage tonitruant de l’Orfeo vénitien, ne nous est donc pas parvenu. Aujourd’hui, Wolfgang Mitterer reprend ce livret et y pose une nouvelle musique, pétrie d’électronique.

    Le compositeur touche-à-tout autrichien, organiste, sensible aux collaborations jazzesques, habitué dans sa jeunesse à chanter des madrigaux, imagine, pour célébrer à ses yeux « la plus spectaculaire des Métamorphoses », « un  concours de chant apollinien émaillé de surprises, où l’électronique jouera le rôle de la basse continue, dispensant des  couleurs, un vêtement musical où se fondront l’ancien et le nouveau ». Douze interprètes des Cris de Paris, dirigés par Geoffroy Jourdain, poursuivront sur scène leur travail sur Heinrich Schütz, qu’ils ont porté au disque en mars dernier, cette fois-ci en miroir d’une œuvre qu’il n’a pas composée, tel un hommage fantôme

    à quatre siècles d’intervalle.

    Pour mettre en scène la fuite de la nymphe Daphné qui préfère se changer en laurier plutôt que de céder à Apollon, Aurélien Bory transpose les notions de course et de métamorphose, déplaçant le choeur d’un personnage à l’autre, sur un plateau où « tous les effets scéniques seront pensés à vue et exécutés par l’ensemble des chanteurs - acteurs - danseurs - musiciens - accessoiristes en transformation permanente ».

    Avec, comme un écho aux sons électroniques, la recherche d’un invisible, ce « quelque chose qui nous échappe » propre à chaque métamorphose.

    En tournée en 2023
    Vendredi 20 & Samedi 21 janvier, Opéra de Reims  / Vendredi 27 janvier, Atelier lyrique de Tourcoing / Mercredi 1er février, Opéra de Dijon /
    Mercredi 15, Jeudi 16 et Vendredi 17 février, Théâtre Garonne, Scène européenne (Toulouse) dans le cadre de la saison de l’Opéra national Capitole Toulouse

     



    Production : Les Cris de Paris | Compagnie 111

    Coproduction : Athénée Théâtre Louis-Jouvet – Paris , Opéra de Reims, Atelier lyrique de Tourcoing, Opéra national du Capitole – Toulouse, Points communs – Nouvelle scène nationale Cergy-Pontoise/Val d’Oise, Opéra de Dijon, La Muse en circuit – Centre national de création musicale

    Avec le soutien du Théâtre Garonne, Scène européenne – Toulouse

    Accueils en répétition : Théâtre Garonne, Scène européenne – Toulouse, Athénée Théâtre Louis-Jouvet – Paris

    La création de Dafne bénéficie des soutiens du Fonds de Création Lyrique, de l'aide exceptionnelle aux équipes théâtrales indépendantes - DGCA/DRAC Occitanie, de l’aide à l’écriture d’œuvres musicales originales – Ministère de la Culture/DRAC Île-de-France, du Centre national de la Musique, de l'aide à la création de la Mairie de Toulouse et du soutien de la SPEDIDAM. La commande des Cris de Paris à Wolfgang Mitterer est soutenue par la Fondation Ernst von Siemens pour la Musique.

    Remerciements Elisabeth Rothmund, Professeur à Sorbonne Universités.


    La saison d’Opéra-Théâtre de l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet bénéficie du généreux soutien de Madame Aline Foriel-Destezet.

    du 29 sept. 22 au 5 oct. 22

  • Rembobiner


    Écriture et conception Marie-Ange Gagnaux, Itto Mehdaoui
    Collectif Marthe
    Avec Aurélia Lüscher, Marie-Ange Gagnaux en alternance avec Itto Mehdaoui
    Mise en scène et dramaturgie Clara Bonnet, Marie-Ange Gagnaux, Itto Mehdaoui
    Regard extérieur Aurélia Lüscher
    Régie générale et scénographie Clémentine Pradier
    Création silhouettes et postiches Cécile Kretschmar
    Création son Benjamin Furbacco
    Production et diffusion Florence Verney

    Dans les années 70, la documentariste franco-suisse Carole Roussopoulos acquiert une des premières caméras vidéos portatives, avec laquelle elle va traverser toutes les luttes de son époque : manifestations pour le droit à l’avortement, AG du front révolutionnaire homosexuel, grève au long cours des ouvriers et ouvrières de LIP, premiers états généraux de la prostitution… elle tournera jusqu’à sa mort, en 2009, une centaine de documentaires qui donnent la parole à celles et ceux restés en marge des grands médias. Sur scène, deux comédiennes du Collectif Marthe, (l'une tenant une régie à vue, l'autre incarnant des personnes filmées par Carole Roussopoulos) rembobinent le temps et se frayent un chemin dans le travail novateur de la cinéaste Roussopoulos. En replongeant les spectateurs et spectatrices dans des combats qui ont jalonné les années 70, Rembobiner permet à chacun et chacune de s'interroger sur leur résonance dans notre quotidien et de faire le lien entre travail de mémoire et action au présent.

    En tournée en 2022.23
    Samedi 22 octobre 2022 Théâtre des 13 Vents - Centre Dramatique National de Montpellier
    6-10 novembre Théâtre de la Croix-Rousse – Lyon 
    14-19 novembre MC2 Grenoble
    9 mars 2023 La Passerelle à Saint-Just-Saint-Rambert
    17 mars Centre culturel de La Ricamarie

     



    Production : Collectif Marthe Coproductions et accueils en résidence : Théâtre du Point du Jour - Lyon, MC2: Grenoble, Théâtre des 13 Vents - CDN de Montpellier, Scène Nationale 61 – Alençon, Théâtre des Îlets-CDN de Montluçon.
    Soutiens : DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, Région Auvergne-Rhône-Alpes, Réseau Loire en scène Le collectif Marthe est lauréat 2017 du dispositif Cluster de Prémisses.

    Le Cercle des Partenaires soutient avec ses mécènes la programmation Jeune Création de la salle Christian-Bérard.

    Le spectacle inclut des extraits de textes et/ou sonores issus des films suivants :
    Paroles d’assistantes maternelles / Carole Roussopoulos, 1983 / Centre audiovisuel Simone de Beauvoir
    Profession : agricultrice / Carole Roussopoulos, 1982 / Centre audiovisuel Simone de Beauvoir
    Profession : conchylicultrice / Carole Roussopoulos, 1984 / Centre audiovisuel Simone de Beauvoir
    Le F.H.A.R. (Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire) / Carole Roussopoulos – video out, 1971 / Centre audiovisuel Simone de Beauvoir
    Y’a qu’à pas baiser / Carole Roussopoulos – video out, 1971 / Centre audiovisuel Simone de Beauvoir
    Monique – LIP I / Carole Roussopoulo – video out, 1973 / Centre audiovisuel Simone de Beauvoir
    Sois belle et tais-toi ! / Delphine Seyrig, 1976 / Centre audiovisuel Simone de Beauvoir 

    Photos © Théâtre du Point du Jour

    Remerciements particuliers :
    à Lila Godeberge, stagiaire costumes
    à Clémence de Chambrun et Sabrina Arcent pour la réalisation des banderoles
    à Maurin Ollès, pour ses conseils RAP
    à Alexandra et Géronimo Roussopoulos pour leur bon accord
    à Nicole Fernandez Ferrer et Peggy Préau du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir pour leur dialogue

    du 5 oct. 22 au 19 oct. 22

  • Le Voyage de Gulliver


    D'après une libre adaptation du roman de Jonathan Swift
    Par Valérie Lesort
    Mise en scène Valérie Lesort, Christian Hecq
    Assistant à la mise en scène Florimond Plantier
    Création et réalisation des marionnettes Carole Allemand, Fabienne Tourzi dit Terzi
    Assistante à la réalisation des marionnettes Louise Digard, Alexandra Leseur-Lecocq
    Scénographie Audrey Vuong
    Costumes Vanessa Sannino
    Lumières Pascal Laajili
    Musique Mich Ochowiak, Dominique Bataille
    Accessoires Sophie Coeffic, Juliette Nozières
    Collaboration artistique Sami Adjali
    Création maquillage Hugo Bardin
    Skyresh, Soldat David Alexis
    Myéline, Soldat blefescudien, la Reine de Blefescu Valérie Keruzoré / Caroline Mounier
    Cachaça, Soldat blefescudien Valérie Lesort / Emmanuelle Bougerol
    Le Savant, Soldat, Soldat blefesducien Thierry Lopez
    L’Empereur Éric Verdin
    Soldat, Sollis Pauline Tricot
    Soldat, Cérumen, le Cuisinier, Soldat blefescudien Nicolas Verdier
    Gulliver Renan Carteaux

    Prêts à embarquer pour un voyage fantastique ?

    Les enchanteurs Valérie Lesort et Christian Hecq mettent en scène Le Voyage de Gulliver, récompensé par les Molières de la création visuelle et sonore ainsi que de la mise en scène en 2022.  Cette satire sociale de Jonathan Swift, censurée à sa parution en 1726, est adaptée ici par Valérie Lesort, qui se concentre sur l’épisode de l’île de Liliput.

    Aux côtés de Gulliver, chirurgien anglais du XVIIIème siècle, nous découvrons ces minuscules habitants, les liliputiens, qui se battent avec leurs voisins au sujet d’un œuf à la coque. Cette histoire fantasque est incarnée par de petites marionnettes hybrides, intégrant les visages de comédiens en chair et en os (on se souvient en effet de Christian Hecq interprétant Mr Herck sur Canal +), confrontés au comédien à taille humaine, Gulliver.

    Une mise en scène pleine de poésie, qui est la marque du tandem Christian Hecq et Valérie Lesort.

    Multirécompensé pour ses spectacles, le duo s’est également distingué avec 20 000 lieues sous les mers d’après Jules Verne, présenté en 2015 à la Comédie-Française, avant d’autres succès comme La Mouche aux Bouffes du Nord, La petite Balade aux enfers à l’Opéra Comique et plus récemment Le Bourgeois gentilhomme à la Comédie-Française.

    Un spectacle avec plusieurs clés de lecture, pour les petits et les grands.

    Alternance des comédiennes

    Myéline, Soldat blefescudien, la Reine de Blefescu
    Valérie Keruzoré Sa 15 oct, Di 16, Me 19, Je 20, Sa 22 à 16h et 20h, Di 23, Me 26, Je 27, Ve 28, Sa 29 à 16h
    Caroline Mounier Ma 18 oct, Ve 21, Ma 25, Sa 29 à 20h, Di 30, Ma 1er nov, Me 2, Je 3, Ve 4, Sa 5 à 16h et 20h

    Cachaça, Soldat blefescudien
    Valérie Lesort Di 16 oct, Ma 17, Me 18,Sa 22 à 16h et 20h, Ma 25, Me 26, Je 27, Ve 28, Di 30, Ma 1er nov, Me 2, Sa 5 à 16h et 20h
    Emmanuelle Bougerol
    Sa 15 oct, Je 20, Ve 21, Di 23, Sa 29 à 16h et 20h, Je 3 nov, Ve 4

    En tournée en 2022.2023
    Jeudi 10 novembre 2022 Théâtre des Sablons, Neuilly-sur-Seine / 24 - 25 novembre Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines /
    30 novembre - 2 décembre
    Théâtre de Cornouaille – Scène nationale / 9-10 décembre Espace des arts, Scène nationale de Chalon /
    15 - 16 décembre Le Grand R, scène nationale de La Roche-sur-Yon / 7 - 8 janvier 2023 Palais des Beaux-Arts de Charleroi (Belgique) /
    13 - 14 janvier Le Bateau Feu, Dunkerque / 19 - 22 janvier Théâtre Montansier, Versailles



    Production : Centre International de Créations Théâtrales / Théâtre des Bouffes du Nord, Compagnie Point Fixe
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Coproduction : Les Célestins, Théâtre de Lyon ; Espace Jean Legendre – Théâtres de Compiègne ; Théâtre de Caen ; Théâtre de Saint-Maur; Théâtre National de Nice; MA scène nationale – Pays de Montbéliard ; La Coursive, Scène Nationale de La Rochelle ; Théâtre de Sartrouville ; Le Bateau Feu, Scène Nationale de Dunkerque ;  Le Grand R, Scène Nationale de La-Roche-sur-Yon ; Théâtre Edwige Feuillère Vesoul

    Avec le soutien d’Aline Foriel-Destezet
    Action financée par la Région Ile-de-France 
    Avec le soutien du Théâtre Donald Cardwell, Draveil
    Avec le soutien du Fonds d'Insertion professionnelle de L’Académie de l’Union - ESPTL, DRAC Nouvelle-Aquitaine et Région Nouvelle-Aquitaine

    du 15 oct. 22 au 5 nov. 22

  • Yaron Herman


    Piano Yaron Herman

    Formé auprès d'Opher Brayer, le pianiste Yaron Herman présente son onzième album, déployé autour d'un corpus entièrement improvisé. Il s'inscrit ainsi dans la tradition musicale de Bach à Chopin, de Beethoven à Messiaen, qui tissaient des mélodies et inventaient des harmonies dans l'instant, parfois la matrice de leurs chefs-d'œuvre.

    C'est également le chemin qu'a suivi Yaron Herman pour son travail de l'album : sans aucun scénario préconçu, il est allé au bout d'une forme de lâcher-prise, d'écoute de de la musique, d'exploration de nouveaux espaces : « toujours laisser la porte entrebâillée pour inviter ce qui doit arriver à se produire ». 

    Ce nouvel album est une rare invitation, une danse intérieure qui nous emmène très loin, un voyage sensoriel...



    Production : In Vivo Agency

    Tarif spécial :

    Carré or : 50 €
    1ère catégorie  : 38 €
    2ème catégorie : 28 €

    du 7 nov. 22 au 5 déc. 22

  • Discussion avec DS


    Conception, écriture et mise en scène Raphaëlle Rousseau
    Création lumières Benjamin Bouin
    Collaboration artistique Amélie Gratias

    Verra-t-on le fantôme de Delphine Seyrig traverser la salle Christian Bérard pour s’installer sur scène ? Car c’est de cela qu’il s’agit dans Discussion avec DS : convoquer les fantômes, tout faire pour les inciter à ressusciter. La comédienne Raphaëlle Rousseau, inconditionnelle de celle qu’elle appelle « DS », aurait tant aimé la connaître qu’elle en discute maintenant avec elle. A l’aide d’archives et de montage sonore, Raphaëlle Rousseau converse avec la voix passée de Delphine Seyrig, irremplaçable scintillement du cinéma et du théâtre autant que personnalité singulière et engagée. Aléas du quotidien, vision artistique ou encore secrets de cuisine… Raphaëlle Rousseau la fait parler dans un tête-à-tête rêvé, et pourtant réel, qui tient aussi de la transmission entre les morts et les vivants, entre l'icône et la jeune comédienne.

    Production déléguée : Prémisses
    Soutien : Théâtre national de Bretagne, Fonds de dotation Porosus
    Coréalisation : Athénée Théâtre Louis-Jouvet

    Le Cercle des Partenaires soutient avec ses mécènes la programmation Jeune Création de la salle Christian-Bérard.

    du 8 nov. 22 au 20 nov. 22

  • Un Homme qui marche


    D’après 'L’Histoire du soldat' de Stravinski
    et des chansons de Kurt Weill
    Conception, mise en scène, costumes Héloïse Sérazin
    Le Lecteur Loïc Félix
    Le Diable Glenn Marausse
    Le Soldat Armand K., Charles, D. T., David Miot, Didier V., Le D., M. A. et Sébastien H.
    Avec les Musiciens de l’Orchestre de chambre de Paris
    Violon Franck Della Valle
    Contrebasse Jean-Edouard Carlier
    Clarinette Kevin Galy
    Basson Fany Maselli
    Cornet à piston Adrien Ramon
    Trombone Frédéric Lucchi
    Percussions Tristan Pereira
    Chef d'orchestre Marc Hajjar
    Cheffe de choeur Clara Brenier
    Scénographie Léa Jézéquel
    assistée d' Ariane Chapelet
    Lumières Mathieu Cabanes, Marc Delamézière
    Autrice en charge des ateliers d'écriture Céline Caussimon
    Arrangements Laurent Arandel

    Depuis 2014, l’Orchestre de chambre de Paris visite régulièrement le centre pénitentiaire de Meaux-Chauconin, en Seine-et-Marne, pour y interpréter des concerts, dans un premier temps. Deux ans plus tard, en lien avec le Service pénitentiaire d’insertion et de probation de Seine-et-Marne, l’orchestre met en place des créations musicales partagées, interprétées avec des détenus dans des salles de spectacles à l’extérieur de la prison. Avec pour objectif de les faire s’exprimer à travers un processus de création artistique et de les accompagner dans leur démarche vers une future réinsertion.

    Le spectacle qui est présenté cette saison à l’Athénée a pour objet le rapport de l’homme à l’argent. Des détenus participeront à cet Homme qui marche, entourés d’un comédien et d’un chanteur professionnels et de musiciens - placés sous la direction de Marc Hajjar -, dans une mise en scène d’Héloïse Sérazin.

    Le spectacle est une version revisitée de L’Histoire du soldat de Stravinski, dans laquelle un soldat se trouve ruiné après un pacte avec le diable. Ce personnage est interprété par les détenus, tantôt comme un seul corps, tantôt comme un corps divisé. Ils sont aussi invités à se réapproprier l'œuvre originale en réécrivant certains passages de ce texte adapté de Ramuz et de Cocteau.

    Le spectacle convoque aussi Kurt Weill, en intercalant dans cette histoire des chansons du compositeur allemand.

    Coproduction : Orchestre de chambre de Paris, Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation de Seine-et-Marne et Centre Pénitentiaire de Meaux-Chauconin
    Avec le soutien de la Fondation Abbé Pierre, de la Fondation Meyer, de la Fondation de France, de la Fondation d’entreprise La Poste, du Ministère de la culture – Direction régionale des affaires culturelles d’Ile-de-France, de la Fondation Humanités, Digital et Numérique, et de La Compagnie d’Héloïse
    19 nov. 22

  • Pianoforte


    Pianos Pierre de Bethmann, Eric Legnini, Baptiste Trotignon, Bojan Z

    Dans le cadre du Pianomania Festival

    Quatre grands pianistes se partagent 2 pianos et 2 Fender Rhodes pour une rencontre inédite et alléchante. Chacun dans son style, ces mousquetaires des claviers ont marqué l’histoire du jazz hexagonal. Une preuve parmi tant d’autres ? Ils ont chacun d’entre eux une Victoire du Jazz sur leur cheminée. C’était en 2003 pour Baptiste Trotignon, 2008 pour Pierre de Bethmann, 2011 pour Eric Legnini et 2012 pour Bojan Z. Souvent copiés, rarement égalés.



    Production : Anteprima

    Tarif spécial : 

    Catégorie 1 : 36 €
    Catégorie 2 : 28 €
    Catégorie 3 : 14 €

     

    21 nov. 22

  • La Douleur


    Texte Marguerite Duras
    Mise en scène Patrice Chéreau, Thierry Thieû Niang
    Sous l'oeil de Thierry Thieû Niang
    Avec Dominique Blanc, sociétaire de la Comédie-Française
    Création et régie lumière Gilles Bottachi
    Régie son distribution en cours
    Régie générale Paul Besnard

    Une Douleur exhumée, inattendue et qu’on retrouve pourtant avec plaisir : l’Athénée reprend une adaptation de Marguerite Duras mise en scène en 2008 par Patrice Chéreau et Thierry Thieû Niang. Écrit en 1985, ce récit autobiographique suit l’auteure dans un parcours insupportable miné par l’attente. A Paris, en 1945, seule, elle cherche à savoir ce qu’est devenu son mari, l’écrivain et résistant Robert Antelme, alias « Robert L. », déporté politique en juin 1944 en Allemagne. Par-delà la description du chaos de l’époque (« la Résistance, la Libération, les camps, cette période impensable et qu’on a oubliée », expliquait Chéreau), ou de celle des soldats retrouvant leur foyer, le texte interroge l’incassable fragilité de l’espoir et les modulations du sentiment amoureux. Marguerite retrouvera-t-elle son mari ? Dans quel état ? Quel amour après l’absence ? Après la résurrection ?

    Sur scène, Dominique Blanc, complice de Chéreau qui l’avait dirigée dans Phèdre ou encore Peer Gynt, s’empare à nouveau du récit de Duras, pour lequel elle avait reçu le Molière de la meilleure comédienne en 2010. Et, en l’absence du metteur en scène décédé en 2013, Thierry Thieû Niang supervise la reprise de leur travail commun. Une résurrection, artistique cette fois, d’un monologue terrible que l’auteure décrivait ainsi en préambule de son texte : « La douleur est une des choses les plus importantes de ma vie. » A l’époque, peut-être était-elle même sa vie.

    En tournée en 2022.23
    13 – 18 décembre 2022, Théâtre des Bernardines, Marseille / Mardi 23 mai 2023 Maison des Arts, Thonon-les-Bains /
    Jeudi 25 mai,
    Le Mail, Soissons / 30 – 31 mai La Coursive, La Rochelle / 02 – 03 juin, Théâtre National de Nice /
    06 – 08 juin
    MC2, Grenoble / Mardi 13 juin, Anjou Festival, Angers



    Production : Les Visiteurs du Soir
    Le texte de Marguerite Duras La Douleur est publié chez P.O.L.

    du 23 nov. 22 au 11 déc. 22

  • Entre les lignes


    Texte Tiago Rodrigues
    Avec Tónan Quito
    Collaboration artistique Magda Bizarro
    Décor, lumière, costumes Magda Bizarro, Tiago Rodrigues & , Tónan Quito
    Direction technique André Pato
    Traduction française Thomas Resendes
    Surtitres Sónia De Almeida

    L’un des aspects marquants du théâtre de Tiago Rodrigues tient au soin - à l’amour ? - qu’il prodigue à ceux qui habitent la scène.

    Dans Sopro, il s’intéressait au métier de souffleuse et aux interactions qu’elle pouvait avoir avec les acteurs et le public. Dans Entre les lignes, il fouille directement le lien qui
    unit dramaturge et comédien. Salle Christian-Bérard, seul sur le plateau, Tónan Quito attend son texte. L’auteur qui devait l’écrire, et qu’on suppose être Tiago Rodrigues, en retard, peine à rendre sa copie. Il a des excuses, certes, mais le texte n’arrive pas.

    Alors Quito attend. Et le spectacle de creuser la création théâtrale dans ce qu’elle a de plus intime, cette discussion entre auteur et acteur, la naissance d’une pensée commune qui se heurtera ensuite à l'imprédictibilité de la scène.

    La Salle Christian-Bérard est au 4ème étage du théâtre.
    Les retardataires ne sont pas acceptés après le début de la représentation.


    Production déleguée : OTTO Productions – Nicolas Roux & Lucila Piffer 
    Production de la création originale : Magda Bizarro & Rita Mendes 
    Un projet de la compagnie Mundo Perfeito (2013) avec le soutien du Gouvernement portugais et DGArtes.


     

    du 23 nov. 22 au 17 déc. 22

  • Laurent Naouri,
    Maciej Pikulski


    Baryton Laurent Naouri
    Piano Maciej Pikulski

    Figure incontournable du paysage lyrique français, le baryton Laurent Naouri n’en finira jamais de séduire, que ce soit par sa technique, sa vision interprétative ou, lors de spectacles mis en scène, ses qualités de comédien. Aux côtés du pianiste polonais Maciej Pikulski, ancien accompagnateur de José Van Dam, spécialiste du lied mais aussi de la mélodie française, Naouri s’aventurera dans ce dernier territoire, avec un programme faisant la part belle aux poètes.

    Programme

    Cinq mélodies de Venise, Gabriel Fauré & Paul Verlaine 

    Histoires naturelles, Maurice Ravel & Jules Renard
    Le chat 1, Le chat 2, Henri Sauguet & Charles Baudelaire
    Banalités, Francis Poulenc & Guillaume Apollinaire

    Pause

    Les oignons, Annick Chartreux & Norge

    Extraits des mélodies opus 12, Mathieu Crickboom
    Les deux cortèges, Joséphin Soulary
    Là-bas, Jacques Clary Jean Normand
    Crépuscule, Victor Orban
    Solitude, Victor Orban
    Les Grotesques, Paul Verlaine



    Production : Le Balcon
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

    28 nov. 22

  • Marc Mauillon,
    Anne Le Bozec


    Baryténor Marc Mauillon
    Piano Anne le Bozec
    Lumières Catherine Verheyde
    Création vidéo Yann Chapotel
    Régie Vidéo Romain Tanguy
    Surtitres Lili Gormond

    Le timbre, la douceur et l’élégance lyrique de Marc Mauillon en font un chanteur à part. Sur les terres baroques, classiques, romantiques ou Belle Epoque, le “baryténor” éblouit sans cesse ni partage. Pour ce programme, il plonge dans le monde de Fauré et de ses poètes (Hugo, Verlaine, Sully Prudhomme…), afin d’en révéler toutes les richesses. Il sera accompagné au piano par Anne le Bozec, partenaire de longue date avec laquelle il a déjà porté ce répertoire au disque chez Harmonia Mundi.

    Programme 'Gabriel Fauré et ses poètes'

    Le Papillon et la Fleur, op.1 n°1 / Rêve d’amour, op.5 n°2, Victor Hugo
    Chant d’automne, op.5 n°1, Charles Baudelaire
    La Chanson du Pêcheur, op.4 n°1 / Tristesse, op.6 n°, Théophile Gautier
    Aubade, op.6 n°1, Louis Pomey
    Barcarolle, op.7 n°3, Marc Monnier
    Au bord de l’eau, op.8 n°1, Sully Prudhomme
    Après un rêve, op.7 n°1 / Sérénade toscane, op.3 n°2, Romain Bussine
    Sylvie, op.6 n°3, Paul de Choudens
    Les Berceaux, op.23 n°1, Sully Prodhomme
    Notre amour, op.23 n°2 / Le Secret, op.23 n°3 / Aurore, op.39 n°1, Armand Silvestre
    Les Roses d’Ispahan, op.39 n°4, Charles Marie Leconte de Lisle
    Nocturne, op.43 n°2 / Les Présents, op.46 n°1, Auguste de Villiers de L’Isle-Adam
    Clair de lune, op.46 n°2,Paul Verlaine
    Larmes, op.51 n°1 / Au cimetière, op.51 n°2, Jean Richepin
    La Rose, op.51 n°4, Charles-Marie Leconte de Lisle
    Mandoline, op.58 n°1 / En sourdine, op.58 n°2, Paul Verlaine
    Sérénade du Bourgeois gentilhomme, op. posth, Molière
    Soir, op.83 n°2 / Accompagnement, op.85 n°3, Albert Samain
    La fleur qui va sur l’eau, op.85 n°2 / Dans la forêt de septembre, op.85 Catulle Mendès
    Le Don silencieux, op.92, Jean Dominique (pseudonyme de Marie Closset)
    Chanson, op.94, Henri de Régnier



    Production : Le Balcon
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

    19 déc. 22

  • Un mois à la campagne


    Texte Ivan Tourgueniev
    Mise en scène Clément Hervieu-Léger
    Traduction Michel Vinaver
    Collaboration artistique Aurélien Hamard-Padis
    Scénographie Aurélie Maestre
    Costumes Caroline de Vivaise
    Lumières Alban Sauvé
    Création sonore Jean-Luc Ristord
    Régie Générale Philippe Zielinski
    Coiffure et maquillage Réjane Selmane
    Alexeï Nikolaïtch Beliaev Louis Berthélémy
    Natalia Petrovna Clémence Boué
    Athanase Ivanovitch Bolchintsov Jean-Noël Brouté
    Mikhaïl Alexandritch Rakitine Stéphane Facco
    Anna Semionovna Islaïeva Isabelle Gardien
    Véra Alexandrovna Juliette Léger
    Arkady Serguïeitch Islaïev Guillaume Ravoire
    Lizaveta Bogdanovna Mireille Roussel
    Ignace Ilitch Chpiguelski Daniel San Pedro
    Kolia Nathan Goldsztejn, Lucas Ponton, Martin Verhoeven (en alternance)

    Un seul être vous manque et tout est dépeuplé, un seul individu survient et la vie bouillonne aux marges de l’entendement. Tout semblait calme dans cette campagne russe du XIXe siècle, maris, femmes, amants en routine réglée, quand un fougueux jeune homme vint perturber ce bel agencement : Alexeï, le précepteur venu de Moscou que Natalia Petrovna a engagé pour s’occuper du petit Kolia, va mettre le microcosme local à feu et à sang (chaud). Ancêtre du Théorème pasolinien tout comme inspiration du théâtre de Tchekhov, ce joyau de Tourgueniev, loué pour sa modernité et sa finesse psychologique, déplace aussi sur le plan des mœurs un geste déjà poussé par l’auteur dans sa critique du servage et des propriétaires telle qu’on la lit dans Mémoires d’un chasseur - et qui lui valut censure et emprisonnement. Car, par-delà les chassés-croisés amoureux, c’est l’ordre établi qui est aussi attaqué, et nul doute que Natalia, dans sa rivalité avec Vera, sa protégée orpheline, pour s’emparer du cœur du précepteur, exerce aussi une mainmise de classe.

    Traduite par le dramaturge Michel Vinaver, cette pièce de groupe est mise en scène par Clément Hervieu-Léger. Le sociétaire de la Comédie-Française s’entoure pour ce spectacle de l’équipe de la Compagnie des Petits Champs, qu’il a cofondée en 2010. Avec en toile de fond un enjeu esthétique de taille : la représentation de la ruralité au théâtre - un défi à la portée de cette structure installée dans une étable de l’Eure et dont l’un des objectifs est de faire se rencontrer le théâtre et la campagne.

    En tournée

    Mardi 7 février 2023, 20h30, Théâtres en Dracénie, Scène conventionnée d’intérêt national Art et Création-Danse à Draguignan/ Jeudi 9, vendredi 10 février, 20h30, Scène Nationale d’Albi, 20h30 / Jeudi 16 février, 20h30, Espace Marcel Carne à St Michel sur Orge / Mardi 28 février, 20h30, Théâtre de Chartres / Vendredi 3 mars, 14h30 et Samedi 4 mars 20h30, Grand Théâtre de Calais / Mercredi 8 et Jeudi 9 mars, 20h, Théâtre de Caen / Mercredi 15 et Jeudi 16 mars, 20h30, Maison de la Culture d’Amiens / Mardi 21 mars, 20h, Forum de Flers / Jeudi 23 mars, 19h30 et Vendredi 24 mars, 20h30, La Coursive, Scène Nationale à La Rochelle / Mardi 28 mars,  20h, Théâtre de l’Olivier à Istres / Jeudi 30, Vendredi 31 mars, 20h, Théâtre National de Nice / Jeudi 6 avril, 20h, Théâtre de l’Arsenal au Val-de-Reuil / Mardi 25 avril, 20h, Scène Nationale du Sud Aquitain à Bayonne

     



    Production déléguée : La Compagnie des Petits Champs

    Coproduction : Théâtre des Célestins, Scène Nationale d’Albi, Théâtre de Caen, Théâtre de Chartres – Scène conventionnée d’intérêt national Art et Création, Maison de la Culture d’Amiens, La Coursive – Scène nationale de La Rochelle, et avec la participation artistique du Jeune théâtre national.

    La Compagnie des Petits Champs est conventionnée par la DRAC Normandie, Ministère de la Culture et de la Communication, la Région Normandie, le Département de l’Eure, l’Intercom de Bernay Terres de Normandie.

    © L'Arche, 2018. Michel Vinaver est représenté par l'Arche - agence théâtrale. La pièce est disponible dans la nouvelle traduction de Michel Vinaver chez l'Arche Editeur. www.arche-editeur.com.

    du 10 janv. 23 au 4 févr. 23

  • Place de la République


    Mise en scène Clément Hervieu-Léger
    Costumes Caroline de Vivaise
    Lumières Alban Sauvé
    Elle Juliette Léger
    Lui Daniel San Pedro

    En même temps que joue Un mois à la campagne dans la grande salle de l’Athénée, Clément Hervieu-Léger met en scène Place de la République en salle Christian-Bérard. On y retrouve Juliette Léger et Daniel San Pedro, respectivement Véra Alexandrovna et Ignace Ilitch Chpiguelski dans la pièce de Tourgueniev.

    A 18h, ils sont Elle et Lui, deux inconnus qui engagent la conversation Place de la République à Paris, « comme s’ils s’étaient donné rendez-vous sans le savoir ». Une pièce contemporaine écrite par Clément Hervieu-Léger, où se font écho deux solitudes et une réflexion commune sur l’amour et les absences qui nous définissent. 



    Production : La Compagnie des Petits Champs

    La Compagnie des Petits Champs est conventionnée par la Drac Normandie – Ministère de la Culture et de la Communication, la Région Normandie, le Département de l’Eure, l’Intercom de Bernay-Terre de Normandie.

    du 25 janv. 23 au 27 janv. 23

  • Sandrine Piau & David Kadouch


    Soprano Sandrine Piau
    Piano David Kadouch

    La soprano et harpiste française navigue avec bonheur sur toutes les mers. Révélée au baroque par William Christie, Sandrine Piau n’a eu de cesse d’élargir son répertoire, via l’opéra classique et la musique du XXe siècle. Avec le pianiste David Kadouch, qui, lui, trouve sa pleine envergure dans le romantisme, ils proposent un ambitieux programme où les lieder et les mélodies se mêlent et tracent un arc historique de Schubert à Lili Boulanger, en passant par Schumann ou Debussy.

    Production : Le Balcon
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

    30 janv. 23


  • Orphée et Eurydice


    D'après Gluck
    dans une adaptation libre d'Othman Louati
    Direction musicale Fiona Monbet
    Mise en scène Thomas Bouvet
    Direction artistique de Miroirs Étendus Romain Louveau
    Scénographie Thomas Bouvet & Arnaud Godest
    Costumes Aude Desigaux
    Création lumières Arnaud Godest
    Régisseur lumières Germain Fourvel
    Sonorisation et régie générale Anaïs Georgel
    Vidéo Borris Carré
    Silhouette vidéo Marie-Mathis Aubert
    Régie plateau Marie Lévêque
    Orphée Floriane Hasler en alternance avec Claire Péron
    Eurydice Mariamielle Lamagat
    Amour Amélie Raison
    Choeur Olivier Gourdy, Amélie Raison, Ratia Tsanta, Mathilde Rossignol
    Ensemble Miroirs Étendus
    Violon Rozarta Luka
    Alto Violaine Willem
    Violoncelle Amélie Potier
    Clarinette Antoine Cambruzzi
    Cor Emile Carlioz
    Guitare et guitare électrique Jérémy Peret
    Piano et synthétiseur Romain Louveau
    Percussions Emmanuel Jacquet

    L’une des plus poignantes et profondes histoires du répertoire dramatique depuis la mythologie grecque : Eurydice, piquée par un serpent, est propulsée aux enfers ; Orphée le poète charme les dieux pour la ramener à la vie, mais sur le chemin du retour il se retourne, ce qui était proscrit par les dieux… et Eurydice ne quittera pas ces enfers maudits. La survivance de l’amour se solde par un échec, la perte devient le destin des amants, ouvrant par la suite la voie, selon les différentes fins qu’en ont proposé les auteurs et compositeurs qui se sont emparés du mythe, au thème de la seconde chance. 

    Miroirs Étendus revisite l’opéra de Gluck dans sa version de 1774 avec une partition pour cinq interprètes et huit musiciens sonorisés, adaptée par Othman Louati, dans une mise en scène de Thomas Bouvet entre réel et irréel, dans un entre-deux propre aux enfers grecs. 

    Ainsi, cette adaptation se veut à la fois un hommage à la partition de Gluck et un regard sur les limbes qui teintent le deuil d’Orphée. Sur son chemin nimbé de reflets nocturnes, se confrontent la lumière du style classique et sa propre modernité.



    Floriane Hasler chante le rôle d'Orphée les 10 et 11 février.
    Claire Péron chante le rôle d'Orphée les 15, 16, 17 et 18 février.

    Production : Miroirs Étendus
    Coproduction : Opéra de Rouen Normandie, Théâtre Impérial de Compiègne, Opéra de Lille
    Soutien : SPEDIDAM

    Miroirs Étendus est soutenu par la Région Hauts-de-France, le Ministère de la Culture - DRAC Hauts-de-France, le Département de l’Oise et la Caisse des Dépôts, mécène principal.

    La saison d’Opéra-Théâtre de l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet bénéficie du généreux soutien de Madame Aline Foriel-Destezet.

    du 10 févr. 23 au 18 févr. 23

  • Mon frère c'est Dieu sur Terre


    Textes et musique Thomas Fersen
    Mise en scène Jessica Dalle & Benjamin Lazar
    Lumières Jimmy Boury
    Violon Cécile Bourcier
    Accordéon Maryll Abbas
    Guitare Pierre Sangrã
    en alternance avec Pavel Andaero

    Ce garçon a pris de plus en plus de place dans les concerts de Thomas Fersen. 

    « Indécrottable ado, nonchalant et paresseux », comme le décrit le chanteur de la Chauve-Souris, il se glisse entre les chansons, distille au public des monologues en vers, « entre fable, conte, farce, poème » et transforme les tours de chant en spectacle. Qui donc ? Le double de Thomas Fersen, son frère, Dieu sur Terre comme il le surnomme, le personnage « qui déambule dans [s]es albums depuis trente ans ». Alors Fersen a pris le temps de se balader avec lui : « J'imaginais qu’il tenait son journal, à la fin des années 60 dans le quartier de Ménilmontant. C’est devenu un roman de 200 pages. »

    Sur la scène de l’Athénée, le chanteur se fait aussi comédien et utilise ces textes intercalaires pour nourrir son spectacle, « un long monologue parlé et chanté, où des extraits du livre viennent donner un éclairage inédit aux chansons les plus connues », leur apportant un relief particulier au sein d’une histoire plus large. Benjamin Lazar, qui avec Jessica Dalle met en scène le spectacle autour de Fersen et de trois musiciens (Cécile Bourcier (violon), Maryll Abbas (accordéon) et Pierre Sangrã (guitare) en alternance avec Pavel Andaero), voit dans ce type d’interventions un écho « au razo du Moyen-Age », ces textes qui permettaient d’expliquer un poème, et considère Fersen « comme un troubadour venant raconter ses histoires ». 

    Pour ce qui n’est « ni un concert ni non plus un seul en scène », continue Lazar, il va falloir « trouver le bon ton ». Peut-être passera-t-il par la recherche d’images intérieures : « Benjamin développe une fantaisie dont je me sens proche, conclut Fersen. Il refuse tout ce qui contraint le jeu, rejette l’image figée, privilégie la performance. Il existe dans son travail une tentative de montrer l’invisible dans l’espace théâtral. »

    En tournée en 2023
    Vendredi 3 mars - La Rotonde - Thaon-les-Vosges / Jeudi 9 mars - Théâtre de Bourg-en-Bresse - Bourg-en-Bresse  / Vendredi 10 mars - Théâtre de Bourg-en-Bresse - Bourg-en-Bresse / Samedi 11 mars - La Cigalière - Sérignan  / Samedi 18 mars - Halle aux Grains - Brioude  / Mardi 21 mars - Le Radiant - Caluire / Samedi 25 mars - L’Amérance - Cancale  / Vendredi 31 mars - Le Viking - Yvetot  / Samedi 1er avril - Piano’cktail - Bouguenais / Samedi 15 avril - Théâtre de l’Arche - Lannion-Trégor / Mardi 23 mai - Festival En mai chante ce qu'il te plaît - Sélestat



    Production : Astérios Spectacles
    du 23 févr. 23 au 4 mars 23

  • Christoph Prégardien, Julius Drake


    Ténor Christoph Prégardien
    Piano Julius Drake
    Lumières Catherine Verheyde
    Création vidéo Yann Chapotel
    Régie vidéo Romain Tanguy
    Surtitres Lili Gomond

    Place au Liedersänger ! 
    Le ténor allemand Christoph Prégardien, longtemps associé au répertoire baroque qu’il a traversé avec les chefs les plus éminents, est aussi à l’aise avec les œuvres romantiques majeures comme Le Voyage d’hiver. Le pianiste britannique Julius Drake, accompagnateur émérite de lieder et orfèvre de la musique de chambre, l’accompagne dans ce parcours où Schubert, Liszt et Beethoven se répondent.



    Programme du Lundi 27 février, 20h

    Henri Duparc
    Chanson triste
    Soupir
    Le Manoir de Rosemonde
    L’invitation au voyage
    Phidylé

    Franz Schubert
    Lieder d’après Goethe :
    Drei Gesänge des Harfners
    Wer sich der Einsamkeit ergibt D 478
    Wer nie sein Brot mit Tränen aß D 479
    An die Türen will ich schleichen D 480
    Rastlose Liebe D 138
    Wanderers Nachtlied 1 D 224
    Erlkönig D 32

    Pause

    Lieder d’après Goethe :
    Freudvoll und leidvoll (2. Fassung), Franz Liszt
    Lynceus, der Türmer (“Zum Sehen geboren”), Carl Loewe
    Wonne der Wehmut, Ludwig van Beethoven
    Phänomen, Hugo Wolf
    Neue Liebe, neues Leben, Ludwig van Beethoven
    Blumengruß, Hugo Wolf
    Ganymed, Hugo Wolf
    Zur Rosenzeit, Edvard Grieg
    Der du von dem Himmel bist (1. Fassung), Franz Liszt
    Erlkönig, Carl Loewe
    Wanderers Nachtlied 2 (“Über allen Gipfeln”), Franz Schubert



    Production : Le Balcon
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

    27 févr. 23

  • Stéphane Degout, Alain Planès, Roger Germser, Marielou Jacquard


    Baryton Stéphane Degout
    Piano Alain Planès
    Comédien Roger Germser
    Mezzo Marielou Jacquard

    Le plus célèbre et charismatique des barytons français s’aventure dans le répertoire de Brahms pour cette série de lieder inspirée d’une légende du Moyen Age. La Romance de la belle Magelone raconte les aventures du chevalier Pierre de Provence, lequel s’éprend à Naples de la fille du roi et fuit avec elle. Pour ne rien perdre des détails de cette fresque amoureuse, Stéphane Degout s’entoure de son accompagnateur fétiche, Alain Planès, de la mezzo Marielou Jacquard, mais aussi du comédien Roger Germser, lequel complète l’oeuvre de Brahms en lisant des extrait du roman de Ludwig Tieck, qui s’empara de cette légende au XIXe siècle et inspira le compositeur.

    Programme :

    Johannes Brahms
    Maguelone Romanzen (La belle Maguelone), op 33

    Ludwig Tieck
    Poèmes des lieder, extraits du roman
    Les amours de la belle Maguelone et de Pierre de Provence

    Elisabeth Germser
    Récit, d’après le manuscrit anonyme de Cobourg



    Production : Le Balcon
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

    6 mars 23

  • Lettre à une deuxième mère


    Écriture et mise en scène Constance de Saint Remy
    Création lumières et régie générale Marine Flores
    Conseil musical Louis Albertosi
    Montage vidéo Louis Albertosi & Constance de Saint Remy
    Avec Camille de Sablet & Louis Albertosi

    « Le théâtre est un lieu où l’on peut faire parler les morts, où l’on peut redonner vie, l’espace d’un instant, à celles et ceux qui nous survivent par leurs textes, leurs œuvres, leurs pensées retentissantes ».

    Dans un vieux bar jazzy, à l'heure de la fermeture, une actrice s'imagine écrire à Simone de Beauvoir. Elle aimerait concilier ses convictions et son quotidien. De cette lettre naîtra un échange riche, tendre et impertinent; un dialogue entre le récit d'apprentissage et la construction de soi.

    La metteuse en scène et autrice Constance de Saint Remy se penche sur une des figures emblématiques du féminisme, Simone de Beauvoir, pour interroger son héritage et la condition féminine aujourd’hui. 



    Production déléguée : PREMISSES
    Coproduction : Athénée Théâtre Louis-Jouvet
    Avec le soutien de la Corte Ospitale et le dispositif d’insertion de l’ÉCOLE DU NORD, soutenu par la Région Hauts-de-France et le Ministère de la Culture.

    Le Cercle des Partenaires soutient avec ses mécènes la programmation Jeune Création de la salle Christian-Bérard.

    du 9 mars 23 au 19 mars 23


  • La petite messe solennelle


    Musique Gioacchino Rossini
    Mise en scène Emily Wilson, Jos Houben
    Direction musicale Gildas Pungier
    Avec le Chœur de chambre Mélisme(s)
    Sopranos Estelle Béréau (soliste) , Violaine Le Chenadec (soliste), Sylvie Becdelièvre
    Altos Blandine de Sansal (soliste) , Stéphanie Olier, Anne Ollivier
    Ténors Sahy Ratia (soliste) , Etienne Garreau , Marlon Soufflet
    Basses Ronan Airault (soliste) , Jean Ballereau, Julien Reynaud
    Piano Colette Diard
    Accordéon Élodie Soulard
    Comédiens Nathalie Baunaure, Jofre Carabén, Marc Frémond
    Décors et costumes Oria Puppo
    Assistante aux décors Clémentine Tonnelier
    Lumières Christophe Schaeffer
    Régie Générale Marie Bonnier

    Un spectacle au croisement de tous les possibles. D’un côté, Gioacchino Rossini et sa Petite messe solennelle. De l’autre, le duo de metteurs en scène mais aussi comédiens Jos Houben et Emily Wilson, dont le travail verse dans le burlesque. Le mélange des deux mondes est-il une hérésie ? Au contraire, il se révèle complémentaire. 

    Rossini a 71 ans lorsqu’il compose pour la femme d’un ami, le comte Alexis Pillet-Will, cette messe de minces dimensions orchestrales. Le compositeur qui avait passé sa vie à enchaîner les succès d’opéra buffa, en retraite depuis des lustres, sort de sa tanière à Passy pour broder ce chef-d'œuvre de la musique sacrée, extraordinairement tissé de ses propres penchants à la légèreté. «Est-ce bien de la musique sacrée que je viens de faire, ou de la sacrée musique ? » écrira-t-il à Pillet-Will.

    Jos Houben et Emily Wilson, eux, observent, découpent et cartographient le continent de la comédie au point d’élever la recherche de ses ressorts au rang de quête quasi spirituelle - à ce sujet, les conférences de Houben sur le rire sont un must fascinant d’intelligence et de drôlerie. Le duo d’instrumentistes, en recherche d’accidents, va donc disposer, autour des chanteurs dirigés par Gildas Pungier, un décor de marché aux puces où se croisent vendeurs et acheteurs, prétexte aux jeux d’objets les plus délirants.

    À mille lieues de profaner l'œuvre, la mise en scène la déporte et la transcende, multipliant les fractures tout en célébrant cette messe (« le dernier péché mortel de ma vieillesse », selon Rossini) qui y apporte de l’harmonie. « Suivant l’invitation du compositeur, nous nous aventurons volontiers dans ce grand territoire du sacré tout en restant légers et surprenants avec un clin d’oeil à Tati et Charlot », explique le duo d’explorateurs comiques, à la tête d’un spectacle « un tout petit peu ridicule, comme la tour de Pise ».



    Production : La co[opéra]tive, Théâtre de Cornouaille, scène nationale de Quimper - centre de création musicale / Le Bateau Feu, scène nationale Dunkerque / Les 2 Scènes, scène nationale de Besançon / Théâtre Impérial de Compiègne / Opéra de Rennes
    Coproduction : Angers Nantes Opéra

    Cette série de représentations bénéficie du soutien financier de Spectacle vivant en Bretagne.

    Les décors et les costumes sont réalisés par les ateliers de l’Opéra de Rennes.

    Le choeur de chambre Mélisme(s) est soutenu par le Ministère de la Culture et de la Communication / DRAC Bretagne, le Conseil régional de Bretagne, le Conseil Départemental des Côtes d’Armor et la Ville de Rennes. Le choeur de chambre Mélisme(s) est en résidence à l’Opéra de Rennes.

    La saison d’Opéra-Théâtre de l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet bénéficie du généreux soutien de Madame Aline Foriel-Destezet.

    du 23 mars 23 au 1er avr. 23

  • Alphonse Cemin, Bruno Delepelaire, Petteri Iivonen


    Piano Alphonse Cemin
    Violoncelliste Bruno Delepaire
    Violoniste Petteri Iivonen

    Formule trio - et non des moindres - autour du pianiste Alphonse Cemin, entouré de Bruno Delepelaire, violoncelliste solo au Philharmonique de Berlin, et de Petteri Iivonen, violoniste solo à l’Orchestre de l’Opéra de Paris. Au programme de cette flambante association : Haydn, Dvořák et Ravel.

    Programme

    Joseph Haydn, Trio pour piano n° 39

    Antonin Dvořák, Trio pour piano et cordes n°4

    Maurice Ravel, Trio avec piano



    Production : Le Balcon
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

    27 mars 23

  • Ô mon bel inconnu


    Livret Sacha Guitry
    Musique Reynaldo Hahn
    Direction musicale Samuel Jean
    Mise en scène Émeline Bayart
    Décors et costumes Anne-Sophie Grac
    Orchestre des Frivolités Parisiennes
    Lumières Joël Fabing
    Assistant à la mise en scène Quentin Amiot
    Prosper Marc Labonnette
    Antoinette Clémence Tilquin
    Marie-Anne Sheva Tehoval
    Félicie Émeline Bayart
    Claude Victor Sicard
    Jean-Paul / M. Victor Jean-François Novelli
    Hilarion Lallumette Carl Ghazarossian

    Le chapelier Prosper Aubertin, marié et père, rêve d’aventures pour échapper à sa routine bourgeoise. Il passe une petite annonce pour trouver une maîtresse. On imagine les quiproquos adultérins pointer déjà le bout de leur nez. Oui, mais le livret d’Ô mon bel inconnu est écrit par Sacha Guitry, et l’histoire prend un tour fantaisiste et brillant qui n’appartient qu’à lui. Avec un supplément de délire : parmi les réponses que reçoit Aubertin se trouvent deux lettres, écrites par sa femme et par sa fille. Sans oublier celle de sa bonne. Ainsi qu’un supplément de finesse : le vaudeville se déplace au pays basque et se teinte d’explorations psychologiques tendres-amères sur l’insatisfaction et l’attrait de l’inconnu. 

    La mise en scène de cette production imaginée par le Palazzetto Bru Zane, qui met chaque saison à l’honneur une œuvre du répertoire français (de la période romantique ou parmi ses héritiers), est assurée par Émeline Bayart, tantôt Becassine pour Denis Podalydès au cinéma, tantôt gouailleuse pour des récitals à l’Opéra-Comique, en un mot figure contemporaine vissée avec humeur et humour entre la Belle Époque et l’entre-deux guerres. Elle cherche dans l’élégance des années 30 et sous la doublure des chapeaux ce qui distingue un amour idéal d’un amour idéalisé et interprète le rôle de Félicie - la bonne - tenu lors de la création de cette comédie musicale, en 1933, par Arletty. Le chef Samuel Jean fait, lui, pétiller la musique de Reynaldo Hahn, aussi légère et attirante qu’un bel inconnu.

    En tournée
    Vendredi 16 décembre 2022 à 20h, Dimanche 18 à 15h, Mardi 20 à 20h
    Opéra de Tours , dir. Marc Leroy-Calatayud, Orchestre Symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours

     



    Coproduction : Bru Zane France / Opéra de Tours / Opéra Grand Avignon / Opéra de Rouen Normandie / Opéra de Massy
    Production déléguée : Bru Zane France
    Décors et accessoires réalisés par les ateliers de l’Opéra de Tours
    Costumes réalisés par les ateliers de l’Opéra Grand Avignon
    Éditions musicales Salabert

    La saison d’Opéra-Théâtre de l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet bénéficie du généreux soutien de Madame Aline Foriel-Destezet.

    du 7 avr. 23 au 16 avr. 23

  • Judith Chemla, Alphonse Cemin


    Soprano Judith Chemla
    Piano Alphonse Cemin

    C'est un rendez-vous unique auquel nous invite le pianiste et directeur artistique de la saison des Lundis musicaux, Alphonse Cemin. Il accompagne en effet la comédienne et soprano Judith Chemla, ancienne pensionnaire de la Comédie-Française remarquée pour sa vocalité dans la Traviata de Benjmain Lazar et son Ave Maria dans Notre-Dame de Paris déserte... Sa théâtralité et sa voix légère s'épanouiront dans des mélodies de Schubert à Manuel de Falla, en passant par Kurt Weill.

    Franz Schubert
    Die Forelle (Christian Schubart)
    Die Junge Nonne (Jacob Nikolaus Craigher de Jachelutta)
    Du bist die Ruh (Friedrich Rückert)
    Der Hirt auf dem Felsen (Wilhelm Müller)
    Ellens Gesang I & II (Walter Scott)
    Aufenthalt (Ludwig Rellstab)
    Ständchen (Ludwig Rellstab)

    Kurt Weill
    Nana’s Lied (Bertolt Brecht)
    Complainte de la Seine (Maurice Magre)
    Retire ta main, je ne t’aime pas (Maurice Magre)
    Youkali (Roger Fernay)

    Manuel de Falla
    Siete canciones populares españolas
    1. El paño moruno
    2. Seguidilla murciana
    3. Asturiana
    4. Jota
    5. Nana
    6. Canción
    7. Polo



    Production : Le Balcon
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

    17 avr. 23


  • Street Art


    Musique Steve Reich, Fabien Cali, Régis Campo, Nicolas Canot, Pascal Zavaro
    Direction musicale Julien Masmondet
    Avec Les Apaches !
    Free-runner Simon Nogueira
    Danseur et acrobate Andrea Catozzi
    French Free Run Family
    Mise en scène Gordon
    Chorégraphie Sarah Silverblatt Buser
    Création lumière Arthur Cemin
    Vidéo Cynwal Hoper
    Étalonnage Stéphanie Bisutti
    Collaboration à la chorégraphie Johan Tonnoir
    Création graphique (banc) Cheuminer
    Violon Eva Zavaro
    Guitare électrique Pierre Pradier
    Clarinette Lauriane Maudry
    Percussions Nadia Bendjaballah & Calum Saunière
    Régie générale et sonorisation Thibaut Lescure
    Régie plateau Roméo Rebière, Maël Vogel de Laurens
    Régie vidéo Karim Fernane
    Violon Eva Zavaro, Ryo Kojima
    Alto Jean Sautereau
    Violoncelle Aurore Montaulieu
    Contrebasse Vincent Alves de Palma d’Elia
    Flûte Tristan Bronchart
    Clarinette Lauriane Maudry
    Trompette Arthur Escriva
    Percussions Nadia Bendjaballah, Calum Saunière
    Guitare électrique Pierre Pradier
    Piano Ayano Kamei,Thomas Palmer, Philippe Hattat
    Régie générale et sonorisation Thibaut Lescure
    Régie plateau Roméo Rebière, Maël Vogel de Laurens
    Régie vidéo Karim Fernane
    Régie de scène Madeline Lagier
    Administration Emilie le Bouffo
    Production Madeline Lagier
    Communication Victoria Gaboune
    Action culturelle Vani Richard, Marie Nonat

    Quel programme !

    Création contemporaine x Steve Reich x Free running, une multiplication aboutissant à un total hors norme dans une salle à l’italienne comme celle de l’Athénée, peu habituée à ce genre de prouesses gymniques...

    Pour ce spectacle, Street Art, Les Apaches ! - hommage au groupe d’artistes les Apaches, dont comptaient Ravel, De Falla ou encore le chef Inghelbrecht au début du XXe siècle - impose le rapprochement des genres.

    Sous le haut patronage de Steve Reich, dont certaines pièces viennent panacher le programme, l’ensemble propose des œuvres de Régis Campo (2017), Pascal Zavaro (1997), Nicolas Canot (2023) ainsi qu’une création de Fabien Cali (commande des Apaches, 2023), brillant jeune compositeur, passé par le rock et le Conservatoire national de musique de Paris. De quoi remonter un premier parcours, musical et contemporain, du pionnier américain de Clapping Music à ses descendants français.

    Autour d'un programme mêlant des oeuvres de Steve Reich à des compositions récentes de Fabien Cali, Régis Campo, Nicolas Canot et Pascal Zavaro, treize musiciens des Apaches ! dirigés par Julien Masmondet interagissent avec Simon Nogueira, connu pour ses performances sur les toits de Paris, et Andrea Catozzi, danseur et acrobate.

    Programme

    Prélude/ Variation I (Nicolas Canot & Lauriane Maudry) pour clarinette basse et électronique d’après Steve Reich, New York Counterpoint

    Street Art pour ensemble, Régis Campo

    Interlude / Variation II (Nicolas Canot & Pierre Pradier) pour guitare électrique et électronique d’après Steve Reich,Electric Counterpoint

    Radio rewrite pour ensemble, Steve Reich - Création française

    Interlude / Variation III (Nicolas Canot & Eva Zavaro) pour violon et électronique d’après Steve Reich, Violin Phase

    Silicon Music pour violon et ensemble (Mouvements 1, 4 et 5), Pascal Zavaro

    Postlude / Variation IV (Nicolas Canot & Nadia Bendjaballah, Calum Saunière) pour deux groupes d’applaudissements d’après Steve Reich, Clapping Music

    Niviana’s Devil Drop, pour ensemble et freerunners, Fabien Cali - Création mondiale

    Coproduction : Nouvelle Société des Apaches, French Free Run Family, Établissement public du Musée d’Orsay et du Musée de l’Orangerie - Valéry Giscard d’Estaing
    Accueil en résidence : Centre Culturel des Bords de Marne – Le Perreux.
    Spectacle créé à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet.
    Ce projet reçoit le soutien spécifique du Ministeère de la Culture & du Département du Val-de-Marne, de l’ADAMI, du CNM, de la Spedidam, de la SACEM et de la Maison de la Musique Contemporaine.
    L'Ensemble Les Apaches est aidé à la structuration par la DRAC Nouvelle-Aquitaine, et au conventionnement par le Conseil Départemental du Val de Marne. Il reçoit le soutien de la Caisse des Dépôts et Consignations - Mécène principal.
    L’Ensemble Les Apaches est artiste en résidence de la Fondation Singer-Polignac (Paris) et partenaire de la classe de direction d’orchestre de l’École Normale de Musique de Paris - Alfred Cortot.

    du 12 mai 23 au 13 mai 23

  • Fleur Barron,
    Julius Drake


    Mezzo soprano Fleur Barron
    Piano Julius Drake

    Que signifie "maison" pour vous ? Qu'est-ce qu'un "foyer", une "patrie" ?
    Est-ce un lieu physique, un état d'esprit, une identité culturelle, une émotion ?

    A travers leur programme HOME(land), la mezzo-soprano anglo-singapourienne Fleur Barron et le pianiste britannique Julius Drake explorent cette question sous différentes perspectives : enfance, nostalgie et sentiment d'appartenance.

    / Changement de programme /

    HOMELAND

    Huang Ruo (
    1977-), Fisherman’s sonnet                          
    Johannes Brahms, Heimweh I: Wie traulich war das Fleckchen
    Chen Yi (1953-),Know You How Many Petals Falling
    Johannes Brahms, Heimweh II: O Wüsst ich doch den Weg zurück
    Chen Yi, Monologue
    Chanson traditonnelle chinoise, Rêverie du Nord-est
    Modeste Moussorgski, Enfantines

    * Entracte *

    Teodoro Varcárcel, Tungu Tungu 
    Olivier Messiaen, Doundou Tchil d'après Harawi
    Charles Ives, My Native Land
    Zubaida Azezi (1990-)/Edo Frenkel (1988-), Ananurhan 
    Alban Berg, op.2                                                                           
    Toru Takemitsu, Will tomorrow, I wonder, be cloudy or clear?
    Charles Trenet, Si vous aimiez
    Toru Takemitsu, Yesterday’s Spot
    Cole Porter, Night and Day
    Toru Takemitsu, La Neige
    Charles Trenet, Boum!



    Production : Le Balcon
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

    15 mai 23


  • Façades


    Un projet porté par l'Athénée et Les Apaches !
    Avec les élèves de 1ère Vente du Lycée Edgar Quinet, de 2nde Mode du Lycée professionnel Octave Feuillet, élèves de percussions du Conservatoire du 13e arrondissement
    Composition Steve Reich, Pascal Zavaro, Philip Glass (arrangement Gabriel Philippot), Gabriel Philippot
    Direction musicale Gabriel Philippot

    Pour la deuxième année consécutive, Les Apaches ! s’associent au Théâtre de l’Athénée pour mener un programme de création participative avec la classe de première vente et commerce du Lycée Edgar Quinet, la classe de seconde mode du lycée professionnel Octave Feuillet et les élèves de percussions du Conservatoire du 5ème, 6ème et 13ème autour d’une nouvelle thématique en lien avec le spectacle Street Art présenté en mai par l’Ensemble.

    Questionner la ville, explorer son rythme et son mouvement, en proposant un parcours musical et corporel à partir d’œuvres de Philip Glass, Steve Reich et de créations originales de Gabriel Phillipot et de Nicolas Canot composées pour le projet, telle est la nouvelle aventure que partageront les artistes en herbe avec les Apaches sur la scène de l’Athénée !

    Trois classes de lycéens et une classe de conservatoire, aux profils et aux parcours variés, travaillent autour des disciplines artistiques et des thématiques du Street Art pour créer leur propre spectacle intitulé « Façade(s) ». Encadrés par quatre artistes intervenants - un free runner, une percussionniste, un chef d'orchestre et un sound designer - ils découvrent différentes pratiques artistiques, sont impliqués dans l'écriture des œuvres, pour en devenir les interprètes, entourés d'un orchestre professionnel. Tout au long de l’année, ils auront échangé avec des artistes d’horizons variés, appris à s’écouter, découvert le monde du spectacle vivant, participé à toutes les étapes du processus de création d’un projet artistique pour enfin réaliser leur spectacle qui se veut, avant tout, être pour eux une porte d’entrée inoubliable vers le monde de la culture.

    Écouter, imaginer, créer et interpréter, c’est à eux de jouer maintenant pour faire dialoguer les pratiques de ce projet pluridisciplinaire en expérimentant pleinement la pratique de la musique, du free running et du field recording et vivre aux côtés d’artistes confirmés une aventure artistique et humaine exceptionnelle.



    Co-production : Le Cercle des Partenaires

    La Fondation BNP Paribas, le Cercle des Partenaires et la Fondation des amis des Théâtres des Bouffes du Nord et de l’Athénée – Académie des beaux-arts soutiennent le projet Façades.

    2 juin 23

  • Julie Boulianne, Malcolm Martineau


    Mezzo-soprano Julie Boulianne
    Piano Malcolm Martineau

    Cher public, 

    Lundi 5 juin, Dame Sarah Connoly est remplacée par la mezzo-soprano Julie Boulianne, toujours accompagnée au piano par Malcolm Martineau. 

    Au Programme :

    Richard Strauss 
    Drei Liebeslieder 

    Gustav Mahler
    Lieder eines Fahrenden Gesellen

    • Wenn mein Schatz Hochzeit macht
    • Ging heut’ morgen über’s Feld
    • Ich hab’ ein glühend Messer
    • Die zwei blauen Augen von meinem Schatz

    Maurice Ravel
    Deux mélodies hébraïques, d’après des chants traditionnels hébraïques

    Hector Berlioz
    Les Nuits d’été, sur des poèmes de Théophile Gautier

    Francis Poulenc
    Quatre Poèmes de Guillaume Apollinaire



    Production : Le Balcon
    Avec le soutien de la Karolina Blaberg Stiftung

    5 juin 23

  • Dom La Nena en concert - COMPLET


    violoncelle, voix Dom La Nena

    Après l’excellent Tempo en 2021, Dom La Nena est de retour avec un quatrième album solo intitulé Leon, d’après le doux surnom de son violoncelle. Un écrin instrumental, intime, hanté et transcendantal. Une déclaration d’amour à son complice de toujours, un retour aux sources d’une grande sensibilité.

    Venez découvrir sur scène ce magnifique et magique nouvel album « LEON ».


    Prix du billet :

    Catégorie 3 : 17€ 
    Catégorie 2 : 24€ 
    Catégorie 1 : 28€ 

    7 juin 23

  • Mayrig


    Mezzo-soprano Eva Zaïcik
    Violon David Haroutunian
    Pianiste Xénia Maliarevitch

    Plus qu’un album, Mayrig est une invitation au voyage à travers le temps et les régions d'Arménie. Qu’elles expriment l'amour, la famille,  la nostalgie du pays ou l'exil, les œuvres de Komitas et de Garbis Aprikian placent la musique arménienne quelque part entre l’Orient et l’Occident ; orientale dans l’âme et occidentale dans l’écriture. Véritables passeurs de la tradition orale, ils ont inscrit la musique arménienne dans le répertoire classique.

    Le programme de Mayrig (petite maman en arménien) évoque aussi bien la douceur d’une mère à travers les berceuses et les chants d'amour que le déchirement d'un peuple dont la terre est souvent racontée, parfois rêvée, toujours réelle.



    Production : Amiga / Musiques d'un siècle

    9 juin 23

  • Nina


    Un projet porté par l'Athénée et Les Frivolités Parisiennes
    Avec les élèves du collège Colette Besson (Paris), du collège Olympe de Gouges (Noisy le Sec)
    Cheffe de chant Dorothée Lorthiois
    Mise en scène et intervention théâtre Pascal Neyron
    Assistanat à la mise en scène et intervention théâtre Camila Scorcelli
    Orchestration & composition Antoine Lefort
    Réalisation-montage vidéo Alexis Lardilleux
    Le Principal Philippe Brocard
    Avec l'Orchestre des Frivolités Parisiennes

    Une saison pour investir une scène mythique parisienne, pour jouer la comédie, pour chanter, écrire, découvrir, écouter, voilà ce que le théâtre de l’Athénée Louis-Jouvet en association avec Les Frivolités Parisiennes, propose à deux classes de 3ème du collège Olympe de Gouges de Noisy-le-Sec et du collège Colette Besson, Paris 20ème. Metteur en scène, comédiens, instrumentistes, chanteurs, autant de rencontres qui animeront la saison des collégiens dans le but de construire ensemble un spectacle qui présente le travail d’une année.  

    Cette saison, nous travaillons autour d’un polar musical : NINA.

    À l’Alcazar, un ancien théâtre devenu salle de réception, un groupe de jeunes collégiens fêtent leur fin d’année, avant qu’une étrange disparition révèle les failles de leurs amitiés et de leurs amours. Oscar Brocard, propriétaire, se transforme en détective le temps d’une soirée, se lance à la recherche des coupables, et espère sauver son établissement.

    Comment à l’heure du réseau social, l’hystérie collective peut gagner un groupe entier sans que rien ne se soit réellement passé ? NINA nous parle d’une résilience subie, celle d’une fille disparue sans laisser de trace parce que sa batterie de téléphone ne suit plus. Autour des codes du polar, nous nous amusons à créer une aventure ludique et musicale sur l’absence et le retour, sur la culpabilité et l’innocence.



    Co-production : Le Cercle des Partenaires

    La Fondation BNP Paribas, la Fondation La Ferthé, le Cercle des Partenaires et la Fondation des amis des Théâtres des Bouffes du Nord et de l’Athénée – Académie des beaux-arts soutiennent le projet Nina.

    16 juin 23